La lombosciatique ou sciatique est caractérisée par une douleur vive partant de la fesse et continuant jusqu'à la cuisse. Dans certains cas, elle atteint le pied et les orteils. Cette douleur se traduit par la raideur de la colonne et peut être renforcée par l'éternuement, la toux et les efforts.
À force de tousser, vous pouvez vous irriter les poumons (irritation pleurale ou pleurésie). Cette pleurésie peut également se manifester lorsque vous prenez une respiration profonde et provoquer des douleurs assez prononcées et pénibles.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Si la douleur au bas du dos survient brutalement et se manifeste par une contraction subite et intense des muscles, c'est généralement le signe : d'une lésion musculaire ; d'une entorse ligamentaire ; de la rupture ou du déplacement d'un disque.
La douleur intercostale est une douleur réveillée par des mouvements ou des efforts de toux et d'éternuement, amplifiée par les mouvements thoraciques (inspiration, expiration) et, surtout, reproduite à la palpation ou à la compression du thorax. Elle peut faire suite à un choc, un traumatisme ou un faux mouvement.
La toux sèche devient problématique lorsqu'elle devient chronique (au-delà de 3 semaines). Une consultation médicale est dans ce cas vivement recommandée, afin que votre médecin puisse rechercher la présence d'autres symptômes et poser un diagnostic.
Il faut absolument consulter son médecin si : Le mal de dos est consécutif à une chute, un choc, ou un coup et ce tout particulièrement chez les femmes de plus de 65 ans, chez les personnes qui fument, consomment de l'alcool, prennent des corticoïdes, présentent un diabète ou ont des antécédents de cancer.
Les troubles rénaux se manifestent par des problèmes digestifs tels que la constipation et les maladies rénales. La douleur se situe sur le côté latéral de la colonne vertébrale. Les douleurs au niveau lombaire peuvent être déclenchées par une inflammation de la vessie et des ovaires ou par des infections vaginales.
On parle de lumbago quand la douleur est localisée dans le bas du dos, en région lombaire, avec un blocage douloureux. Les personnes se présentent alors avec un dos « tordu », en rapport avec les contractures musculaires. La douleur est mécanique et le moindre mouvement est alors très pénible.
Dans 5 à 10% des cas, les douleurs dorsales sont liées à une maladie sous-jacente potentiellement grave, qui doit être diagnostiquée de façon précoce, comme un cancer, une infection, une spondylarthrite ankylosante, un problème cardio-vasculaire ou pulmonaire, etc.
La fatigue, l'irritabilité, la douleur et la fièvre font partie des symptômes possibles. Le médecin peut soupçonner la présence d'un cancer quand ces symptômes persistent ou s'aggravent, ou lorsqu'un examen médical révèle la présence de certaines anomalies.
La douleur est augmentée par les efforts, la toux ou l'éternuement. Les pressions et forces de flexion culminent dans le bas de la colonne vertébrale. Ainsi, les nerfs les plus souvent touchés sont ceux de la cinquième racine lombaire et de la première racine sacrée.
Si la toux est accompagnée de douleurs ou de fièvre, le médecin pourra vous prescrire un médicament anti-douleur comme le Paracétamol (Dafalgan, Panadol, etc.). ou un anti-inflammatoire comme l'ibuprofen (Irfen, Agifor, etc.).
Si la toux grasse est généralement bénigne, elle peut aussi révéler des pathologies plus graves (bronchite chronique, infection bactérienne importante, pneumonie, œdème pulmonaire, tuberculose, asthme...).
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
En cas de sciatique, la douleur irradie dans une fesse et dans une jambe. A distinguer du mal rénal qui se loge dans les côtés de la colonne jusqu'en bas de l'abdomen. En cas de calculs rénaux (cristallisation de sels minéraux et d'acides), une douleur intense et soudaine dans le dos peut aussi survenir.
Le symptôme principal quasi constant est la sensation d'une boule vaginale ou d'une pesanteur apparaissant en position debout, augmentée par les efforts et disparaissant en position allongée. La boule devient palpable lors des toilettes puis visible lorsqu'elle s'extériorise au-delà de l'orifice vulvaire.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Une toux en position allongée, survenant surtout la nuit, peut être associée. L'apparition d'un essoufflement en position allongée est un symptôme d'aggravation nécessitant une consultation médicale urgente.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.