Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
Après « quoique », le verbe est au subjonctif : il faut écrire « quoique j'aie reçu ». Faux. Il faut écrire : Je sais conduire, bien que je n'aie pas le permis. Après « bien que », le verbe est au subjonctif.
1. Indique la concession ; bien que, encore que : Quoique nous soyons à la fin juillet, il y a encore beaucoup de monde à Paris. 2. Indique une réserve portant sur un qualificatif : Quoique riche, il n'était guère généreux.
Quoique est une conjonction de subordination qui signifie « bien que ». Elle s'écrit toujours en un seul mot. Quoiqu'elle soit encore très jeune, elle fait preuve d'une grande maturité. Quoique n'a aucune fonction par rapport à un autre terme de la proposition.
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Oui (« La nouvelle version du jeu ne sortira que en 2013 »). Il faut donc écrire « qu'en », et non « quand ».
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
S'il s'agit en revanche d'un capital, au propre (argent, bien immobilier, investissement financier) ou au figuré, c'est « fonds » qu'il faut écrire, avec un « s » au singulier comme au pluriel : un fonds de commerce, un fonds d'investissement, etc.
« Tel (que) » s'accorde avec le nom qui précède
Lorsqu'il est suivi de « que », « tel » s'accorde avec le nom qui précède. Exemple : « Il a lu plusieurs textes tels que des poésies. » Ici, « tel » s'accorde avec le nom qui précède, c'est-à-dire « textes », masculin pluriel, d'où « tels que ».
La conjonction «quoique» s'utilise pour marquer une concession, une éventualité, un jugement rectificatif ou bien une hésitation. «Je l'aime bien quoiqu'il soit laid» ou «Je l'aime bien quoi qu'il soit laid»?
Deux possibilités : on peut écrire quoi que ce soit ou quoique ce soit , mais ça n'a pas du tout le même sens. Dans tous les cas, on écrit ce avec un c .
Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle-moi ! = Si tu as besoin de quelque chose/n'importe quoi, appelle-moi ! Quoique (en un seul mot) signifie « bien que, encore que ». Exemples : Quoique vous soyez amis, vous êtes souvent en désaccord.
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Quoiqu'il arrive; quoi qu'il arrive; quoique, conjonction; quoi que, locution pronominale; grammaire française; orthographe. Allons, quoiqu'il arrive à ce gouvernement [le gouvernement conservateur de Stephen Harper], la campagne à la direction du Parti libéral du Canada est bien lancée… (Michel Vastel.)
« QUE », pronom relatif, introduit une proposition subordonnée relative. Il est complément d'objet du verbe et remplace le groupe nominal antécédent de la proposition principale. Ex. : La maison que j'ai achetée est grande. → La proposition principale est : La maison est grande.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
2°Quand, quand même, quand bien même, quand bien
Sens de Lorsque, (comme ci-dessus) rare, conditionnel ou subjonctif. Les enfants ne sont que des enfants quand bien même ils sont parfois plus avisés que nous, les adultes. Tiens-toi convenablement quand même je ne te vois pas.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Comme l'indicatif et le subjonctif, le conditionnel est un mode. On l'utilise pour exprimer une action qui aura lieu à condition qu'une autre action ait pu avoir lieu avant. Si Jordan gagnait au loto, il s'achèterait une voiture de sport rouge.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
On écrit qu'en lorsqu'on peut le remplacer par que...de cela. Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne.
La réponse simple. On écrit toujours « quant à » avec un t final, lorsqu'il est suivi de : à, au, aux. Il signifie : en ce qui concerne, pour ce qui est de, au sujet de.