On sait toutefois que la plupart des zones du cerveau arrivent à maturité vers 25 ans. Par la suite, des connexions continuent à se faire et à se défaire, mais plus lentement que pendant la petite enfance.
Maturité: Le cerveau humain n'atteint pas l'âge «adulte» avant 30 ans, selon une étude. Les humains ne deviennent complètement des adultes que vers l'âge de 30 ans, et qu'importent les lois fixant la majorité légale à 18 ou 21 ans.
Pour la première fois, l'équivalent des courbes de croissance pour le corps et le poids vient d'être établi pour le cerveau. Un travail pharaonique qui devrait changer bien des choses dans l'approche du développement cognitif des petits.
La zone du cerveau qui gère les émotions – le système limbique – se développe très vite. Par contre, la zone qui régule le comportement et la capacité de prendre des décisions – le cortex préfrontal – mûrit plus tardivement.
Oui, l'amnésie traumatique est très répandue. C'est un mécanisme que le cerveau utilise pour se protéger, car vous savez, on peut mourir de stress. Lors du viol — ou d'un autre événement extrêmement violent comme une attaque terroriste, un crime de guerre — le cerveau déconnecte tous les circuits émotionnels.
Selon une étude de l'Inserm, le cerveau améliore ses performances en se mettant partiellement en veille. Quand un événement extérieur sollicite notre attention, on pourrait s'attendre à une mobilisation générale de tous les neurones de notre cerveau.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
Des chercheurs ont démontré dans une nouvelle étude qu'à partir de 40 ans, le stress peut réduire le volume cérébral, altérer la mémoire et amoindrir les fonctions cognitives.
On croit que le stress répété peut entraîner des changements de structure dans le cerveau et, progressivement, occasionner des symptômes plus graves : de l'anxiété, des crises de panique, des phobies, de la dépression, des dépendances, des troubles de l'alimentation (anorexie/boulimie).
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
L'adolescent développe sa capacité à penser de façon abstraite et à raisonner de manière plus efficace et scientifique. Il développe son jugement moral.
Le psychiatre Marc Schwob conseille ainsi : « Juste avant l'épreuve, on peut aussi boire un soda sucré -- le glucose, c'est l'aliment numéro un du cerveau --, sans taurine, mais avec de la caféine, ça stimule. » Et en cas de fringale, proposez-lui des fruits secs, riches en nutriments, pour stimuler ses neurones.
Le jeune quitte l'enfance, avec tout ce que cela implique et tente de gagner un peu d'indépendance face à ses parents et aux adultes en général. Il ne se considère plus comme un enfant et ne veut plus être considéré comme tel par les autres. Quitter ainsi l'enfance engendre de l'insécurité chez le jeune.
En fait, ils ont constaté qu'à l'adolescence, le QI peut considérablement bouger à quelques années d'intervalle. Mais, ces variations ne sont pas toujours à la hausse. Autrement dit, vous pouvez aussi obtenir de bien moins bonnes performances en grandissant.
Une étude provenant de la chaîne anglaise Nickelodeon est arrivée au constat suivant: les hommes n'atteignent leur maturité qu'à l'âge de 43 ans. Selon cette même source, les femmes, quant à elles, seraient déjà «totalement matures» à 32 ans, soit 11 ans avant ces Messieurs.
Entre 90 et 110, on trouve 50 % de la population ; au-delà de 130 : 3 % de la population et en dessous de 70 : 3 % également. Ainsi, si l'âge fait varier les résultats aux questions du test, il n'affecte pas le QI car la note brute est ensuite traduite en quotient après pondération en fonction de l'âge.
Et comme tout muscle il a besoin d'être stimulé et de faire de l'exercice, surtout si vous souhaitez augmenter vos capacités intellectuelles. Faites travailler vos méninges en jouant aux échecs, au scrabble, en faisant des mots croisés, des sudokus et des puzzles ou en trouvant la clé d'un casse-tête chinois.
Les neurones ont besoin d'oxygène et de glucose pour fonctionner. Il est recommandé de les nourrir en acides gras et en glucides complexes, de boire beaucoup, mais aussi de pratiquer trois fois par semaine un exercice physique d'intensité moyenne (vélo, jogging, marche...), à raison de trente minutes par séance.
Il arrive que le cerveau vieillisse plus vite que la normale. Explications les plus connues : l'isolement social ou le manque d'activité cérébrale à l'origine d'un ralentissement cognitif qui, sur le long terme, accentue le risque de démence.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.