Poser une question ouverte permet de valoriser le répondant car on lui demande de détailler son avis. De plus, cela permet de casser la monotonie du questionnaire et ainsi de dynamiser sa passation. Ces questions ouvertes sont engageantes pour le répondant car il lui permet de s'exprimer au-delà des questions fermées.
Une question ouverte est conçue pour favoriser une réponse complète et constructive, qui demande que la personne qui y répond ait recours à ses connaissances et ses sentiments. C'est le contraire d'une question fermée, qui favorise une réponse courte ou une réponse « oui ou non ».
Poser des questions stimule l'apprentissage et l'échange d'idées, alimente l'innovation et l'amélioration de la performance en plus d'atténuer les risques en exposant les vulnérabilités. Poser des questions est incontournable, vital, crucial !
Une question ouverte est une interrogation objective, non orientée par l'interlocuteur, permettant à l'interrogé d'utiliser son propre jugement au travers de ses mots. À l'inverse, une question fermée ne nécessite qu'un mot ou une réponse brève qui sera proposé à l'interrogé parmi un panel.
La forme de la question fermée facilite l'expression de la réponse par l'interviewé (par rapport à une question ouverte). Cela permet de rendre le questionnaire plus court pour le répondant, et limite l'effort à faire.
Une question fermée demande aux participants d'effectuer un ou plusieurs choix parmi des réponses prédéfinies, tandis qu'une question ouverte demande aux participants de donner leur réponse dans leur propres termes.
Les réponses aux questions ouvertes des questionnaires sont souvent représentées dans les rapports sous forme de nuage de mots avant une éventuelle analyse ou simplement à titre d'illustration. L'intérêt du nuage de mots est de pouvoir visualiser l'étendue lexicale et les termes les plus fréquents.
Elle commence toujours par un mot interrogatif : comment, qui, que, combien, où, quand, pourquoi. En posant une question ouverte, nous allons faire réfléchir notre interlocuteur et nous allons obtenir de sa part une réponse développée avec potentiellement beaucoup d'informations.
On parle de question semi-ouverte, ou de question mixte, quand on introduit l'item « Autre » et la zone « à préciser » dans une liste de réponses (question à choix unique ou à choix multiple).
Les questions ouvertes servent à comprendre, à faciliter l'expression, à dialoguer, à échanger. Elles commencent par un adverbe (pourquoi, combien, comment, quand) ou un adjectif/pronom interrogatif (quel, quoi, qui) d'où le fameux QQOQCP (Quoi, Qui, Où, Quand, Combien voire comment, Pourquoi).
Les questions vous permettent d'obtenir l'information qui vous aidera à mieux comprendre un problème ou le point de vue de votre interlocuteur. Vous pouvez appliquer une technique de questionnement pour piloter une conversation, mais aussi pour influencer votre vis-à-vis.
On distingue deux grandes catégories de questions : les questions fermées et les questions ouvertes.
Le grand avantage du questionnaire par rapport à l'interview, c'est qu'il permet la collecte de données auprès d'un grand nombre d'individus, à un coût relativement peu élevé. Il faut moins de personnel et, parfois, moins de déplacements. Les économies sont plus élevées lorsqu'il faut un grand échantillon.
contre-question — Wiktionnaire.
Les bonnes questions ne peuvent être répondues par un «oui» ou par un «non»: elles invitent l'autre à s'exprimer. Comparez: «Est-ce que ça va bien?» et «Comment ça va en ce moment?». Par contre, les questions ne doivent pas être trop ouvertes, sinon la réponse risque de partir dans toutes les directions.
Contrairement à une question portant sur vos connaissances, vous ne serez pas seulement évalué sur le fait de savoir ou ne pas savoir, mais aussi sur vos habiletés d'analyse, de communication et sur votre manière de gérer la pression.
Étymologie de « questionneur »
Questionner.
Questions fermées
Voici quelques exemples de questions fermées : « Pendant combien d'années avez-vous travaillé pour votre dernier employeur ? » « Avez-vous déjà travaillé dans un autre secteur ? » « Combien de temps maximum avez-vous passé dans une même entreprise ? »
Les questions fermées comportent, elles aussi, un vocabulaire bien précis. Si vous voulez éviter les questions fermées, ne les commencez pas par les verbes suivants : est, était, fait, faites, va, ne va pas, devrait, ou l'adverbe si.
Admettre que l'on ne connaît pas la réponse en utilisant les expressions suivantes : « Je ne connais pas la réponse à cette question », « Je ne suis pas en mesure de vous répondre en l'état actuel des éléments dont je dispose », « Je n'ai encore jamais rencontré cette situation, je ne peux donc pas vous apporter d' ...
Chaque questionnaire est dépouillé dans une ligne du tableau. L'utilisation d'un tableur est conseillée. Le dépouillement peut être informatisé. Des logiciels spécialisés, comme « Le Sphinx » ou « Ethnos », permettent la rédaction du questionnaire, parfois sa diffusion sur Internet, et son dépouillement.
Commencez à analyser vos résultats en 4 étapes simples :
Concentrez-vous sur les questions les plus importantes de votre sondage. Recoupez et filtrez vos résultats. Calculez vos statistiques. Formulez vos conclusions.