Définition du bien-être au travail En cela, le bien-être au travail est lié à différents facteurs : physique, psychologique, mais également émotionnelle et psychosociale. Plusieurs éléments entrent ainsi en jeu pour qu'un salarié se sente bien dans l'entreprise : Sa santé physique. Sa santé mentale.
Le bien-être met l'accent sur la perception personnelle et collective des situations et des contraintes de la sphère professionnelle. Le sens de ces réalités a, pour chacun, des conséquences physiques, psychologiques, émotionnelles et psychosociales et se traduit par un certain niveau d'efficacité pour l'entreprise.
Le bien-être au travail est une raison de plus pour les salariés de se lever le matin. En effet, la mise en place une telle démarche au sein d'une entreprise diminuerait de 25% le taux d'absentéisme, selon une étude réalisée par l'Institut Chapman.
Ces indicateurs couvrent six aspects : emploi, formation, mobilité ; diversité ; absentéisme ; sécurité au travail ; données de la médecine du travail ; dialogue social.
Les dimensions à évaluer sont les conditions matérielles de vie, le travail et l'emploi, la santé, l'éducation, les loisirs et les interactions sociales, la sécurité économique et physique, la gouvernance, l'environnement et l'expérience globale de la vie.
Il n'existe pas de mesure officielle de la qualité de vie au travail. Elle peut s'apprécier au regard de plusieurs indicateurs parlants : Le turnover dans l'entreprise. Un faible turnover laisse à penser que les salariés n'ont pas envie de quitter la société, car ils s'y sentent bien.
Le mal-être au travail se définit comme une forme de souffrance mentale directement liée à l'environnement de travail. Il peut affecter indifféremment les salariés de n'importe quel secteur d'activité et peut apparaître à divers moments de leur vie professionnelle.
Les Français font ressortir quatre activités qui leur permettent de se sentir bien : 94 % d'entre eux citent le fait de se promener, 93 % de partager un repas en famille ou entre amis, 92 % de sortir avec leur famille ou leurs amis, et 88 % de cuisiner des plats sains et équilibrés.
Le bien-être augmente la productivité et aide les employés à prendre de bonnes habitudes. Des études montrent que les travailleurs sont 13 % plus productifs lorsqu'ils sont heureux.
Indicateurs sociaux du bien-être
Des facteurs sociaux comme l'autonomie, l'équité, la santé et la cohésion sociale entrent en jeu dans le bien-être.
ambiance = relations quotidiennes + événements + lieux de détente. Étape 4 : Le même procédé a été fait pour les éléments « événements » et « lieux de détente ». Ce faisant, il a été possible d'avancer une valeur pour chacun des trois éléments et globalement pour l'ambiance.
Quand on se sent mal, peu importe la raison, l'important est d'en parler à quelqu'un. Ce quelqu'un est une personne en qui vous avez toute confiance, à qui vous pourrez vous confier sans retenue. Cela peut être un proche qui, avec une vision objective, vous conseillera pour faire face à votre mal-être au travail.
Il s'agit, par exemple, d'une charge de travail trop élevée, d'un management dysfonctionnel ou encore d'un manque de clarté dans les tâches ou dans les rôles.
Il est important d'être indulgent et non jugeant envers soi-même. Par conséquent, évitons de porter un jugement sur nos émotions. Elles ne sont ni bonnes ni mauvaises, ni acceptables ou inadmissibles. Pour avoir un bon niveau de bien-être, on peut identifier ses émotions, apprendre à les nommer et à les accepter.
« L'esprit d'équipe traduit la capacité d'une personne à participer à l'atteinte d'un objectif partagé, à collaborer avec les autres, à privilégier la réussite du groupe plutôt que sa réussite individuelle. »
L'acquisition et l'application de nouvelles compétences et connaissances, le sentiment d'équité, des processus de travail efficaces, le soutien du gestionnaire immédiat et une culture organisationnelle saine sont autant de facteurs qui favorisent le bonheur au travail, et donc la motivation et l'engagement des employés ...