S'était est la contraction du pronom « se » suivi du verbe « être » conjugué à l'imparfait à la 3e personne du singulier. Pour savoir s'il faut écrire « s'était », on peut mettre la phrase à la 1re personne du singulier (« je m'étais »).
Le « c' » est ici remplaçable par « me » ou « te » : on pourrait aussi bien dire « si je ne m'étais pas défendu » ou « si tu ne t'étais pas défendu ». Il faut donc écrire « s'était » et non « c'était ».
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
C'est : contraction du mot « cela »
L'apostotrophe qui suit le « c » est la contraction du mot « cela ». Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire.
On écrit « s'est » avec un -s quand... : On écrit « s'est » lorsque celui-ci est suivi d'un participe passé. Alors, « s'est » fait partie de la conjugaison d'un verbe pronominal.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Comment s'écrit la phrase tout s'est bien passé ? Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
S'est est le pronom personnel se (s') accompagné du verbe être conjugué au présent de l'indicatif. Un sujet doit nécessairement être placé avant s'est.
Sur le plan de l'orthographe, cette phrase comporte deux difficultés : la première lettre de s'est et l'accord de passée . On écrit l'opération s'est bien passée , avec un s au mot s'est et avec passée au féminin.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
Même chose quand le sujet du verbe est un nom féminin singulier, comme dans la rentrée s'est bien passée , la réunion s'est bien passée , la reprise s'est bien passée .
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Une astuce pour savoir s'il s'agit bien du pronom et non du démonstratif « ce » est d'ajouter lui-même, elle-même, soi-même, eux-mêmes ou elles-mêmes après le verbe pronominal. Si la phrase garde son sens, alors il faut bien écrire « se » avec un -s.
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
On écrit donc repose-toi bien , sans s à repose . C'est au présent de l'indicatif que le verbe (se) reposer prend un s , quand il est conjugué avec tu : tu te reposes .
La réponse simple. On écrit « ce sont » devant un nom, un groupe nominal ou un pronom pluriel. Exemple : Ce sont les enfants qui t'ont appelé hier soir.
L'astuce pour repérer s'il faut écrire « se » est simple, si dans le contexte précis, vous ne pouvez pas remplacer votre pronom personnel par « cela », donc vous ne pouvez pas utiliser le pronom « ce ». Astuces supplémentaires : Vous ne devez écrire « ce » que lorsque vous ne pouvez pas le remplacer par « me ».
Étymologie. (Adverbe) Agglutination de la locution, autrefois pléonastique au jour d'hui où hui signifiait « en ce jour », comme le latin hodie dont il provient. Intégré dans la langue française approximativement au XVI e siècle. De nos jours, hui a disparu du français et le mot a perdu son caractère pléonastique.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1re ou de la 2e personne du singulier : n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas » ! C'est le gendarme qui a brûlé la maison.
Le mot « c'est » : -il peut être remplacé par « ceci est ». C'est de la bouillie. Ceci est de la bouillie.
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.