Les poissons les plus adaptés à une consommation crue sont : le saumon, la daurade, le bar et le thon. Il faut les choisir en fonction de la saison durant laquelle ils sont le plus savoureux. Il est important de préciser que la fraîcheur du poisson est primordiale.
Le poisson cru est un aliment fragile, son altération peut provoquer des intoxications alimentaires telles que l'anisakidose. Il s'agit d'une infection due à l'ingestion de poisson cru contenant des larves d'anisakis.
Acide gras oméga-3
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Saumon, maquereau, hareng, thon, sardines, anchois, merlu, cabillaud, morue… qu'ils soient salés ou fumés, lorsque ces poissons ne sont pas cuits, ils présentent un risque sanitaire. Les anisakidés, par exemple, peuvent être présents dans plus d'une centaine d'espèces différentes.
La sole.La sole est le poisson plat par excellence que l'on déguste pendant la période des fêtes. On l'apprécie pour sa chair fine et savoureuse qui renferme d'ailleurs plein d'oméga-3, de vitamines et de minéraux.
Si vous souhaitez préparer du poisson cru sans risque, chez vous, pensez aux recettes de marinade ! Faire mariner le poisson dans un liquide acide, comme du jus de citron par exemple permet de le cuire sans chaleur. Ainsi, les principales bactéries sont détruites.
Comparativement aux autres viandes, le poisson cru est faible en gras, ce qui en fait une source de protéines pour le cœur. De plus, le poisson contient des acides gras oméga-3, qui contribuent à la santé de votre système cardiovasculaire. Le thon et le saumon sont en tête de liste pour la santé cardiovasculaire.
La question se tranche par le goût. Un saumon sauvage, plus sportif, va avoir une chair moins grasse, plus sèche. « Elle est très différente de la chair d'un poisson d'élevage, et peut dérouter », prévient Sophie. De plus, les espèces de saumon sont multiples, avec de grandes différences de goûts et de textures.
le thon rouge : c'est le plus gros de la famille. Il est pêché en Méditerranée ou dans le Golfe de Gascogne. Sa chair, très appréciée, est toujours consommée fraîche, voire crue. l'albacore : on le reconnaît à ses nageoires jaunes et à sa chair rosée.
Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C. En procédant ainsi, on tue en principe les parasites (y compris les œufs) – attention, ce n'est pas garanti à 100% mais cela réduit considérablement les risques d'attraper une parasitose.
Le poisson représente le principal risque d'empoisonnement pour les humains, et manger trop de sushis risquerait donc de provoquer des maux de tête et des étourdissements mais aussi des retards de développement, des lésions cérébrales ou encore des défaillances d'organes.
Prenez toujours le temps d'examiner le poisson cru pour vous assurer qu'il est encore bon avant de le cuisiner. Ne mangez pas les restes de saumon qui n'ont pas été réfrigérés correctement ou qui ont plus de 2 jours. Assurez-vous que le poisson est complètement cuit avant de le déguster.
Les poissons à consommer en janvier sont le cabillaud, l'églefin, le merlan, la plie et la roussette. En février, on trouvera davantage de merlan (pleine saison), de cabillaud, d'églefin, de lotte, de plie, de roussette et de lieu jaune.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Cru, en tartare ou en sashimis
Finement tranché en sashimis, à l'aide d'un couteau bien aiguisé, il peut être dégusté tel quel avec un simple jus de citron et un peu de fleur de sel.
Le maquereau se consomme cru au Japon, dans la traditionnelle recette du shime saba. Il faut bien le faire mariner. Le maquereau est également excellent en vinaigrette. Tu peux le mariner au citron vert, à l'huile d'olive, ou dans une marinade de ton choix.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Pour confectionner vos sushis, pensez au coeur de saumon frais de votre poissonnier Grand Frais ! Vendu en barquette d'environ 250g, sans peau et sans arêtes, il est prêt à cuisiner… et à déguster !
Les poissons les plus couramment servis en sashimi sont le thon, le saumon, la dorade, le maquereau et la limande. Dans la région d'Osaka, on sert également le fugu (poisson-bulle), toxique s'il n'est pas parfaitement préparé.
De votre côté, ne laissez pas de sushis au réfrigérateur pour le consommer le lendemain. Le sushi se consomme extrêmement frais ou ne se consomme pas !