L'endroit où, sur une faille démarre la rupture est appelé foyer du tremblement de terre ou hypocentre. L'épicentre est le point de la surface du sol le plus proche du foyer. L'épicentre macrosismique est le lieu de plus forte intensité ressentie, il peut être différent de l'épicentre réel.
Foyer (hypocentre) - Dictionnaire environnement
Point de départ de la rupture des roches.
Il n'y a pas de corrélation entre magnitude et intensité. Pour un séisme de magnitude donnée, l'intensité peut être très variable en fonction de la profondeur du foyer, de la durée des secousses et surtout de la qualité du bâti. Un séisme de forte magnitude en plein désert aura une intensité nulle.
Les ondes sismiques partent du foyer puis se propagent dans toutes les directions. Leurs effets s'atténuent avec la distance. Foyer ou hypocentre : point de rupture des roches, origine du séisme, pouvant se trouver entre la surface et 700 km.
Point de la surface terrestre où un séisme a été le plus intense. (Il est situé au-dessus et à la verticale de l'hypocentre, point souterrain représentant la zone origine du séisme.)
Lieu où habite la famille, demeure ; la famille elle-même, le milieu familial : Recevoir un étranger à son foyer. Fonder un foyer. La chaleur d'un foyer.
l'épicentre est la projection à la surface de la Terre de l'hypocentre. En d'autre termes, le foyer d'un séisme est situé à z kilomètres de profondeur à l'aplomb de l'épicentre.
L'endroit où, sur une faille démarre la rupture est appelé foyer du tremblement de terre ou hypocentre. L'épicentre est le point de la surface du sol le plus proche du foyer.
Épicentre, hypocentre (foyer) et faille.
Les séismes se produisent sur des failles, qui sont des zones de plus faible résistance mécanique et qui sont donc plus propices à accommoder la déformation imposée par le mouvement relatif des plaques tectoniques.
Les études sismiques renseignent sur la structure interne de la Terre. Un séisme résulte de la libération brutale d'énergie lors de rupture de roches soumises à des contraintes. Des ondes sismiques sont générées et se propagent dans toutes les directions.
Le séisme peut encore étirer la roche autour du réservoir de magma d'un volcan, ce qui inciterait des gaz à sortir de la roche en fusion et augmenterait la pression dans le réservoir.
Lors d'un séisme, on désigne par épicentre la projection à la surface de la Terre de l'hypocentre (ou foyer), le point où prend naissance la rupture (le préfixe grec epi signifie « au-dessus »). Le travail consistant à déterminer la position de l'épicentre du séisme s'appelle localisation.
Le cœur d'un tremblement de terre est appelé hypocentre. Il peut se trouver entre la surface et jusqu'à une profondeur de 700 km. On parle plus souvent de l'épicentre du séisme, qui est le point de la surface de la Terre qui se trouve à la verticale de l'hypocentre.
On distingue usuellement : les séismes peu profonds, dits de surface, qui se situent entre 0 et 60 km; les séismes intermédiaires qui se produisent entre 60 et 300 km ; les séismes profonds qui se localisent entre 300 et 700 km.
Lorsque l'activité sismique a une magnitude supérieure à 7,5, nous utilisons habituellement le terme de tremblement de terre, tandis que lorsque l'activité sismique a une magnitude comprise entre 4 et 7 environ, nous utilisons habituellement le terme de séisme.
Synonyme : cataclysme, secousse tellurique, tremblement de terre.
Elles sont engendrées par un événement initial, généralement un séisme. L'impulsion de départ déplace les atomes du milieu, qui en poussent d'autres avant de reprendre leur place, ces déplacements oscillatoires se propageant ensuite de proche en proche. Un séisme émet des ondes sismiques dans toutes les directions.
La plupart des séismes d'origine naturelle sont dus à des mouvements tectoniques qui correspondent à des ruptures de roches dans les zones de faille. Les autres séismes d'origine naturelle sont liés à l'activité volcanique.
La magnitude d'un séisme est calculée à partir de l'amplitude du mouvement du sol enregistrée par des instruments sismologiques. La magnitude est une quantité logarithmique : une augmentation d'un degré sur l'échelle de magnitude correspond à une énergie libérée trente fois supérieure.
Le séisme est caractérisé par : sa magnitude : elle traduit l'énergie libérée par le séisme. Elle s'obtient par la mesure de l'amplitude des ondes enregistrées par un sismomètre ; son intensité : elle mesure les effets et dommages du séisme en un lieu donné.
Puisque plusieurs stations sismiques donnent une valeur de la distance, la position de l'épicentre est localisée à l'intersection des cercles tracés ayant pour centre les stations et pour rayon les distances trouvées à chaque station.
Une faille est une cassure se propageant au sein d'un milieu rigide. Elle s'accompagne d'un déplacement relatif des deux compartiments ainsi créés. On distingue plusieurs types de failles en fonction de la contrainte tectonique (compressive ou extensive) et du mouvement des blocs.
Les séismes peuvent avoir des conséquences sur la vie humaine, l'économie et l'environnement. Le séisme est le risque naturel majeur le plus meurtrier, tant par ses effets directs (chutes d'objets, effondrements de bâtiments) que par les phénomènes induits (mouvements de terrain, tsunamis, etc.).