On recommande d'avoir entre 150 000 et 250 000 euros de côté pour pouvoir passer les premiers mois sans encombre avant que l'affaire ne devienne rentable. Vous n'avez pas cette somme en apport ? Vous pouvez vous tourner vers un prêt brasseur ou d'autres types d'aides et de subvention pour ouvrir un bar.
Bien évidemment, la communication et la fidélisation joueront une place importante sur la rentabilité, mais comme dans tout commerce, le nerf de la guerre se trouve dans l'implantation du local. La réponse est oui, un bar peut-être particulièrement rentable, à condition de bien choisir son local.
Si vous souhaitez reprendre un bar mais que vous ne disposez pas de l'apport nécessaire pour acheter le fonds de commerce, vous pouvez opter pour la location-gérance. Il s'agit d'un contrat, entre vous et le propriétaire, qui vous permettra d'exploiter le bar en échange du versement d'un loyer.
Pour pouvoir ouvrir un bar, il faut avoir une licence de débit de boisson. La licence IV est la plus adaptée pour l'activité, car elle permet de vendre tous les types de boissons.
Un CA entre 200 000 et 800 000 €
Les franchises de bar proposant des planches apéritives en plus des boissons peuvent aisément enregistrer un chiffre d'affaires annuel entre 200 000 € et 500 000 €. Les franchises de bar-brasserie ou de bar-restaurant quant à eux, peuvent dégager de meilleures rentabilités.
Dérogation sur demande : les jeunes âgés de plus de 16 ans (c'est-à-dire 16 ans révolus) et de moins de 18 ans peuvent être affectés au service du bar dans un débit de boissons à consommer sur place, sous réserve de l'obtention d'une autorisation administrative préalable (agrément) délivrée par le préfet de département ...
Du café au bar à vin spécialisé en passant par des bars au concept innovant, ouvrir son bar peut offrir une certaine rentabilité à condition notamment d'avoir un positionnement en adéquation avec le lieu et les besoins de la clientèle.
On recommande d'avoir entre 150 000 et 250 000 euros de côté pour pouvoir passer les premiers mois sans encombre avant que l'affaire ne devienne rentable. Vous n'avez pas cette somme en apport ? Vous pouvez vous tourner vers un prêt brasseur ou d'autres types d'aides et de subvention pour ouvrir un bar.
Reprendre un bar nécessite de faire une étude poussée de son emplacement et du marché local, c'est-à-dire, des concurrents installés à proximité. Il faut pour une reprise réussie qu'il y ait une véritable demande là où vous souhaitez vous installer, c'est-à-dire que l'offre actuelle doit être suffisante.
En France, la forme juridique la plus adaptée au bar est la SARL (société à responsabilité limitée) : formalités réduites (1 € de capital initial) et patrimoine personnel non engagé en cas de poursuite des créanciers.
OUI il faut avoir 33% d'apport du fond (imposé par les douanes) ou 25% du total avec reprise des murs. Mais il est possible d'obtenir un pret brasseur qui entre comme apport personnel.
Repas avec service complet : entre 50 et 75 m² Service au comptoir : entre 75 et 100 m² Restauration fast-food : entre 50 et 75 m²
Ouvrir un bar chez soi est possible si cela s'avère autorisé par la mairie dont dépend le futur établissement. Il faut également respecter les réglementations et les normes en vigueur. Pour avoir un local pour ouvrir un bar, il faut : être immatriculé au registre du commerce et des sociétés (RCS)
Le bar sera réalisé avec un mur simple et un retour. Respectez un espace de 80 cm de haut du plan de travail, pour y placer des meubles de cuisine standard en dessous, ou des étagères. 100 cm de haut pour le plateau du bar, sur lequel vous déjeunerez. Ne pas dépasser 110 cm du sol en comptant le plateau.
Les débits de boisson souhaitant vendre de l'alcool de nuit doivent préalablement demander une autorisation appelée (demande d'ouverture de nuit) et suivre la formation correspondante. La législation permis exploitation prévoit diverses obligations pour les débitants de boissons.
Votre prévisionnel financier de bar doit être construit en prenant en compte les coûts induits par l'achat d'une licence de débit de boissons. Celle-ci est obligatoire mais le type de licence dépend du type d'alcool proposé à la vente.
Il existe en France deux types de licences pour servir de l'alcool en dehors de toute restauration : Licence III : permet de servir des bières, des vins et des apéritifs dont le pourcentage d'alcool est inférieur à 18% Licence IV : permet de servir tout type d'alcool.
À l'intérieur, vous devez afficher la liste des boissons et leur prix. À l'extérieur, vous devez afficher les prix au comptoir et en salle des boissons les plus souvent servies. Le prix des plats et de toutes les boissons doit figurer sur la carte (menu).