La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
Plusieurs produits, beaucoup plus puissants que la morphine, sont disponibles : fentanyl, sufentanil, alfentanyl, remifentanil. L'administration se fait généralement par voie intraveineuse au cours de l'anesthésie générale où ils sont associés à des médicaments hypnotiques.
Le fentanyl, un opiacé 40 fois plus puissant que l'héroïne, est à l'origine d'une grave crise de santé publique dans l'Ouest canadien et les autorités québécoises ont affirmé plusieurs fois vouloir empêcher que la situation dégénère pareillement au Québec.
Les molécules utilisables en remplacement de la morphine avec une efficacité équivalente sont l'oxycodone et peut-être le tapentadol. Le tramadol, la codéine ou la buprénorphine sont des analgésiques moins puissants qui ne peuvent réellement remplacer la morphine.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
En effet, le tramadol sans association est le plus puissant des antalgiques opioïdes de niveau II , et son conditionnement permet des doses importantes (jusqu'à 400 mg par jour).
Le tramadol provoque fréquemment des troubles digestifs, comme les nausées et la constipation, des vertiges, la bouche sèche, une somnolence. La revue Prescrire soulignait le risque de troubles du rythme cardiaque et d'hypoglycémie, particulièrement dangereuse chez les personnes âgées.
Les principales classes de médicaments psychotropes sont : les hypnotiques (ou somnifères), les anxiolytiques (ou tranquillisants), les antidépresseurs, les neuroleptiques, les thymo- régulateurs (ou régulateurs de l'humeur) et enfin, les psychostimulants.
Le tramadol n'est pas un dérivé de la morphine mais une molécule originale qui agit sur les récepteurs du cerveau sensibles à la morphine, ainsi que sur les récepteurs d'autres messagers chimiques du cerveau (sérotonine et noradrénaline).
Le tramadol est un analgésique opioïde synthétique vendu au Canada depuis 2005. Il est réglementé en vertu de la Loi sur les aliments et drogues et n'est disponible que sur ordonnance.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
Dans quel cas le médicament TRAMADOL BIOGARAN est-il prescrit ? Ce médicament est un antalgique de la famille des opioïdes. Il combat la douleur en agissant directement sur la perception de la douleur par le cerveau. Il est utilisé dans le traitement de la douleur.
L'ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien.
Présentation et indications
La codéine est une substance active extraite du pavot et dérivée de la morphine. Elle est utilisée pour ses propriétés antalgiques (contre la douleur), antitussives (contre la toux) et somnifères. Il s'agit d'une substance dite analgésique narcotique.
La codéine, également appelée 3-méthylmorphine, est un promédicament métabolisé en morphine par le CYP2D6 après son ingestion par voie orale. Sa déméthylation en morphine en est le principal mécanisme d'activité analgésique. Sans cette métabolisation, la codéine perd une grande partie de son efficacité analgésique.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
Médicaments psychoactifs et dépendance
Les médicaments concernés sont nombreux : psychotropes, opiacés, barbituriques, amphétamines, benzodiazépines. Sont également utilisés des analgésiques, des anorexigènes, des stimulants, des sirops antitussifs, des antalgiques et des laxatifs.
Opiacés (opioïde) : drogue, dangers, morphine, c'est quoi ? Les opiacés sont des substances dérivées de l'opium, comme la morphine, qui ont de puissants effets antidouleur. Sous forme de médicaments dits "opioïdes", ils entraînent un fort risque de dépendance (Tramadol, Fentanyl...).
Comme tout opioïde, le tramadol peut rendre dépendant. Le corps s'y habitue et y devient moins sensible. Il lui faut des doses plus élevées. Inévitable, cette tolérance favorise un mésusage ou une addiction (une perte de contrôle) et leurs complications (surdose, hospitalisation).
Le tramadol, seul (Topalgic, Contramal...) ou avec du paracétamol (Ixprim, Zaldiar...), peut entraîner vertiges, céphalées et somnolence, surtout à doses élevées. Dans tous les cas, éviter les boissons alcoolisées au cours du traitement.
Aucune différence significative d'effet antalgique n'a été démontrée, sur une étude de 460 patients suivis pour douleurs lombaires ou arthrosiques, comparant paracétamol 325 + tramadol 37.5 à paracétamol 300 + codéine 30.
Posologie et mode d'administration
Une dose quotidienne de 400 mg de tramadol ne doit pas être dépassée sauf circonstances cliniques particulières. La dose initiale habituelle est de 50 à 100 mg de chlorhydrate de tramadol deux fois par jour, matin et soir.
La prise de codéine en même temps qu'une quantité excessive d'acétaminophène et d'acide acétylsalicylique (souvent combinés à la codéine) peut entraîner une toxicité au foie et des saignements gastro-intestinaux. Ces problèmes médicaux graves peuvent provoquer les symptômes suivants : la constipation. de la faiblesse.