En règle générale, le froid est utilisé pour diminuer la douleur et contrôler l'inflammation alors que la chaleur favorise la guérison, la diminution des tensions musculaires et des raideurs.
Grâce à son effet décontractant, la chaleur est très utile contre les contractures musculaires ou les crampes. Le froid est quant à lui bénéfique sur une entorse ou une foulure pour éviter le gonflement de l'articulation.
Le froid possède une action positive sur la traumatologie pour soulager une luxation, une déchirure tendineuse, ligamentaire ou musculaire comme un claquage, une entorse, une contusion ou une tendinite.
Le froid va permettre de diminuer leur formation. de spasmes et contraction musculaires suite à un choc ou à une contraction musculaire involontaire. de douleur sportive type élongation, déchirure musculaire, claquage, tendinite, douleurs articulaires telles que entorse, luxations.
Un bain chaud, une compresse ou une bouillotte chaude peuvent donc être employés lorsque surviennent des crampes musculaires ou menstruelles, des spasmes musculaires, des courbatures, des douleurs et raideurs musculaires ou arthritiques.
La chaleur. Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire.
Quand appliquer du chaud ? Le chaud est donc recommandé pour soulager les problèmes suivants : Douleur musculaire et contracture. Mal au dos (lombalgie, sciatique, cruralgie, lumbago).
Appliquée sur l'articulation douloureuse, la chaleur peut atténuer les douleurs. Un bain chaud peut aussi être source de soulagement. Quant au froid, il est efficace en cas d'inflammation d'une articulation.
Mais en faisant diminuer le diamètre des vaisseaux sanguins pour limiter la perte de chaleur par conduction, le froid contribue à limiter l'afflux de sang que génère une inflammation et soulage ainsi toutes sortes de douleurs.
Notre recette : 12 minutes d'application alternée. Débuter par une minute de chaleur suivi d'une minute de froid et répéter le cycle 6 fois.
- l'application de glace permet de diminuer la sensation de douleur locale et réduire la circulation sanguine à l'endroit où elle est appliquée, ce qui permet de réduire l'enflure.
Le chaud et le froid. L'alternance entre la chaleur et des compresses froides peut réduire le gonflement et l'inflammation du nerf. Combiner le chaud et le froid en changeant de compresse toutes les 15 minutes environ, augmente la circulation sanguine dans la zone en question, et diminue ainsi la douleur.
Assis dans une position agréable, détendez la mâchoire, les muscles du visage, baissez les épaules puis fermez les yeux. Placez le bout de vos doigts sur les épaules, les coudes vers l'extérieur. Puis, inspirez et rapprochez les coudes l'un de l'autre en dessinant un demi-cercle et en expirant repartez vers l'arrière.
En outre, un un chirurgien spécialisé en chirurgie du rachis pourra être amené à intervenir. Dans ce cas, nous vous conseillons d'opter pour un centre spécialisé dans ce type de chirurgie. La cervicarthrose (ou arthrose cervicale) reste la cause la plus fréquente chez les patients.
L'huile essentielle de romarin, l'huile essentielle de gingembre et la teinture d'arnica sont traditionnellement utilisées en application pour soulager les douleurs articulaires et musculaires. Le curcuma réduirait la douleur articulaire, et aurait un effet anti-inflammatoire.
Le paracétamol
Les médicaments contenant du paracétamol (voir liste ici) sont recommandés en premier lieu. Dans le traitement de l'arthrose, le paracétamol peut être pris à la dose de 1 gramme, quatre fois par jour, mais uniquement sur prescription médicale. Le paracétamol est habituellement bien toléré.
L'activité physique agit de manière bénéfique sur l'arthrose. Néanmoins, en ce qui concerne le genou (gonarthrose), la marche est utile, mais sans excès.
En effet, le froid "a un effet de vasoconstriction qui soulage les douleurs", réduit l'inflammation et l'afflux de sang dans les articulations qui sont enflammées. Il a également un effet anesthésiant.
En réalité, ce sont les différences de températures, le chaud et le froid qui gênent nos articulations. Le froid va ralentir la circulation, le chaud la "réaccélérer" : ces mini-chocs contribuent pour une large part à ce phénomène de douleurs articulaires. Mais pas seulement.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Les feuilles du cassis renferment des antioxydants appelés "flavonoïdes". Ce sont des anti-inflammatoires naturels puissants. "Le cassis est un super-aliment qui est capable de soulager les rhumatismes, comme l'arthrite et l'arthrose", indique Philippe Chavanne.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
4. Une attention particulière est requise si vous l'utilisez avant de pratiquer un sport. L'application de plus de vingt minutes de glace diminuerait la vitesse, la puissance, la proprioception alors qu'une application de dix minutes aurait beaucoup moins d'effets sur certains de ces paramètres.