Ce sifflement peut être perçu dans une oreille ou les deux, de façon occasionnelle, intermittente ou continue. Pour qualifier ces bruits parasites qui peuvent prendre différentes formes outre le sifflement – bourdonnement, martellement, cliquetis… - on utilise le terme générique d'acouphènes.
Les causes
Les acouphènes n'indiquent pas nécessairement une maladie sous-jacente, ils peuvent être simplement provoqués par la présence de cire dans les oreilles. Lorsqu'ils sont temporaires, ces sifflements apparaissent fréquemment après l'exposition à un bruit trop intense (explosion, concert de musique, etc.).
Étymologie. (Siècle à préciser) L'histoire dit que si l'oreille gauche siffle, c'est qu'elle souffle du côté du cœur donc on parle de la personne en bien et inversement, le côté droit parle de quelqu'un en mal. Une autre version affirme que la droite signifie une jalousie et la gauche un danger imminent.
Il peut s'agir du vieillissement de l'oreille, d'un traumatisme acoustique, d'otospongiose, d'arthrose cervicale ou encore de troubles affectant le cerveau. Perçus aussi bien de jour comme de nuit, les acouphènes provoquent une gêne pouvant fortement perturber le sommeil.
Acouphènes et fatigue. Lorsqu'une personne souffre d'acouphènes, elle est susceptible de connaître une fatigue qui peut s'avérer intense et qui lui est corrélée. En effet, la fatigue peut participer à l'apparition d'un acouphène mais également en être une conséquence directe ou un facteur aggravant.
Un stress prolongé ou chronique induit une surproduction d'adrénaline responsable d'une augmentation de la tension artérielle. En cas d'hypertension artérielle, la circulation sanguine vers les oreilles est réduite et les cellules ciliées sont donc endommagées.
Oui, les acouphènes peuvent être aggravés par la dépression, l'anxiété ou le manque de sommeil. Dépression, anxiété et insomnie fragilisent l'émotionnel et vont avoir tendance à focaliser l'attention sur l'acouphène.
Les battements du cœur perçus dans l'oreille, appelés acouphènes pulsatiles, sont bénins dans la grande majorité des cas. Ils peuvent être très intenses et inconfortables, mais avant d'accuser le stress il faut examiner toutes les autres causes possibles.
Quand faut-il consulter en cas d'acouphènes ? Consultez le jour même un médecin si les acouphènes surviennent brutalement et sont accompagnés de fièvre et frissons, d'une perte brutale de l'audition, de nausées et/ou vomissements, ou de troubles de la conscience.
La Maladie de Ménière est une maladie chronique de l'organe de l'équilibre. Elle est liée à un dysfonctionnement de l'équilibre pressionnel des liquides de l'oreille interne, sans aucun rapport avec la tension artérielle ou oculaire.
Une perforation du tympan ou une fracture de l'os de l'oreille. Un traumatisme sonore : écoute prolongée de musique trop forte, appareils et engins bruyants… Un neurinome de l'acoustique : une tumeur bénigne du nerf auditif. Une otite chronique.
Sachez que les fruits et légumes riches en vitamines A, C, D ou E protègent aussi l'audition : ils stabilisent l'oxygène dans l'oreille pour conserver de bonnes capacités auditives. Faites donc la part belle aux lentilles, fruits secs, poivrons, tomates, carottes, mangues, agrumes…
Les acouphènes ne sont pas dangereux, mais lorsqu'ils sont intenses et continus, ils peuvent devenir très dérangeants. En plus de provoquer insomnie, irritabilité et troubles de la concentration, ils sont parfois associés à la dépression.
Dans près de la totalité des cas, les acouphènes sont un symptôme bénin, ne présentant pas de danger pour la santé. Dans le cas des acouphènes transitoires, essentiellement dus à un traumatisme sonore, ils peuvent même disparaître d'eux-mêmes au bout de quelques jours.
Le traitement médicamenteux des acouphènes
Il repose sur l'utilisation de vasodilatateurs, dont l'efficacité est mal établie. Certains antiépileptiques, antidépresseurs ou anxiolytiques peuvent également être proposés, bien qu'ils n'aient pas d'indication officielle dans le traitement des acouphènes.
Les anti-inflammatoires
Il s'agit notamment de l'aspirine, de l'aspégic ou de l'ibuprofène qui possèdent un caractère ototoxique. En cas d'acouphènes, il convient donc de ne pas avoir recours à ces médicaments anti-inflammatoires courants.
Mélisse, passiflore, petite pervenche, fleur d'oranger, aubépine… D'autres plantes peuvent également être utilisées dans le traitement des acouphènes, notamment pour calmer la nervosité et le stress. Elles doivent en général être consommées en décoction de feuilles.
Maux de tête causés par des acouphènes
Les personnes acouphéniques entendent un bruit persistant dans les oreilles, de façon plus ou moins prolongée et intense. Parmi les symptômes courants, on compte le manque de sommeil, une perte d'audition, l'isolement et les maux de tête.
Pourquoi les acouphènes sont plus forts en intensité le soir ? Les acouphènes peuvent être perçus plus forts le soir, au moment du coucher que le matin, pour différentes raisons : Le stress / angoisse du soir, amplifié notamment par les sifflements. La fatigue accumulée dans la journée, notamment auditive.
Les vertiges se déclarent soudainement et sont accompagnés de nausées et de vomissements. Ces crises durent quelques heures. La personne ressent une pression dans l'oreille atteinte et a du mal à entendre du côté concerné. Au cours du temps, les crises se répètent et la perte d'audition s'aggrave progressivement.
Les amandes
L'amande est également un remède ayurvédique lorsqu'elle est préparée avec des graines de citrouille, de blé ou des graines de pavot pour ainsi à réduire les étourdissements et les vertiges.