Le retournement après six mois. Si vous avez du temps à consacrer à votre compost, retournez-le tous 1 ou 2 mois. Il sera toujours bien aéré et sera plus vite décomposé. Le retournement se fera à coté du tas.
Planifier un retournement régulier
Pour des résultats optimaux, retournez le compost toutes les deux à trois semaines. Cependant, la fréquence peut varier en fonction de la taille du composteur, des conditions météorologiques et du type de déchets ajoutés.
Après avoir tout sorti du composteur, récupérer le compost le plus mûr, puis l'épandre sur la terre qui va accueillir les plantations, le griffer pour l'incorporer au 5 premiers cm de terre, et le recouvrir de paillis (de la tonte séchée par exemple).
Afin de savoir si votre compost est mûr, il faut vérifier qu'il a un aspect homogène, une structure finement grumeleuse, une couleur brun foncé, et qu'il dégage une agréable odeur de sous-bois. Un test de maturité facile à réaliser : remplir une soucoupe avec du compost mûr tamisé et y semer du cresson.
Bien sur qu'il faut remuer son compost, il a besoin d'oxygène pour sa décomposition sinon il se decomposera mal, aura de l'ammoniac et sentira mauvais, l'été cela va plus vite, mais l'hiver c'est beaucoup plus lent.
L'ortie : cette plante est très riche en matières organiques et en germes. Mélangée au compost, l'ortie en augmente la température, favorisant ainsi la décomposition des déchets.
Votre compost doit être humide, mais pas détrempé. Si vous le trouvez trop sec, ajoutez des matières vertes ou de l'eau. S'il est trop humide, ajoutez des matières brunes. Un compost bien entretenu atteindra une température d'environ 60°C, signe que la décomposition se passe bien.
Règle n° 4 : surveiller l'humidité
Si c'est le cas, on peut étaler le compost quelques heures au soleil ou le mélanger avec du compost sec ou de la terre sèche. Pas assez d'humidité : les déchets deviennent secs, les micro-organismes meurent et le processus s'arrête. Il faut alors arroser le compost.
L'une des clés de réussite d'un bon compost est une bonne aération. En effet l'action des microorganismes, insectes et vers doit se faire en condition d'aérobiose.
au printemps (en mars-avril pour les vivaces, en juin pour les annuelles), incorporez 3 à 5 kg/m2 de compost avec un léger griffage en surface pour le mélanger à la terre.
Pour une efficacité optimale, placez une couche d'activateur de compost entre deux couches de déchets d'environ 10 cm. Mélangez bien avant d'arroser puis laissez reposer. Il est nécessaire de garder le compost humide en l'arrosant régulièrement et en le couvrant pour limiter l'évaporation.
- Un peu de bicarbonate de soude saupoudré directement sur le tas de compost évite que celui devienne trop acide. - Marc de café, épluchures de fruits et de légumes (hors oignons et agrumes) sont très apprécié des vers de terre. - Les journaux en noir et blanc feront le bonheur des vers de terre.
Cette fourche à compost (Longueur totale: 125) 4 dents pointues est idéale pour disperser de l'herbe, du foin ou de la paille, mais aussi pour retourner le compost ou tout autre déchet végétal.
La phase active peut durer de 1 à 4 mois si l'andain est retourné fréquemment, de 4 à 8 mois si les retournements sont moins fréquents, et de 6 à 24 mois dans le cas d'un compostage passif sans retournement ni aération active.
Quand utiliser du compost ? Le compost s'utilise en toute saison : Au début du printemps, apporter une importante quantité de compost mûr aux plantations ; En été, étaler le compost en paillage sur le sol du jardin pour protéger les plantations et améliorer la capacité de rétention du sol.
Surveiller le degré d'humidité : le compost ne doit être ni trop sec, ni trop humide. lombricomposteur : mettre dans le fond du bac une litière humide (papier journal, carton, paille...), y déposer les vers puis attendre 2 ou 3 semaines avant d'ajouter des déchets frais.
Le papier journal, les copeaux de bois, la paille et les feuilles séchées sont redoutablement efficaces ! Même si votre compost n'est pas excessivement mouillé, nous vous conseillons de le mélanger régulièrement. Cela permet de répartir l'humidité qui peut avoir tendance à se concentrer au fond du bac.
Pour connaître le bon taux d'humidité, un test est simple : prendre une poignée de compost dans la main et quelques gouttes seulement doivent s'en échapper. Trop humide : quand il fait soleil, ouvrir son bac ou étaler plusieurs heures la partie du compost trop gorgée d'eau, et/ou alors rajouter des matières sèches !
Les produits laitiers attirent les animaux et parasites, mais peuvent également étouffer le compost. La graisse, les huiles, la mayonnaise ne peuvent pas se décomposer facilement à des températures basses. Les arêtes de poisson et les os.
L'utilisation du carton en paillage
Ainsi, en le plaçant sur les planches potagères, il évite le développement des adventices. Puisqu'il laisse passer l'eau et qu'il pourrit et se décompose avec le temps, il amende le sol au même titre qu'un paillage en paille ou en feuilles morte.
Les avis divergent à ce sujet : selon certains spécialistes, il est préférable d'éviter les épluchures de pommes de terre dans votre bac à compost. Selon eux, elles peuvent être porteuses ou encourager le développement de maladies capables de dégrader votre terre.
au printemps ou à l'été prochain, «solarisez» le compost contaminé afin de le désinfecter. Il suffit pour cela de l'épandre en couche fine de 5-10 cm maximum et de le recouvrir d'un film plastique en laissant passer le moins d'air possible.
Tout dépend si vous vous en occupez et des activateurs que l'on utilise. Mais le meilleur, c'est l'urine, que l'on a à portée de main. Comme moi, sauf si vous suivez un traitement antibiotique, faites pipi tous les jours dessus. C'est très efficace.
Installer une palissade ou un claustra sur lequel vous ferez pousser une plante grimpante est alors un moyen très pratique pour cacher votre bac à compost. Vous installez ce « paravent » contre la partie qui ne demande pas d'accès (le côté du composteur), en réservant un accès sur le côté pour le passage.
L'eau (la pluie) accélère la décomposition des feuilles mortes. des végétaux y trouvent les éléments indispensables à leur croissance.