Pouce, index et majeur se projettent vers l'extérieur alors que l'annulaire et l'auriculaire intériorisent les émotions. La longueur de vos doigts témoigne de votre réactivité face aux événements (actions et sentiments confondus). Les doigts sont rarement droits.
En France, on porte son alliance à l'annulaire, comme dans la plupart des pays du monde. Mais pourquoi ? Plusieurs hypothèses existent. La première serait toute simple : l'annulaire étant l'un des doigts les moins utilisés de la main, la bague a moins de chance de s'abîmer en étant portée à ce doigt !
« Être unis comme les cinq doigts de la main » est une expression commune. Mais connaissez-vous ses origines? Cette expression signifie être inséparable, solidaire, unis.
Le pouce est également symbole d'amitié.
Porter une bague au majeur
Il fait référence à l'humanité, la responsabilité et les lois de l'univers. Le majeur étant le doigt le plus long de la main, et, de fait, le plus remarquable, il met en évidence la bague en plus du symbole. La bague au majeur, c'est l'audace, la confiance en soi.
Vous l'aurez compris, le port d'une bague sur l'annulaire gauche pour une femme a signification forte notamment pour les femmes en couple ou mariée. Ainsi, une femme ne présentant pas de bague sur l'annulaire de la main gauche peuvent être « considérée » comme une femme célibataire.
Il semblerait que certaines femmes représentantes du mouvement féministe aient porté une bague au pouce ; d'autres femmes ont suivi cette mode en signe de reconnaissance. Liberté, autonomie, individualité… Le port d'une bague au pouce peut vouloir dire tout cela.
DURANT L'ANTIQUITÉ, ON PENSE QU'UNE VEINE RELIE L'ANNULAIRE GAUCHE AU COEUR : LA VENA AMORIS, VEINE DE L'AMOUR. La forme ronde de l'anneau, sans début ni fin, symbolise l'éternité du sentiment amoureux, comme on peut le lire dans un texte ano- nyme du XIIe siècle, Le Roman d'Eneas.
Sur quel doigt porter l'alliance ? L'alliance, dépendamment des pays et des cultures, se porte à l'annulaire, c'est-à-dire le quatrième doigt de la main. En France, cette bague se place sur l'annulaire gauche.
On nous dit que pouce est l'aboutissement de polz, pouz et peuce, issu du latin pollicem, qui vient lui-même de pollex, pollicis, qui signifie «pouce, gros orteil», mais aussi «nœud d'un arbre». Le mot désigne le premier et le plus fort des doigts humains.
Le salut à trois doigts, réalisé avec le pouce, l'index et le majeur tendus et les autres doigts pliés, est un geste utilisé en Serbie depuis le Moyen Âge en signe de victoire ou de joie lors de victoire serbe. L'origine religieuse du salut serbe est certaine, les trois doigts étant la trinité chrétienne.
-C). En bas latin (2 ème siècle; 8 ème siècle), le “g” a disparu et 20 s'écrit donc en lettre “vīnti”. Et c'est d'ailleurs avec un 20 sans “g” que les français comptaient au Moyen Âge. C'est à la Renaissance que tout bascule: le doigt, le corps, le temps, le sept, le vingt, la paix…
Comme dans de nombreuses expressions de la langue française, ce mot est souvent utilisé pour symboliser des unités de longueur. Dire que l'on est "à deux doigts de faire quelque chose" signifie que l'on est sur le point de le faire.
Geste autoritaire, agressif ou accusateur, il est devenu le signe d'une personne mal élevée. Pour désigner une personne il vaut mieux ouvrir la main en totalité. Le geste paraitra davantage comme une invitation à entrer en contact plutôt que la désignation d'un ennemi.
En France, seul le majeur est montré, mais dans les pays anglophones, ce sont l'index et le majeur levés, paume retournée, qui constituent une vilaine insulte lorsqu'ils sont adressés à un interlocuteur (à ne pas confondre avec le V de la Victoire, popularisé par Winston Churchill).
L'expression faire un doigt d'honneur est, dans les cultures occidentales, une altération de l'expression plus ancienne faire un doigt. Le geste correspondant consiste à lever un majeur tendu à la verticale en signe d'hostilité. Il est souvent considéré comme obscène.
En phase de rencontre ou de séduction, si une femme retire sa bague puis la remet, tout en faisant coulisser l'anneau sur son doigt, cela signifie souvent que l'homme en face d'elle lui plaît.
La foi catholique fait porter la bague de fiançailles à la main droite et l'alliance à la main gauche. Les musulmans portent souvent l'alliance à la main droite, sans exclure d'office la main gauche.
À l'origine, la noblesse mettait la chevalière à l'auriculaire car cela permettait de sceller les documents officiels plus facilement. Aujourd'hui, comme pour le pouce, porter une bague au petit doigt est le signe d'une personnalité forte, qui souhaite se démarquer.
Les annulaires symbolisent notre partenaire et les auriculaires nos enfants. Par conséquent, c'est tout naturellement que l'on porte l'alliance au doigt du partenaire. Le côté gauche étant celui du cœur, on retrouve, là encore, la même tradition du port de l'alliance à l'annulaire gauche.
Les interprétations sont nombreuses et varient en fonction des cultures et des pays. Portées sur les doigts de la main gauche, les bagues symboliseraient l'amour et l'altruisme. Sur la main droite, ces bijoux seraient plus à même de révéler certaines facettes de notre personnalité.
En France ainsi que dans plusieurs autres pays, c'est à l'annulaire gauche que ces bijoux symboles d'unions sont portés. La bague de fiançailles peut être transférée à l'annulaire droit une fois le mariage célébré.
Beaucoup de personnes se demandent qui doit payer la bague de mariage. Dans la majeure partie des cas, il s'agit de la personne ayant fait sa demande qui s'occupe des frais. Cependant, les futurs mariés peuvent également partagés l'achat en s'offrant chacun une bague.
En Occident, hommes et femmes portent leur alliance de mariage à l'annulaire gauche. Pourquoi ce doigt ? Selon une tradition remontant à l'Antiquité, un anneau devait être passé au « doigt du cœur », c'est-à-dire l'annulaire gauche, de chaque membre du couple. Ainsi, l'union est scellée pour l'éternité.
Dans certains couples, seul le marié se rend en boutique pour acheter les bagues de mariage ou alliances. Comme la tradition veut que ce soit l'homme qui paie cet achat, la démarche permet de faire la surprise à la future mariée.