Le principal risque connu est la dépendance au GHB. Parmi les autres effets à long terme signalés, il y a : l'amnésie.
des nausées légères à fortes avec vomissements ; des maux de têtes ; une perte de repère ou une disparition des réflexes ; une perte de conscience, aussi appelé « G-hole », pouvant conduire jusqu'au coma (conséquences potentiellement mortelles).
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
Le GHB (gammahydroxybutyrate) est à l'origine un anesthésiant utilisé en médecine pour ses qualités sédatives (calmant). Il a notamment été utilisé aux USA dans le traitement de l'alcoolisme. Le GBL (gamma-butyrolactone), moins courant, est un produit chimique utilisé comme solvant-décapant.
C'est un produit chimique fortement acide, très utilisé dans l'industrie, notamment comme sol- vant/décapant pour peintures. Il se transforme dans le corps, après absorption, principalement en GHB, un peu en GBL et en acide succinique.
La kétamine est un anesthésique à action rapide utilisé en chirurgie médicale ou vétérinaire. Si elle est mal utilisée, elle peut avoir des effets néfastes et durables.
La cocaïne peut également nuire directement aux reins en réduisant la quantité d'une molécule antioxydante importante appelée glutathion.
Toute personne majeure surprise par les forces de l'ordre en possession ou en train de consommer des stupéfiants. L'amende ne concerne toutefois pas les mineurs et se limite à la possession de 100g pour le cannabis, 10g pour la cocaïne, précisait la Direction de la sécurité publique.
Il existe deux principales façons de la cuisiner: directement dansune poêle ou au bain-mariedans une assiette au dessus d'une casserole par exemple. Cette dernière est préférable car cela évite de faire cramer la ké et aussi parce qu'il vaut mieux gratter une assiette en céramique que le téflon d'une poêle.
La 3-MMC, une drogue entre cocaïne et amphétamines, est connue depuis 2010, mais elle semble s'être démocratisée récemment, dans les soirées festives.
En tapant "buy GBL" sur Google, il tombe rapidement sur un site qui propose d'en acheter des bidons de 10 ou 20 litres. "Ce sont des sites qui vont s'adresser à des magasins de bricolage ou à des mécaniciens", explique-t-il.
Le cannabis a tendance à bloquer le transit donc plutôt à avoir un effet anti-diarrhée. Mais quand on arrête d'en consommer, il peut survenir, par réaction, des diarrhées. Donc si votre fils en consomme de manière irrégulière, c'est possible.
Le GBL n'est pas classé comme stupéfiant mais il est soumis à une partie de la réglementation des stupéfiants. l'arrêté du 2 septembre 2011 notamment interdit la vente et la cession au public de la Gamma-Butyrolactone (GBL).
La 3-MMC est une drogue de synthèse qui se prend comme la cocaïne, mais coûte deux fois moins cher. Ce "nouveau produit de synthèse" (NPS) de la famille des cathinones, fabriqué le plus souvent dans des laboratoires d'Asie, mélange les effets de la cocaïne, de la MDMA et des amphétamines.
Appelées NSP, ces drogues de synthèse sont créées à partir de différentes molécules. Leurs effets se rapprochent de ceux des drogues classiques telles que la cocaïne, le cannabis, l'ecstasy ou encore la méthamphétamine. A ce jour, les autorités peinent à imposer un cadre législatif autour des NSP.
Mais la 3-MMC a une odeur spécifique de réglisse et, surtout, est moins chère : entre cinq et dix-huit euros le gramme. Depuis 2012, l'OEDT l'a catégorisée comme une nouvelle substance psychoactive. En France, comme toutes les substances illicites référencées comme telles, elle est illégale.
La kétamine se retrouve dans les médicaments Kétamine Panpharma® et Kétamine Renaudin®. Ces traitements ne se trouvent qu'en milieu hospitalier.
Parmi ces derniers, une substance, le GLYX-13 ou rapastinel, avait démontré des effets antidépresseurs rapides, sans effet indésirable de type dissociatif, dans un essai de phase 2, chez des patients résistant aux autres traitements.
L'héroïne se prend de plusieurs façons, le plus communément : injectée — on se « pique » soit dans une veine (injection intraveineuse ou « shoot »), soit dans un muscle (injection intramusculaire) ou sous la peau (injection sous-cutanée);
En effet, le cannabis est classé dans la liste des stupéfiants. Son usage, sa culture, sa vente et sa simple détention (le seul fait d'en avoir sur soi ou chez soi) sont formellement interdits et ce, quelles que soient les quantités. Cette interdiction concerne toute la plante, qu'elle soit mâle ou femelle.
Cette amende est délivrée à l'auteur des faits par un policier ou un gendarme. Son montant est de 200 €. Il ne peut pas être modifié par les policiers ou les gendarmes. Ce montant peut être réduit ou augmenté en fonction du délai dans lequel le paiement est effectué.
Trafic de stupéfiants : comment signaler les points de deal ? Concrètement, à partir de ce mercredi 3 mars 2021, chaque Français pourra effectuer un signalement sur le site moncommissariat.fr pour les secteurs réservés à la police ou sur « ma brigade numérique » pour la zone gendarmerie.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.