La personne qui parle mal de toi le fait peut-être parce que cela lui permet de se sentir mieux ! Elle a probablement des pensées négatives à son sujet régulièrement et manque profondément de confiance en elle. Comme conséquence, elle parle aussi des autres négativement X Source de recherche .
Posez des questions comme « Est-ce à moi que tu lances cette pique? » ou « Que voulais-tu dire en pointant tes pouces vers le sol pendant que je parlais? » Ensuite, si votre Sournois répond en se moquant encore de vous, dites quelque chose comme « On dirait bien que tu te paies ma tête? » Il est important de lui ...
Accuser une personne à tort, dire des choses péjoratives à son sujet parfois sans raison.
Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
Parler mal des autres cache une faible estime de soi
Parler mal des autres en dit long sur la manière dont une personne se voit elle-même. Derrière la critique se cache de l'insécurité et une faible estime de soi, assure l'étude publiée par l'Association Américaine de Psychologie (APA).
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Il est important d'aller vers l'autre et de lui parler de son inquiétude à l'occasion d'un temps calme, lors d'une soirée en tête à tête. Si rien ne se passe, un mur s'installe rapidement. Il faut alors consulter.
À FAIRE : Dites aux gens qu'ils comptent.
Avant toute chose, assurez-vous de renforcer votre relation avec la personne. Dire des choses comme : «Avant de dire quoi que ce soit, je veux m'assurer que tu sais que je me soucie de toi» ou «Je veux te respecter et apprécier ton point de vue» .
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
La personnalité sadique est un trouble de la personnalité qui se caractérise par un ensemble de comportements destinés à faire souffrir autrui ou à le dominer. Il est difficile de traiter un tel comportement.
Observez son comportement.
Il s'agit d'un signe évident. Toutefois, vous ne devez pas supposer qu'une personne parle de vous juste en observant son langage corporel comme rire, vous fixer, chuchoter en votre absence ou mettre un terme à une discussion lorsqu'elle vous voit.
Qui parle mal des autres avec vous, parle mal de vous avec les autres. Citation sur l'hypocrisie.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
"Tous ceux qui coupent la parole aux autres de façon systématique, agissant tels des envahisseurs, ont un déficit dans la capacité à s'intéresser à autrui, à penser qu'ils peuvent apprendre quelque chose de l'autre ou à être curieux de ce qui se passe dans la tête de l'autre.
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
Pensez-vous qu'il y ait, sentimentalement parlant, un point de non-retour. Ce moment ou vous vous apercevez que quoi qu'il se passe, quoi que l'autre fasse, même au mieux qu'une situation puisse évoluer, même si l'autre devenait "l'idéal attendu" vous ne pourrez plus jamais revenir en arrière.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
Méthode 2 sur 3: Ignorer la provocation. Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague.