Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ». Il s'estimait indigne d'être crucifié de la même manière que Jésus.
Cela dit, pour certains esprits rebelles, cette croix représente autre chose qu'un simple signe de modestie. Elle incarne la rébellion et l'opposition à toute forme d'oppression. Elle est le symbole de ceux qui refusent de se plier aux règles établies et qui revendiquent leur indépendance.
Thomas est, selon la tradition, martyrisé dans les années 70, alors qu'il priait dans une grotte montagneuse à Mylapore, appelée aujourd'hui « mont Saint-Thomas », près de Madras. Il aurait été tué d'un coup de lance dans le dos.
Au commencement est l'évidence de l'appel, et tout paraît simple. Jésus appelle Simon, pour qu'il soit "pécheur d'hommes" (Matthieu 4,18) ; il se lève et le suit. La confiance de Jésus se manifeste par le don d'un nom nouveau : Simon devient Pierre, celui sur lequel on peut s'appuyer, sur lequel on peut construire.
Récits bibliques
Chacun des quatre Évangiles rapporte qu'après l'arrestation de Jésus, l'apôtre Pierre, par peur de risquer lui aussi la mort, nie trois fois avoir eu une relation avec celui-ci.
Avec son frère André, il décide d'abandonner sa famille (selon la légende, il aurait eu une fille Pétronille, morte martyre) pour suivre Jésus à la demande de celui-ci et reçoit de lui le nom de « Kephas », les évangélistes se contredisant sur le contexte dans lequel se produit l'imposition de ce nom.
Les pérégrinations de Thomas en Inde sont ponctuées d'apparitions de Jésus qui s'exprime par le biais de l'apôtre, son jumeau, pour défendre en particulier un ascétisme strict (encratisme) indispensable à quiconque souhaite obtenir la rédemption.
On dit que Jacques fut le premier apôtre à être martyrisé. Dans les Actes des Apôtres, il est écrit : « À cette époque, le roi Hérode Agrippa se saisit de certains membres de l'Église pour les mettre à mal. Il supprima Jacques, frère de Jean, en le faisant décapiter » (Actes des Apôtres 12, 1-2).
Toutes nomment Simon, dit Pierre, en tête et Judas, dit (l')Iscariote, en dernier. Toutes classent les Apôtres selon un ordre décroissant de préséance, qui traduit leur autorité respective dans l'Église primitive.
D'après la coutume orthodoxe russe, la traverse est penchée vers la droite, en direction du mauvais Larron, pointant ainsi en direction de l'Enfer, le bon Larron étant élevé au paradis et situé à la droite du Christ.
La croix de Lorraine du Mémorial de la France combattante du Mont Valérien.
La main droite est utilisée car elle « tient un rang de préférence, la Nature l'ayant placée au côté droit, symbole de l'honneur, du bonheur et de la prééminence ».
Vers 248, le théologien Origène écrivait : « Tout le monde sait que [Jésus] naquit sous l'empereur Auguste qui, ayant soumis à sa domination la plus grande partie des hommes, les avait comme ramassés en un seul corps. »
Le bon Larron (du latin latro, « brigand ») est, selon les Évangiles synoptiques, un bandit crucifié avec son comparse, le Mauvais Larron, de part et d'autre de Jésus-Christ. Pour la chrétienté, il représente le premier saint pénitent.
Jésus-Christ aurait été crucifié à Jérusalem le vendredi 7 avril de l'an 30 de notre ère, à l'âge de 37 ans, d'après les calculs des historiens modernes, plus précis que le moine Denys le Petit qui, au VIe siècle, établit la naissance du Christ en l'an 753 de la fondation de Rome, soit cinq ans trop tard.
Siméon Niger ou Suméon dit Niger est mentionné dans les Actes des Apôtres (13, 1) comme l'un « des prophètes et des docteurs » de « l'Église établie à Antioche ».
> Judas, le treizième disciple : un chiffre chargé de signification.
La tradition chrétienne considère que Jean l'évangéliste et « le disciple que Jésus aimait » sont la même personne.
Ce que confirme encore la mention de ses deux fils Ephraïm et Manassé, déjà mentionnés dans la Bible et cités par Jacobovici et Wilson comme les enfants de Jésus et Marie-Madeleine.
Marie, mère de Jésus.
Marie (en araméen ܡܪܝܡ, Maryam ; en hébreu מרים, Myriam ; en grec Μαρία, María ou Μαριάμ, Mariám ; en arabe مريم, Maryam) ou Marie de Nazareth est une femme juive de la province romaine de Judée et la mère de Jésus de Nazareth.
Saint Pierre est souvent représenté portant deux clés : l'une en or, céleste, l'autre en argent, terrestre. Il a ainsi la capacité d'ouvrir et de fermer les portes du Paradis.
Alors Pierre se souvint de la parole de Jésus: "Avant que le coq chante deux fois, tu m'auras renié trois fois".
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.