Il faut absolument consulter son médecin si : Le mal de dos est consécutif à une chute, un choc, ou un coup et ce tout particulièrement chez les femmes de plus de 65 ans, chez les personnes qui fument, consomment de l'alcool, prennent des corticoïdes, présentent un diabète ou ont des antécédents de cancer.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Le mal de dos inflammatoire est caractérisé par des douleurs nocturnes et des raideurs matinales qui durent plus de 30 minutes. Les symptômes ne s'améliorent pas avec le repos, mais au contraire, avec l'exercice.
La lombalgie aiguë, ou lumbago, est une douleur de la partie basse du dos, en barre, juste au-dessus du bassin. Elle apparaît brutalement, généralement à la suite d'une effort de soulèvement ou de rotation du dos, et peut être très intense : on parle parfois d'une sensation de « coup de poignard » dans le dos.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
Dorsales : foie, estomac, vésicule biliaire, pancréas, intestin. Les organes tels que le foie, l'estomac, la vésicule biliaire, le pancréas ou encore le début de l'intestin grêle, peuvent entraîner des douleurs dans le milieu du dos, entre les omoplates.
On a recours à la biopsie pour confirmer un diagnostic de cancer des os et pour connaître le type de tumeur cancéreuse. La biopsie est souvent guidée par imagerie à l'aide de la radiographie, de l'IRM ou de la TDM.
Le stress augmente les tensions dans les muscles et libère des substances favorisant les inflammations. Le mal au dos, synonyme de ras-le-bol et de stress? L'expression, très populaire, «en avoir plein le dos» tendrait à le démontrer.
Parmi les causes les plus fréquentes : Les sollicitations inhabituelles de la colonne. Une lourde charge à porter, un déménagement, un long trajet en voiture… peuvent provoquer le classique "lumbago" ou l'apparition de douleurs le plus souvent au niveau des lombaires (bas du dos).
Le symptôme principal de la lombalgie est une douleur locale au niveau des lombaires. Elle est plutôt diffuse et continue. Néanmoins, si la lombalgie est provoquée par une lésion, la douleur peut surgir de façon soudaine et intense. L'intensité de la douleur peut s'intensifier ou s'atténuer si vous changez de position.
L'inflammation musculaire, comment la reconnaître ? À l'image de tous les processus inflammatoires, l'inflammation musculaire se caractérise par une rougeur, associée ou non à un œdème, qui se développe au niveau du muscle ou du groupe musculaire lésé. Généralement, la zone concernée est chaude au toucher.
Dans la majorité des cas, la douleur ne dure que quelques jours, mais cela peut aller jusqu'à plusieurs semaines. Généralement, un traitement anti-douleur et les conseils du médecin suffisent pour aller mieux. Si votre lombalgie dure plus de 4 semaines, elle peut devenir chronique.
Le premier examen prescrit est généralement une simple radiographie. Cet examen tout simple à base de rayons X permet d'ausculter les os du squelette. Il est donc tout indiqué pour étudier la colonne vertébrale. La radiographie est notamment très utile lorsqu'on veut préciser une pathologie telle qu'une scoliose.
Comment soulager la douleur? L'application de compresses chaudes ou froides est souvent efficace. Certaines personnes arrivent à soulager la douleur en prenant des antidouleurs ou des anti-inflammatoires en vente libre comme l'ibuprofène (Advil, Motrin) ou le naproxène (Aleve).
La douleur musculaire (connue sous le nom de myalgie) est souvent moins intense que la douleur osseuse, mais elle peut être très désagréable. Par exemple, un spasme ou une crampe musculaire (contraction musculaire douloureuse prolongée) dans le mollet provoque une douleur intense dénommée une crampe musculaire.
Chez les adultes, ce sont le chondrosarcome, le sarcome pléomorphe indifférencié de l'os et l'ostéosarcome. Il existe d'autres types de sarcomes osseux, mais ils sont beaucoup plus rares. D'autres types de cancer peuvent se propager aux os.
Cela se traduit par une diminution du nombre de globules rouges (à la clé, une anémie responsable de fatigue et pâleur), une baisse du nombre de plaquettes (avec un risque d'hémorragie) et du nombre de globules blancs (entraînant une fragilité du système immunitaire, et donc un risque majoré d'infections).
Si vous avez une hernie discale lombaire, vous pouvez ressentir une douleur qui irradie depuis le bas du dos, le long d'une ou des deux jambes et parfois jusqu'à vos pieds (appelée sciatique). Vous pouvez ressentir une douleur semblable à une décharge électrique.
Le principal symptôme de la hernie discale est la douleur, au niveau du cou, d'un bras, du bas du dos ou d'une jambe. Lorsque le disque vertébral est endommagé, une inflammation s'installe dans la zone qui l'entoure. Cette inflammation se traduit par des douleurs, souvent peu intenses.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.