La psychosomatique, ou somatisation, n'est ni plus, ni moins qu'une transformation interne où une émotion psychique devient une douleur physique, de la même manière que de la vapeur d'eau peut se transformer en glace.
La somatisation est un trouble à symptomatologie somatique (anciennement appelé trouble somatoforme) : c'est-à-dire, un trouble psychologique qui se caractérise par des symptômes physiques persistants, accompagnés de pensées et craintes excessives et inadaptées.
Les émotions peuvent aggraver des douleurs existantes ou être à l'origine de certaines douleurs, c'est ce qu'on appelle la somatisation. Une émotion trop forte, si elle est refoulée, va s'exprimer par le biais du corps.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
La méditation est une pratique de libération : elle permet de libérer l'esprit de ses mécanismes destructeurs. Lorsque l'on parle de méditation comme pratique de transformation de l'esprit, on dissout la souffrance.
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
Profond, ce mal-être est alors beaucoup moins « normal » et il est urgent de le traiter. Comment ? Les médicaments –des antidépresseurs la plupart du temps – peuvent aider, mais seul un travail sur soi peut vraiment en venir à bout. Parent, prof, ami ou même psy, il faut oser en parler avec une personne de confiance.
Une douleur mentale (psychologique) intense «insupportable» est définie comme un sentiment émotionnellement extrêmement aversif qui peut être ressenti comme un tourment. Il peut être associé à un trouble psychiatrique ou à un traumatisme émotionnel grave tel que la mort d'un enfant.
Elle peut se manifester par des pleurs, une perte d'appétit ou encore une perte de vitalité. Dans les cas les plus sévères, la tristesse peut entrainer une léthargie plus ou moins profonde, ainsi qu'un isolement social.
Face à une déception, la fin d'une relation amoureuse, une trahison, un mensonge ou la perte d'un être cher, on ressent de la souffrance émotionnelle.
Suite à un stress émotionnel intense, le cœur se déforme, ce qui l'empêche d'assurer son rôle et peut conduire à un accident cardiovasculaire grave. Comment une émotion peut-elle avoir un tel impact? Une récente étude suggère que ce pourrait être l'œuvre du cerveau!
Les signes d'alerte portent également sur l'observation d'un état de la personne qui se prolonge dans le temps. Il peut s'agir d'/de : angoisse ; • sentiment de tristesse, pleurs ; • sentiment d'inutilité ; • sentiment de ne pas être écouté ; • état dépressif ; • envie de mourir ; • troubles du sommeil.
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
Lorsque nous sommes tristes, il en utilise encore davantage. La dépression se manifeste par un déréglement chimique à l'intérieur du cerveau. Il s'agit d'une faille de neurotransmission lors de laquelle le bon fonctionnement de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, l'ocytocine et la sérotonine est entravé.
Antalgiques, anxiolytique, relaxantes… Ces hormones sécrétées par le cerveau ont plus d'un bienfait sur notre organisme.
Les trois éléments caractéristiques sont : Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail)
La souffrance psychique est avant tout un vécu : la personne ressent diverses formes de souffrance. Celles-ci se vivent avec plus ou moins d'intensité. Parfois, ce vécu est de l'ordre du diffus. Il est alors difficile à vivre, car ardu de mettre le doigt dessus pour l'arrêter.
L'épuisement émotionnel est un état de surcharge face à l'effort. On ne parle pas uniquement d'excès professionnels, mais aussi de la charge d'assumer des conflits, des responsabilités ou des stimuli de type émotionnels ou cognitifs. L'épuisement émotionnel n'arrive pas du jour au lendemain.
La dépression réactionnelle est un type de dépression qui se déclare à la suite d'un événement stressant. Cette maladie peut être causée par un événement marquant tel qu'un deuil, la perte d'un proche, un accident, une agression, une séparation ou encore la perte de son travail.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.