La religion en Amérique latine est essentiellement le christianisme. La liberté religieuse est garantie par presque tous les pays latino-américains. Le catholicisme prédomine dans tous les pays.
Les Etats-Unis restent encore un pays très chrétien : 70% des Américains se disent chrétiens. Mais réalité nouvelle dont les médias ont peu parlé : aujourd'hui pour la première fois dans l'histoire du pays, une minorité d'Américains se déclarent protestants, soit 47%. 21% sont catholiques.
L'Amérique latine est le continent catholique par excellence. C'est grâce à lui que le catholicisme reste la première religion du monde à égalité avec l'islam (1M 400000 fidèles en 1995). Inutile de dire qu'elle joue un rôle majeur dans l'identité culturelle des peuples et des nations qui la composent.
Le catholicisme demeure la première religion de France, malgré une baisse significative depuis les années 80. Or, si les catholiques représentent aujourd'hui plus de 60% de la population, ils ne sont que 10% à être réellement pratiquants.
L'Église catholique en Amérique latine a commencé avec la colonisation espagnole des Amériques et s'est poursuivie jusqu'à nos jours par les mouvements d'indépendance des colonies hispano-américaines.
Selon Pew Research Center, en 2010, le christianisme était de loin la plus grande religion du monde, avec environ 2,2 milliards de fidèles, soit près d'un tiers (31%) des 6,9 milliards de personnes vivant sur Terre. L'Islam suivait, avec 1,6 milliard de fidèles, soit 23% de la population mondiale.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Les trois formes institutionnalisées de la religion chinoise sont le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme.
Christianisme contemporain
Le christianisme reste très minoritaire en Afrique du Nord, mais est devenu la religion la plus pratiquée en Afrique subsaharienne (63 %), devant l'islam (30 %) et les religions traditionnelles.
Réligion. Avec environ 26 millions de fidèles déclarés, les églises orthodoxes dominent largement : Eglise orthodoxe du patriarcat de Moscou, Eglise orthodoxe du patriarcat de Kiev, Eglise autocéphale ukrainienne.
Le protestantisme est la religion la plus importante au nord de l'Europe, dans les Pays nordiques (Danemark, Finlande, Islande, Norvège et Suède) dans les pays baltes (surtout en Estonie et Lettonie), le nord de l'Allemagne, en Grande-Bretagne et en Irlande du Nord.
De la reine Elizabeth II au roi Charles III, la foi et la religion anglicane en héritage. Dès le début de son règne, Elizabeth II a pris très à cœur son titre de défenseur de la foi et gouverneur suprême de l'Eglise d'Angleterre.
Aux États-Unis, la laïcité (secularism), un produit de la philosophie des Lumières, ne s'oppose nullement aux religions. Elle repose, comme en France, sur un principe fondamental exprimé dans le premier amendement de la Constitution fédérale, le principe de séparation de l'Église et de l'État.
Selon l'Enquête nationale auprès des ménages de 2011, la religion la plus répandue au Canada était la religion chrétienne. Environ 22,1 millions de personnes, soit un peu plus des deux tiers (67,3 %) de la population, ont déclaré comme confession religieuse être chrétiens.
80% des Brésiliens sont catholiques. Cela dit, les religions animistes d´origine africaine apportées par les esclaves noirs et préservées par leurs descendants trouvent de nombreux adeptes et font partie du paysage.
Les religions en Allemagne
Environ une personne sur deux en Allemagne est chrétienne. Environ 5 % des habitants sont musulmans et 4 % ont d'autres religions. 36 % de la population, soit plus d'un tiers, n'est pas croyante et la tendance est à la hausse.
Réligion. Chrétienne (40%) répartie comme suit : 25% de catholiques et 15% de protestants.
La Côte d'Ivoire est un pays pluriconfessionnel : 42% de musulmans, 34% de chrétiens et une proportion non négligeable d'animistes. 72% des non-nationaux, représentant 24,2% de la population résidente, sont musulmans1.
Le Bouddhisme, l'Hindouisme, l'Islam, le Christianisme sont les religions les plus représentées en Asie. Il existe encore un grand nombre de cultes issus des pensées des philosophes les plus célèbres du continent asiatique. On dénombre enfin une multitude de croyances animistes possédant chacune leurs spécificités.
Le shintoïsme est la religion traditionnelle du Japon (polythéisme et sacralisation de la nature). Il imprègne profondément la sensibilité japonaise ; la figure de l'empereur lui est liée. Le bouddhisme est arrivé au VIe siècle via la Chine et s'est adapté aux réalités locales.
Trois religions principales se partagent aujourd'hui le panorama religieux en Corée du Nord : le christianisme (protestantisme et catholicisme), le bouddhisme et le chamanisme. Le confucianisme, bien qu'imprégnant profondément la société mais sans forme cultuelle et rituelle, n'est pas considéré comme une religion.
Religion. Les religions les plus répandues sont le culte des ancêtres, le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le catholicisme et le caodaïsme. Le culte des ancêtres est millénaire et constitue la plus vieille pratique religieuse du Vietnam.
L'islam est apparu dans la péninsule Arabique, territoire qui correspond à peu près à l'Arabie saoudite actuelle. Mohammed, né à la fin du VIe siècle après Jésus-Christ, à La Mecque, est caravanier pour le compte d'une riche veuve appelée Khadija.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Un antithéiste est défini comme « une personne opposée à la croyance en l'existence d'un dieu ». Le terme semble avoir été forgé par Proudhon dans Idée générale de la Révolution, 1851, et l'idée développée dans De la Justice dans la Révolution et dans l'Eglise, 1858 (Etude VI, Le Travail, ch.