Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Douleur qui irradie, pouvant s'étendre : à partir de la poitrine, du haut au bas d'un ou des deux bras, au cou, à la mâchoire ou aux épaules.
Elle peut irradier vers le bras gauche, l'avant-bras, avec parfois une sensation de serrement au poignet, dans le cou, la mâchoire inférieure, parfois dans le bras droit, la nuque, le dos ou la région de l'estomac.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Le mal de bras peut avoir de nombreuses origines : musculaire, articulaire, tendineuse, nerveuse ou même être le symptôme d'une pathologie cardiaque plus grave.
Il arrive qu'un second infarctus s'annonce quelques jours ou quelques heures à l'avance : sensation de malaise, fatigue, nausées, problèmes de digestion, par exemple. Dans ce cas, il est important de consulter rapidement son médecin.
Dans certains cas l'AVC ( accident vasculaire cérébral ) se manifeste par l'apparition brusque d'une instabilité de la marche, d'une chute, de troubles de l'équilibre ou de sensations de vertiges. Vérifiez si la personne atteinte peut lever les deux bras de la même manière à droite et à gauche.
La cause la plus courante est une mauvaise position la nuit : le corps exerce une pression sur un nerf du bras, qui finit par "s 'endormir". Ces cas sont inoffensifs. La sensation disparaît après avoir changé de position.
Une douleur très intense et/ou persistante au niveau du coeur nécessite une prise en charge médicale immédiate. Il faut contacter les services d'urgence médicale en composant le 15 ou le 112.
Qu'est-ce qu'une crise cardiaque
Une crise cardiaque se produit lorsque l'apport sanguin à une partie du cœur est interrompu par l'obstruction d'une artère coronaire. Privées d'oxygène, les cellules de cette partie du muscle cardiaque meurent peu à peu tant que l'apport n'est pas rétabli.
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Vous pouvez éprouver une toux persistante ou une respiration sifflante (sifflement dans les poumons ou respiration difficile) en raison de votre insuffisance cardiaque. La respiration sifflante est semblable à l'asthme, mais sa cause diffère dans les cas d'insuffisance cardiaque.
La tachycardie est un signe fréquent d'insuffisance cardiaque. L'asthme cardiaque est un ralentissement respiratoire (bradypnée) à prédominance expiratoire, sifflante, où manquent souvent toux et expectoration.
D'autres traitements peuvent être administrés par les équipes d'urgence lors d'infarctus du myocarde : antalgiques (pour lutter contre la douleur), anticoagulants (fluidifiants du sang), anti-arythmiques (pour régulariser les battements du cœur), par exemple.