L'
La mort de l'ego signifierait que le sentiment que vous avez de vous-même, l'idée d'être un «individu», disparaît complètement. Au cours d'une expérience psychédélique intense et avec la méditation, il est possible de perdre l'ego.
L'ego, animé par la recherche constante de son intérêt personnel, nous convainc qu'il sait nous servir au mieux. Mais si on examine de près ses stratégies on découvre qu'il réagit de manière répétitive, qu'il prend ses désirs pour la réalité et qu'il est manipulé par ses peurs.
L'ego est la partie humaine de l'homme qui s'oblige à tout ramener à lui. Tout humain est attiré inéluctablement par tout le système mis en place par l'ego. Sans l'ego, l'homme matière n'existerait pas puisque le corps en est son idole. Explications.
« Quand l'égo pleure ce qu'il a perdu, la conscience se réjouit de ce qu'elle a trouvé. »
Parlez-en à une personne neutre et de confiance. Vous aurez ainsi un regard extérieur sur la situation et pourrez valider votre ressenti. En cas de crise d'ego passagère, mieux vaut faire le dos rond. Faites comme au bridge, laissez passer au lieu d'aller tout de suite à l'affrontement.
L'ego serait même "le contraire de l'amour". Il ne ressemble en rien à l'amour, cette "énergie qui nous pousse à aller vers les autres, à donner, à aimer, à comprendre, à partager, à s'associer, à s'unir, à s'unifier, à harmoniser."
L'ego, c'est le mental, alors que l'orgueil est considéré comme un défaut de caractère, comparable à la vanité.
Pourtant, disposer soi-même d'un égo surdimensionné peut s'avérer nocif pour le bien-être. En effet, quand on croit toujours avoir raison, les relations avec les autres peuvent se compliquer et aller jusqu'au conflit. Sans que la personne à l'égo trop présent ne comprenne d'où vient le problème.
L'ego (la représentation que j'ai de moi-même) est la résultante de l'interprétation que je me suis faite de mes expériences. Cela ne reflète donc en rien ma valeur réelle, mais juste ma perception. Si j'ai tendance à voir le négatif en tout, je me construis donc une mauvaise estime de moi.
Mettre sa vanité de côté, c'est aussi comprendre que le passé ne doit pas toujours avoir d'influence sur notre présent. C'est comprendre que, peu importe que nous ayons eu tort ou raison par le passé, ce qui importe est de donner du sens à sa vie ici et maintenant.
La conscience de sa propre valeur n'est pas plus innée que constante. Elle se construit dans le regard de l'autre, dans ses encouragements, dans l'accueil de sa gratitude. L'Ego se nourrit de la réussite, de la victoire du Grand Soir et des petites victoires du quotidien.
La « mort de l'égo » est le trip que les utilisateurs de drogues psychédéliques compétitifs recherchent. De plus en plus de psychonautes recherchent le trip ultime, mais certains d'entre eux perdent la tête dans le processus.
L'égo se construit chez l'enfant entre deux et six ans environ. C'est un système de défense qui se crée dans l'enfance pour permettre à celui-ci de se protéger d'éventuelles souffrances émotionnelles et/ ou physiques. En effet, la raison première de l'existence de l'égo, sa raison d'être est de nous protéger.
On pourrait l'assimiler à l'attachement excessif à l'Ego. L'autre est l'Amour : gentillesse, bienveillance, empathie, générosité, vérité, compassion, joie, paix, espoir, sérénité, humilité et foi.
L'orgueil tue l'amour, point. Difficile, voire impossible, de s'épanouir dans une relation où l'autre considère que vous n'avez rien à lui apprendre/apporter et que votre rôle principal est de lui vouer un culte digne de la groupie du pianiste.
L'ego, c'est la conscience que chaque individu a de lui-même : il s'agit de notre perception de notre propre personnalité, de nos traits de caractère et de notre intellect. L'ego, c'est aussi le moi, le je que nous employons pour parler de nous.
«Une blessure d'ego, c'est quand il y a atteinte à l'estime de soi, à notre intégrité.
Le terme “ego masculin” évoque un type de supériorité qui se traduit par un besoin de se mettre en valeur, une volonté constante d'impressionner (les femmes) et de surpasser les autres (en particulier les autres hommes).
L'ego nous pousse à contrôler et le contrôle est « le contraire de l'amour ». Il ne ressemble donc en rien à l'amour ! Les personnes à fort égo n'ont pas conscience de ce qu'elles font subir aux autres et ont pour seul but de se surpasser et surtout d'écraser les autres.
L'ego est la partie humaine de l'homme qui s'oblige à tout ramener à lui. Il se manifeste souvent au travers de notre grand désir, bien souvent inconscient, d'imposer aux autres nos idées, nos façons de penser ou d'agir. Si l'ego est puissant, il peut empêcher un homme de raisonner intelligemment.
Les personnalités narcissiques entretiennent une vision d'eux-mêmes exagérément flatteuse. Imbus d'eux-mêmes et très préoccupés de leur propre estime de soi, ils manquent souvent d'empathie et s'impliquent malgré eux dans une compétition permanente.