Le risque d'être un jour atteint d'un mélanome augmente avec l'âge, mais on l'observe aussi chez les adolescents et les jeunes adultes (de 15 à 29 ans).
La survenue de ce cancer est tardive, près de trois quarts des nouveaux cas estimés sont diagnostiqués au-delà de 49 ans et seulement 27 % entre 15 et 49 ans. Le mélanome est un cancer exceptionnel chez l'enfant et rare avant 20 ans, sauf pour sa forme ophtalmologique.
Le mélanome se manifeste le plus souvent par l'apparition d'une tache de couleur brun foncé ou noire sur la peau.
Dans 70 à 80 % des cas, les mélanomes se présentent sous la forme de taches qui ressemblent à un grain de beauté, d'apparition récente et de couleur noirâtre. En général, les mélanomes ne provoquent ni démangeaisons, ni saignements, ni douleur.
L'âge moyen d'apparition des cancers de la peau se situe au-delà de 55 ans et 2/3 des cancers sont dus à une exposition excessive aux ultraviolets solaires ou artificiels.
On peut utiliser des techniques d'imagerie, comme la tomodensitométrie et la radiographie, pour localiser la région précise où effectuer le prélèvement. Il existe différents types de biopsie, dont la biopsie à l'aiguille fine, la biopsie chirurgicale et la biopsie endoscopique. afin de savoir si le cancer est présent.
Le mélanome cutané est le plus grave des cancers de la peau étant donné sa forte capacité à métastaser. Aucune catégorie d'âge n'est épargnée. Il est observé de l'enfance à un âge avancé. Le pic d'incidence se situe entre 50 et 64 ans chez l'homme et entre 15 et 64 ans chez la femme.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Le mélanome correspond à la multiplication anarchique de mélanocytes (cellules de la peau qui fabriquent la mélanine) devenus cancéreux. La tumeur reste le plus souvent localisée à la peau.
Il peut être localisé uniquement à la peau, mais aussi envahir les ganglions à proximité ou un organe à distance (au niveau des poumons, du foie, de la peau ou du cerveau par exemple).
Ce sont des tumeurs non cancéreuses (bénignes). Mais dans certains cas, les changements qui affectent les mélanocytes peuvent engendrer un mélanome. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d'un grain de beauté est généralement le premier signe de la présence d'un mélanome.
Détecté à un stade peu développé, le mélanome peut la plupart du temps être guéri. La prévention et la surveillance de sa peau sont donc primordiaux. Selon l'Institut National du CAncer, 70 % des mélanomes sont liés à des expositions excessives au soleil.
La tumeur mesure plus de 1 mm, mais pas plus de 2 mm, d'épaisseur.
Les effets secondaires temporaires, les plus fréquents sont : la baisse du nombre de cellules sanguines, la fatigue, la perte de cheveux, les nausées et les vomissements, la perte d'appétit, et les aphtes (mucite).
Ce type de mélanome est d'abord plat, et peut ensuite devenir nodulaire (en formant une boule sur la peau). La phase horizontale dure plusieurs mois avant le début de la phase verticale. Ce type de mélanome peut apparaître n'importe où, mais rarement sur un grain de beauté déjà existant.
Le mélanome est moins fréquent que les carcinomes, mais plus agressif, avec un potentiel de dissémination à distance plus élevé. Le principal facteur de risque est l'exposition aux rayons du soleil ou l'utilisation de solarium.
Le plus souvent, le cancer se développe en silence, sans faire mal. C'est ce qui le rend si difficile à diagnostiquer. La tumeur est un amas de cellules sans nerfs ; elle n'a donc aucune sensibilité et n'est pas douloureuse.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Le cancer du sein est souvent indolore dans ses premiers stades, mais il peut provoquer un gonflement de l'aisselle, du sein ou de la clavicule. Si vous ressentez une douleur ou une grosseur mammaire, prenez rendez-vous avec votre médecin.
Toute modification cutanée persistante (changement de couleur, de taille ou de forme d'un grain de beauté ou d'une tache ; eczéma qui ne guérit pas) doit être examinée par un médecin. C'est souvent le premier à détecter précocement des cancers de la peau.
Un mélanome qui a une épaisseur de plus de 4 mm présente un risque plus élevé de propagation vers d'autres parties du corps et de réapparition (récidive) après le traitement.
Un petit bouton qui persiste, une rougeur qui ne passe pas ou encore une croûte qui ne cicatrise jamais, ce sont peut-être les premiers signes d'un carcinome de la peau. Il s'agit d'un cancer, le plus fréquent des cancers cutanés. Mais plus ils sont détectés tôt, plus le traitement sera simple.
Les mélanomes représentent 10 % des cancers de la peau mais ils sont les plus dangereux car ils peuvent progresser rapidement. Chaque année, un peu moins de 8000 mélanomes sont diagnostiqués en France.
La chirurgie est le traitement standard du mélanome de stade précoce. Ce traitement est souvent le seul qui est nécessaire dans la plupart des mélanomes de stade précoce. L'excision locale large est pratiquée pour enlever la tumeur ainsi qu'une petite quantité de tissu sain tout autour (marge chirurgicale).