Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
La graphie g représente le son [g] devant un a, un o ou un u : gare, gomme, guttural… La graphie gu représente le son [g] devant un e, un i ou un y : fatigue, guirlande, Guy…
G note une consonne chuintante sonore et se prononce comme un j devant les voyelles e, i, y, comme dans geler, agiter, gymnastique. Pour obtenir la même prononciation devant les voyelles a, o, u, on intercale un e entre le g et cette voyelle, comme dans geai, geôle, gageure.
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. Devant a, o et u → gu comme dans gare. Devant i et e → je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
Quand la lettre g est placée devant une consonne, elle se prononce [g]. Il existe cependant une exception devant le n : la lettre g se prononce [ɲ]. Pour obtenir le son [ʒ] devant a, o et u, et il faut mettre un e après la lettre g. Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ].
G en fin de mot
bourg et tous les mots finissant par -bourg, comme par exemple Beaubourg, Cherbourg, Duisbourg, Édimbourg, faubourg, Fribourg, Hambourg, Iékaterinbourg, Johannesbourg, Kronenbourg, Luxembourg, Saint-Pétersbourg, Strasbourg… (mais notez que le G se prononce \k\ pour la liaison dans Bourg-en-Bresse)
Il y a 3 manières d'écrire le son [ʒ] : – avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
L'ancien français pourrait être la clé de cette prononciation où le mot s'écrivait « segond ». D'après une explication de wiktionary, il s'agit d'un « phénomène de voisement intervocalique […] la consonne sourde [k], étant placée entre deux voyelles, s'est voisée en [ɡ]».
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
C'est le cas du mot second qui provient du latin “secundus” qui veut dire “suivant”. Ce mot a été extrait du latin. Mais, second qui devrait s'écrire “seGond” ne s'écrit pas comme tel, mais s'écrit d'une autre manière (seCond). Alors que la prononciation se dit “seGond”.
La consonne g, lorsqu'elle est prononcée [ʒ], apparaît surtout à l'intérieur des mots mais aussi à l'initiale, principalement pour des raisons étymologiques. Elle est plus fréquemment utilisée devant les voyelles e, i et y que la consonne j. En fait, on la rencontre toujours dans les mots français devant i et y.
En français. En français, le g se prononce [ʒ] quand il précède un e, un i ou un y, [ɲ] quand il précède un n, dans tous les autres cas il se prononce [g].
Utilisé pour construire le participe passé des verbes simples et de ceux à particule séparable. komen (venir) → gekomen (venu). eten (manger) → gegeten (mangé).
gué ! interj. Mot qui, dans certaines chansons, exprime la joie. gué n.m.
Le [ʒ] est une consonne qui se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies de son gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies, projetées.
Même si le mot femme s'écrit avec un e , il se prononce avec la voyelle [ a ]. Mais pourquoi ? Le mot femme provient du latin femina , qui était prononcé en accentuant la première syllabe fe .
C'est quand la femme violée est restée silencieuse. Il arrive en effet que des femmes ne disent pas «Non » quand elles n'ont pas envie. Elles serrent les dents –suivant la logique du «ni oui ni non»– en espérant que cela sera décrypté par leur interlocuteur : «Je n'ai pas dit “Oui”, donc cela veut dire “Non”».
Femme désigne l'être humain de sexe féminin ; le terme s'emploie généralement quand il s'agit d'une adulte. Exemple : La femme est réputée pour être plus sensible et plus pacifique que l'homme. Femme signifie "épouse, qui est mariée à un homme".
“En fait de”, ça veut dire “s'agissant de quelque chose”. Ça, on le retrouve plus à l'écrit. Et là, on ne prononce pas le T. Donc, pour résumer, si on utilise le mot “fait” au singulier, on va prononcer le T ; on va dire un “fait-e”.
La racine latine pour décider de l'orthographe
Pour faire leur choix, les lexicographes ont pris appui sur l'étymologie du mot. “Seconde” venant du latin “secundus”, qui veut dire “qui suit”, il a ainsi été décidé d'écrire le mot “seconde” pour le rendre plus en phase avec sa racine latine.
Le doublement du « s » :
- À l'imparfait du subjonctif des verbes tenir, venir, on double le « s ». Ex. : que je tinsse, que je vinsse. - On double la consonne après une voyelle accentuée : émission.
1Ce qui frappe l'ouïe, par l'effet de mouvements vibratoires rhythmiques et pendant quelque temps semblables à eux-mêmes, par opposition au bruit, où les mouvements sont confus, de durée et d'intensité inégales.
Comment travailler les confusions de son ? Pour travailler les confusions de son, il est important de faire un travail qui va s'appuyer sur des mots aux sonorités très proches. Pour reconnaître les sons [b] et [d], il va s'agir de faire prononcer à l'enfant différents mots assez similaires.
Après son invention, les éditeurs utilisaient la ligature eszett (ß) qui désigne le double S. Mais les imprimeurs français ne disposant pas du ß, ils ont matérialisé ce son par un T et un Z. Malgré la disparition du ß dans la langue française, la prononciation reste donc bien Mess.