La mystérieuse disparition de l'eau sur Mars il y a 1,7 milliards d'années. Qu'il y ait eu de l'eau coulant à la surface de Mars, il y a assez peu de doutes là-dessus.
Mars est aujourd'hui un monde désolé, balayé par les tempêtes de poussières, et plus aride que les déserts terrestres. Les températures moyennes, bien inférieures à 0°Celsius, et la faible pression atmosphérique, 6 hectopascals en moyenne, interdisent la présence d'eau liquide à sa surface.
La présence d'eau liquide sur Mars il y a 3,5-4 milliards d'années (à l'ère géologique nommée Noachienne) est attestée par la présence de vallées ramifiées. Ces vallées sont formées par de l'eau liquide, le plus généralement sous forme de pluie ou de fonte de neige.
Il y a 4,4 milliards d'années environ, la surface de la Terre se refroidit progressivement. La vapeur d'eau atmosphérique se condense et précipite à la surface de la planète. L'hydrosphère se crée. L'atmosphère s'est ainsi vidée de sa vapeur d'eau.
Mais avant de songer à poser un jour vos valises sur la planète rouge, voici ce qu'il faut savoir: cette eau n'est pas potable et elle regorge de sels appelés perchlorates, potentiellement toxiques pour l'homme.
Longues, sombres et de courte existence, les traces ont été remarquées pour la première fois en 2010 par Lujendra Ojha, alors étudiant de premier cycle à l'Université de l'Arizona.
L'atmosphère de Mars, en majorité composée de dioxyde de carbone (96 %), d'argon (1,93 %) et de diazote (1,89 %), contient des traces de dioxygène, d'eau, et de méthane.
Dans 1 milliard d'années, le flux solaire aura augmenté de 10 % et l'eau liquide disparaîtra de la surface de la Terre: la Planète Bleue aura perdu son originalité et sa biosphère, mais cela est une autre histoire...
L'eau s'évapore, forme la vapeur d'eau qui, en se transformant en pluie, va alimenter les mers, les cours d'eau et les nappes souterraines.
La première suggère que l'eau et les autres volatils terrestres sont dérivés du dégazage de l'intérieur de la Terre au moment de sa formation il y a 4,55 milliards d'années.
Une équipe de scientifiques de la NASA a démontré que l'eau sous forme liquide existait sur la surface de la Terre primitive, il y a plus de 4 milliards d'années soit très peu de temps après la formation de la planète. C'est l'étude de cristaux de zircon qui a permis cette découverte.
Sur la Lune, l'eau provient de différentes sources. Une partie de cette eau a pu être déposée par les météorites entrées en collision avec sa surface et une autre provient probablement de la réaction de l'hydrogène du vent solaire avec l'oxygène de surface pour former un groupe hydroxyle.
Selon les chercheurs de l'agence spatiale nord-américaine, le robot Curiosity aurait trouvé des roches dont la surface serait marquée par des ondulations liées à des vagues. Il s'agirait, à ce jour, de "la meilleure preuve" de l'existence d'un lac sur la planète rouge.
La présence d'eau liquide ailleurs que sur Terre n'est pas une première. On sait que des lunes de Jupiter et de Saturne en possèdent. Mais à l'extérieur du système solaire, « les planètes de ce type, on n'en compte que sur les doigts d'une seule main », précise René Doyon.
Les scientifiques de la mission MAVEN ont pu déterminer pourquoi la planète Mars a perdu une grande partie de son atmosphère il y a plus de 3 milliards d'années. Des explications données ce jeudi au cours d'une conférence de presse à Washington au siège de la Nasa.
Bonjour Yegor, la plus grande partie de l'eau sur Terre (>97 %) est dans les océans, et la Terre ne risque pas de perdre cette eau. C'est une toute petite partie de cette eau qui s'évapore et qui donne les pluies, formant le cycle de l'eau.
Les grands déserts des côtes orientales des continents, jouxtant les eaux froides et poissonneuses des océans tropicaux (Atacama au Chili et sa prolongation au Pérou ; Sahara mauritanien ; Namibie…), sont des régions du monde où il ne pleut quasiment jamais.
Sur la Terre, dans la nature, la même eau circule en permanence entre de grands réservoirs, c'est pourquoi on parle de « cycle de l'eau ». Dans la nature, lorsqu'elle est chauffée par le soleil, l'eau des rivières, des lacs et des océans s'évapore. La vapeur d'eau qui se forme ainsi rejoint l'atmosphère.
L'eau circule sans arrêt sur la Terre. Elle s'évapore des océans et y revient sous forme de pluie. Le soleil fait s'évaporer l'eau des rivières, des lacs, des mers, des océans en de fines gouttelettes.
Le risque est élevé dans 550 communes en France. Si la sécheresse perdure, l'eau potable pourrait manquer cet été. Lors de la sécheresse de 2022, environ 700 communes ont rencontré des problèmes d'eau potable et 550 d'entre elles ont été alimentées par camions citernes.
Ainsi, elle peut se solidifier pour 8 000 ans au sommet d'un glacier ou ruisseler pendant 15 jours sous forme de goutte d'eau. Dans l'océan, une goutte d'eau y reste 3 000 ans avant de s'évaporer, et 17 ans seulement si elle se retrouve dans un lac d'eau douce.
Croissance démographique, développement socio-économique et évolution des modes de consommation expliquent cette prévision. Pour l'essentiel, le surcroît de demande viendra des pays en développement pauvres et des pays émergents. L'agriculture est responsable de 70 % des extractions d'eau douce dans le monde.
En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre (près de 21 % de l'atmosphère terrestre) provient des océans. Il s'est accumulé dans l'atmosphère grâce à des micro-organismes marins (par exemple cyanobactéries et micro-algues planctoniques) capables de réaliser la photosynthèse.
Mars est une petite planète (dix fois moins massive que la Terre) et ne possède pas de cycle du carbone. C'est pourquoi l'atmosphère de Mars est très ténue, la température est faible, et ce qu'il reste d'eau est soit sous forme de glace au niveau des pôles, soit enfoui en sous-sol.
Des tempêtes de poussière ou des tremblements de Mars. L'exploration de Mars par des rovers devrait aussi permettre de tester des technologies qui pourraient permettre à des humains de coloniser la Planète rouge. Des technologies de production d'oxygène ou de nourriture, par exemple.