L'adulte soumis à la maltraitances infantile sera davantage exposé à des troubles psycho comportementaux, car le stress généré par la maltraitance aura des répercussions sur : La santé : pathologies cardiovasculaires, cancer, suicide, … L'humeur : dépression, tristesse, anxiété…
La maltraitance envers les enfants perturbe le cours normal de leur développement affectif. Les enfants maltraités sont à risque d'une grande variété de problèmes reliés à la santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, l'abus de substances, la criminalité et d'autres formes de comportement affectif mal régulé.
L'idée est d'amener la personne à prendre conscience qu'elle est une victime, pour mieux apaiser ses sentiments de culpabilité et de honte. "Le rôle du thérapeute est d'aider à prendre du recul sur ce qui s'est passé et de montrer que c'est au parent, et non, à l'enfant d'endosser la responsabilité de la maltraitance."
Plusieurs signaux peuvent indiquer qu'une personne est victime de maltraitance même si la liste n'est pas exhaustive… La personne : Apparaît effrayée, méfiante ; Présente des symptômes de dépression, insomnie, perte d'appétit, perte d'intérêt, pleurs…
Les conséquences pour l'enfant
– des conséquences psychologiques : cette violence peut induire des troubles relationnels, une faible estime de soi, des comportements agressifs, de l'addiction, une dépression, des difficultés de concentration et d'apprentissage dans le milieu scolaire.
La maltraitance affective inclut : Les réprimandes sévères en criant ou en hurlant. La dévalorisation des capacités et des accomplissements de l'enfant. L'encouragement de comportements déviants ou délictueux, tels que commettre des infractions ou consommer de l'alcool ou de la drogue.
La maltraitance des personnes âgées est un problème de santé publique important. En 2017, une analyse de 52 études réalisées dans 28 pays de diverses régions a révélé que, au cours de l'année précédente, une personne âgée de plus de 60 ans sur six (15,7 %) avait été victime d'une forme de maltraitance (1).
Faible estime de soi
Leur enfance a marqué le cours de son développement émotionnel. Par conséquent, le profil psychologique d'un maltraitant met en évidence un manque important d'estime de soi. Ce manque de respect et d'amour envers soi-même peut être la cause ou la conséquence de mauvais traitements.
Les personnes victimes de traumatisme infantiles ont tendance à porter des blessures émotionnelles qui les amènent plus facilement à se laisser maltraiter. Elles souffrent d'un manque de confiance, et d'"inutilité acquise", conséquence de leur incapacité à empêcher la maltraitance dans l'enfance.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Guérir des violences psychologiques invisibles, c'est apprendre progressivement à être soi-même, c'est se reconnecter à ses sensations propres, ses émotions personnelles, ses goûts et motivations intrinsèques.
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
La violence psychologique se manifeste sous des formes variées : moqueries, contrôle des faits et gestes, imposition d'opinions, manipulation émotionnelle, suggestion de culpabilité, dévalorisation des acquis, intimidations et menaces.
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
Un enfant qui souffre. Quoi qu'il en soit, un enfant difficile est un enfant qui souffre, rappelle Philippe Jeammet : « Un enfant difficile est le miroir d'un malaise dans sa famille ou ailleurs. C'est le moyen que cet enfant a trouvé pour agir face à une situation qu'il subit afin d'être moins mal.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
Violences commises par les parents
La peine est de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende lorsque les faits sont commis par un parent ou par une personne qui a autorité sur le mineur.
Elle essaie de masquer ses blessures. Elle trouve des excuses à la dernière minute pour ne pas vous rencontrer ou elle essaie de vous éviter lorsqu'elle vous rencontre dans la rue. Elle semble triste, seule, repliée sur elle-même et craintive. Elle consomme des drogues ou de l'alcool pour faire face à la situation.
La maltraitance s'entend de toutes les formes de violences physiques ou psychologiques. Qu'il s'agisse de coups, de brimades ou de privation. Un comportement passif, s'il nuit à la personne âgée, est aussi considéré comme de la maltraitance : privation de soins, d'alimentation, abandon dans un lieu quelconque...
Les circonstances familiales peuvent changer, un divorce, une perte, un traumatisme ou une récession économique, et elles peuvent modifier la disponibilité du parent et affecter leur approche de l'éducation des enfants.
Les violences psychologiques sont une véritable entreprise de démolition de l'identité de la victime. Elles créent un climat d'insécurité physique et émotionnelle par la survenue de conflits à tort et à travers, d'intimidations répétées, de menaces fréquentes, de chantage, de sous-entendus insidieux, de colères.
C'est vers 7 ans, le fameux âge de raison, qu'un enfant peut rester seul. Mais, quel que soit son comportement habituel, mieux vaut procéder par étapes.
La violence psychologique, violence mentale ou violence émotionnelle, est un abus caractérisé par un comportement agressif ou violent qui peut par la suite résulter en un traumatisme psychologique, pouvant inclure anxiété, dépression chronique.