Le Quinquina est un vin apéritif aromatisé de diverses plantes dont, traditionnellement, de l'écorce de quinquina qui contient de la quinine ; celle-ci était une pharmacopée destinée au traitement de la malaria.
Il existe de très nombreuses marques qui développent leur propre apéritif à base de quinquina : Byrrh, Cap Corse, Dubonnet, Lillet, Saint Raphael. Les quinquinas rentrent dans la catégorie des vermouths. Le vermouth étant un vin aromatisé et fortifié par adjonction de mistelle, d'eau-de-vie ou de liqueur.
Un petit arbre aux grandes vertus médicinales
Cinchona officinalis, dit aussi quinquina, est un petit arbre à feuillage persistant, de la famille des Rubiacées, originaire de l'Equateur actuel. C'est de son écorce que l'on extrait la quinine, fébrifuge et antipaludéen naturel.
Dans l'alimentation : amère, elle est utilisée comme arôme dans des boissons rafraîchissantes sans alcool (comme le bitter lemon, le Schweppes, le tonic water…), des eaux de vie à boire, des boissons contenant du vin ou certaines confiseries, comme les calissons d'Aix par exemple.
Ses bienfaits sont encore aujourd'hui reconnus pour traiter les crampes musculaires, les états de fatigue, les troubles digestifs, l'obésité, les états grippaux, les troubles cardiaques… Certains même en parlait comme remède potentiel au coronavirus pendant la période du confinement …
Plusieurs espèces de quinquina ont un usage médical : le quinquina jaune ( Cinchona calisaya ), le quinquina rouge ( Cinchona succirubra ) et l'arbre à quinine ( Cinchona officinalis ).
La quinine est un alcaloïde naturel antipyrétique, analgésique et, surtout, antipaludique. Extraite du quinquina, un arbuste originaire d'Amérique du Sud, elle était utilisée pour la prévention du paludisme (ou « malaria ») avant d'être supplantée par ses dérivés : quinacrine, chloroquine, et primaquine.
Certaines de ces connaissances ancestrales ont donné lieu à des médicaments très connus tels que la quinine, un alcaloïde extrait de l'écorce d'un petit arbre tropical, originaire d'Equateur, le Quinquina ou Chincona officinalis L., appartenant à la famille des Rubiaceae.
La quinine est un médicament utilisé dans le traitement des crampes depuis de nombreuses années. Les preuves sont contradictoires concernant sa capacité à réduire les crampes. Elle peut entraîner des événements indésirables graves et potentiellement mortels, en particulier en cas de surdosage.
Les effets indésirables de la quinine sont potentiellement graves : allongement de l'intervalle QT avec risque de troubles du rythme cardiaque, atteinte des lignées sanguines (thrombopénie, anémie hémolytique, pancytopénie), coagulation intravasculaire disséminée.
Un tonic est une boisson contenant de la quinine, une molécule tirée de l'écorce d'un arbuste, le quinquina. Cet ingrédient est réputé pour ses vertus médicinales, elle est encore reconnue aujourd'hui pour traiter les crampes, les états de fatigue, les troubles digestifs, les états grippaux…
En 1976, les laboratoires Lafarge sont rachetés par Sanofi, puis la Quintonine se retrouve dans le giron de GlaxoSmithKline, qui décident d'arrêter sa commercialisation en 2011, malgré un siècle de bons et loyaux services...
Le terme Quinquina est aussi bien utilisé pour désigner l'arbre que pour désigner son écorce aussi appelée écorce brune du Pérou. On retrouve cette plante dans la cordillère des Andes où elle pousse entre 1800 et 3000 mètres, dans les forêts d'altitude.
Développée par le gendre de Cayron, Victor Hélin (également inventeur de la pastille Pulmoll) entre 1910 et 1945, la Quintonine passe ensuite à une production industrielle sous la direction des gendres de Victor Hélin, Jacques Lafarge et Jacques Lacour. Sa commercialisation a été arrêtée le 7 juillet 2011.
La Quinine a un effet booster qui réveille le follicule pileux et renforce l'ancrage du cheveu, pour ralentir ensuite sa chute. Son action fortifiante brevetée sur les cheveux est imparable.
Titrant à 21°C elle détruit les germes, elle facilite la digestion et elle étanche les soifs. Picon commercialise son digestif sous le nom d'amer africain à partir de 1837.
de la quinine, un alcaloïde naturel qui lui confère son goût amer caractéristique. Elle est par exemple commercialisée sous le nom de Schweppes® ou de Canada Dry®. Elle est aussi utilisée dans des cocktails à base de gin, d'où le nom de gin tonic. Un litre de Schweppes® contient 80 mg de quinine (1).
En France, quatre médicaments à base de quinine sont indiqués dans le traitement d'appoint des crampes musculaires (Hexaquine comprimé et suppositoire, Okimus et Quinine Vitamine C Grand).
Le méthocarbamol (LUMIRELAX) est l'autre relaxant musculaire encore commercialisé dans le traitement des contractures musculaires.
Le Tonic est une boisson gazeuse à base d'eau et de Quinine. C'est la quinine qui lui donne ce petit goût amer. Mais la Quinine, qu'est ce que c'est ? Elle est extraite d'un petit arbuste d'Amérique du Sud, le Quinquina.
Il s'agit d'une limonade gazéifiée. - En 1870, le groupe lance ses deux produits principaux : Ginger Ale (au gingembre) et Indian Tonic, "eau tonique" qui contient des extraits de quinine et d'orange amère qui donnent à cette boisson son goût amer qui a fait la célébrité de la marque Schweppes.
La posologie quotidienne efficace est de 3 prises espacées de 8 heures de 8 mg/kg d'alcaloïde base de quinquina pendant 5 à 7 jours (24 mg/kg par jour en 3 prises), soit pour un sujet de 60 kg 1 comprimé par prise, 3 fois par jour.
Le principe actif du remède, la quinine, a été extraite des écorces du quinquina jaune en juin 1820 par deux pharmaciens-chimistes français, Pelletier et Caventou. Cette découverte, très importante à l'époque, est toujours d'actualité en 2020, où nous célèbrerons son bicentenaire.
Ecraser le quinquina et le faire infuser 3 ou 4 jours dans une bonne partie de l'alcool. Faire infuser séparément le cacao dans le reste d'alcool. Au terme, assembler les alcools et le vin rouge. Laisser alors infuser trois ou quatre jours supplémentaires.