On parle du Cocoroco, cet alcool de sucre de canne, de l'Everclear (à base de Maïs) ou encore le Spirytus Rektyfikowany (à base de pomme de terre et consommé en Pologne). Ces 3 boissons titrent à plus de 95° !!
En effet, si on se méfie rapidement des alcools forts, la teneur en alcool plus “raisonnable” se révèle traître "Quelque part au milieu (du spectre de l'alcool) se trouve le xérès et le porto. C'est le meilleur moyen de se saouler très vite, parce que c'est environ 20% et cela n'empêche pas sa propre utilisation."
Les alcools qui détendent : vin rouge et bière
Pour le moment pourtant, aucune étude n'a cherché à vérifier si l'hormone se retrouve aussi dans le vin après fermentation.
Pour éviter les nausées et les maux de tête du lendemain, mieux vaut éviter les alcools forts (plus de 40°c) en début de repas car ils favorisent un enivrement rapide. En pratique : évitez le whisky ou le ricard et préférez le champagne, le vin ou la bière dont les valeurs sont moyennes.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
La vodka est l'alcool fort (40°C) le plus consommé au monde, dont l'origine fait encore débat. Si certains défendent ses origines russes, d'autres affirment qu'elle aurait été créée en Pologne.
Alcool pur
Chez les femmes, on remplace 0,7 par 0,6. Pour que le taux d'alcool dans le sang d'un homme de 80 kg dépasse la limite légale sur la route de 0,5 grammes par litre de sang, il doit donc avoir bu 0,5 x 80 x 0,7, soit 28 g d'alcool pur, à jeun et en une fois.
Théoriquement, à partir d'un taux de 3 g/L, le coma éthylique survient..... Et à 5 g/l c'est la mort !! En principe, chaque verre consommé fait augmenter l'alcoolémie de 0,20 à 0,25 g/L chez l'homme, et de 0,30 g/L chez la femme.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
Les chercheurs ont conclu que boire deux pintes de bière suffit à atténuer une douleur physique (mal de tête, maux de ventre, etc.) de 25 %, soit plus que le paracétamol.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Alors, les alcools les plus forts sont ceux ayant un taux d'alcool supérieur à 18 degrés. Parmi les boissons les plus corsées au monde, nous retrouvons en tête de liste : Le cocoroco avec un degré d'alcool de 96 % L'everclear avec un degré d'alcool de 95 %
Le Code de la santé publique définit les boissons alcoolisées en fonction de leur degré d'alcool : Boisson sans alcool : moins de 1,2°. Boissons fermentées non distillées (vin, bière, cidre) : de 1,2 à 3°. Vins, vins doux et bières : de 3 à 18°.
Les différentes bouteilles atteignent un degré d'alcool qui varie de 71,8% à 77,9% ! Ce qui en fait les whiskys les plus forts jamais créées par Jack Daniel's. Cette collection se nomme Small Batch (édition spéciale) Coy High Proof.
Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d'autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo...
Le rhum n'est pas un alcool fort.
La maladie touche essentiellement des personnes de plus de 55 ans. Le diagnostic est posé en moyenne à 73 ans pour les femmes et 70 ans pour les hommes, généralement à un stade évolué, ce qui explique le mauvais pronostic de la maladie.