Le style évitant Au contraire des personnes anxieuses, les personnes évitantes vont souvent présenter un inconfort marqué avec l'intimité relationnelle et s'efforceront de toujours garder une certaine distance émotionnelle avec leur partenaire.
Il aime qu'on « soit sur son dos » et il ne se sent aimé que s'il est harcelé, tandis qu'il ne répond à ce harcèlement que par la fuite, pour s'assurer qu'il va se poursuivre. – C'est ce qui explique qu'il est sans cesse dans le schéma du «suis moi je te fuis, fuis moi je te suis ».
Rompt facilement. Ne parle jamais de sentiments et d'émotions. Ainsi, il peut se sentir mal à l'aise lorsqu'une relation s'inscrit dans le temps. Il ressent souvent son partenaire comme étant trop demandeur et étouffant si ce dernier évoque ses besoins affectifs.
Soulignez ses qualités. Les personnes atteintes du trouble de la personnalité évitante ont souvent tendance à se sentir incapables ou inférieures. Plutôt que de débattre avec lui de ses opinions absurdes quant au fait qu'il y aurait quelque chose qui cloche chez lui, focalisez-vous plutôt sur ses qualités intrinsèques.
– La personne évitante se plaint souvent du fait que son partenaire désire une relation plus intime que celle à laquelle il est prêt. – Il ne se livre pas facilement. – Il a la conviction que l'amour « romantique » n'est pas durable. – Pour lui, l'indépendance et l'autosuffisance sont primordiales.
Et dans les relations intimes la personnalité évitante se montrera réservée par crainte d'être exposée à la honte et au ridicule. La personnalité évitante manque beaucoup de confiance en soi et a le sentiment de ne pas être à la hauteur.
Alors si notre attitude devient invasive ou exagérément dépendante, l'autre risque de prendre ses distances comme par autodéfense. Cela ne reflète pas forcément un manque d'amour, mais un besoin viscéral d'espace pour respirer et se recentrer sur soi. Et plus on le harcèle, plus ce besoin s'intensifie.
Ils évitent de prendre des décisions : Une personne ayant une personnalité évitante peut éprouver des difficultés à prendre des décisions, même si celles-ci n'ont pas un grand impact sur sa vie décisions, même si celles-ci n'ont pas beaucoup d'impact sur leur vie quotidienne.
Le trouble de la personnalité évitante est caractérisé par l'évitement des situations ou interactions sociales qui comportent des risques de rejet, de critique ou d'humiliation. Le diagnostic repose sur les critères cliniques. Le traitement consiste en une psychothérapie, des anxiolytiques et des antidépresseurs.
Dans le cas où la question serait jugée trop intime ou intrusive, il est probable que l'évitant vous oppose un silence. Ce silence peut-être mal interprété comme un manque de respect, de l'indifférence, alors que ce sera simplement un « bug », l'évitant ne sait pas répondre.
Attachement dissuasif (évitant)
Selon Bowlby (1988), il s'agit d'un évitement au service de la proximité. Le comportement d'attachement ayant pour but de maintenir la proximité, la fonction de cet évitement est de désactiver les sentiments et les idées qui menacent la relation réelle ou perçue.
Les individus atteints de troubles de la personnalité évitante se considèrent eux-mêmes être socialement inaptes ou personnellement peu attirants, et évitent une interaction sociale par peur d'être ridiculisés, humiliés, rejetés ou mal-aimés.
« L'infidélité pourrait être une stratégie de régulation émotionnelle chez les personnes dont l'attachement est évitant, estime l'étudiante. Ce comportement permet d'éviter la peur de l'engagement, de s'éloigner de l'autre, de préserver son espace de liberté et de quitter l'autre avant d'être laissé. »
Comment cela peut se soigner ? Les traits de personnalité évitantes se soignent par des thérapies individuelles et des prises en charge de groupe, par exemple des thérapies comportementales et cognitives (TCC) mais aussi des thérapies systémiques.
Le style évitant est l'un des deux styles d'attachement insécurisant. Il se caractérise par un degré d'anxiété d'abandon faible et un degré d'évitement de l'intimité élevé. Enfants, ces individus ont été profondément blessés dans l'intimité des relations par une mère froide, distante, dépressive ou agressive.
Essayez de lui donner du temps et de l'espace.
Ce comportement est fréquent chez les personnes ayant ce style d'attachement. Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, si vous avez envie de renouer avec votre ex, il est préférable de vous rendre inaccessible de sorte à éviter tout contact.
De base, la durée du SR tourne autour de 3 à 4 semaines. Il peut être prolongé, mais ne doit pas dépasser les 3 mois. Un laps de temps assez long (mais pas trop) durant lequel votre ex se posera des questions et se demandera ce qui se passe. C'est l'effet psychologique du silence radio.
"Les personnes présentant un attachement de type évitant ont peur du rejet et du jugement négatif des autres. Elles évitent les activités sociales, les relations car elles craignent d'être jugées comme étant inférieures aux autres.
Définition de irascible adjectif.
Faire face aux troubles de l'attachement dans les relations
Encouragez-le à s'exprimer librement, posez des questions lorsque vous ne comprenez pas quelque chose et assurez-vous de valider ses émotions. Cela aidera votre partenaire à vous faire confiance.
Le trouble d'attachement est un trouble qui se caractérise par des difficultés dans la création et le maintien des relations sociales saines. Ces troubles se développent pendant l'enfance à la suite de nombreux facteurs tels que le manque d'attention des parents ou un abus subi. par rejet ou dévalorisation de l'enfant.
Donc l'attachement adulte apparaît développé à l'intersection de deux axes : d'un côté, il est hérité des attachements construits dans l'enfance avec les figures parentales ; d'un autre côté, il se déploie dans les relations avec un partenaire.
Souffrir d'un manque de confiance en soi
On parle d'attachement anxieux fusionnel pour définir ce type de modèle interne opérant parce que l'enfant ne parvient pas à se sentir en sécurité et à avoir confiance en lui en l'absence de sa personne de référence. Il est en recherche constante de validation et de réassurance.
Une personne attachée veut absolument plaire à l'autre et souffre donc d'égocentrisme contrairement à l'amour qui permet à chacun des partenaires de s'épanouir individuellement au sein du couple. "L'attachement, même s'il peut être quotidien, est monotone. On n'est pas soi, on est dépendant de l'autre.