Se dépenser améliore l'activité de l'insuline et diminue le poids, ce qui contribue à réduire les complications vasculaires. Parmi les activités recommandées : la marche, le vélo, la natation. Mais il est tout aussi important d'adopter de nouveaux réflexes pour bouger le plus possible dans la journée.
Les sports d'endurance tels que la marche, la randonnée, la course à pied, le vélo ou la natation sont les plus conseillés car ils permettent un entraînement progressif. Le sport aura pour résultat de faire baisser immédiatement le taux de glycémie, car quand nous bougeons, nos muscles consomment du glucose.
Par exemple : 30 min/j d'exercices d'endurance (marche nordique, vélo, natation, aquagym, golf), ou de résistance (avec des élastiques ou des petits haltères) ou les deux à la fois. Quand ? 60 à 90 min après le repas, vous avez l'énergie pour le faire et vous limitez l'hyperglycémie d'après le repas.
Chez l'adulte, le niveau recommandé (entre 500 et 1000 MET) par semaine est atteint par au moins 150 minutes (soit 2,5 heures) de marche à 5 km/h (au moins) ou au moins 50 minutes de course à 10 km/h.
L'activité physique et diabète
Elle réduit d'environ 50% les risques de devenir diabétique de type 2 dans les 3 ans. Patients diabétiques : l'activité physique participe au traitement du diabète car elle contribue à faire baisser la glycémie et permet ainsi de mieux la contrôler.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
Bien qu'il n'existe actuellement aucun traitement qui permet d'en guérir définitivement, une nouvelle étude, parue le 2 novembre dans la revue PLOS Medicine, révèle qu'une personne sur 20 a une chance d'obtenir une rémission du diabète de type 2.
La cause la plus fréquente d'hyperglycémie après le sport est l'apport excessif de collations avant ou pendant le sport dû à la peur d'hypoglycémies.
L'activité physique participe au traitement du diabète car elle contribue à faire baisser la glycémie et permet ainsi de mieux la contrôler. Avec un diabète, le sucre (glucose) apporté par les aliments reste dans le sang au lieu de pénétrer dans les cellules pour y être transformé en énergie ou stocké.
Protéines saines
Le poulet est considéré comme la meilleure source de protéines pour les personnes atteintes de diabète. Généralement, les viandes comme le poulet, le dindon et le bœuf ne contiennent pas de glucides – ce qui signifie qu'ils n'entraînent pas une hausse du taux de glycémie.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Le taux normal de la glycémie à jeun oscille entre 0.7 g/L et 1 g/L. En dessous d'un certain taux, on parle d'hypoglycémie, tandis qu'au-dessus, il s'agit plutôt d'une hyperglycémie. Le diabète quant à lui se caractérise par une glycémie supérieure à 1.26 g/L à jeun.
La baisse de la glycémie pendant et après l'effort est fréquente: durant l'activité physique, l'organisme utilise davantage de glucose et sa sensibilité à l'action de l'insuline augmente. L'activité physique régulière permet donc de lutter contre la résistance à l'insuline, caractéristique du diabète de type 2.
- Marchez 30 minutes par jour vous aidera à mieux métaboliser les sucres. - Mangez davantage de légumes, fruits, céréales complètes ou semi-complètes et légumineuses (lentilles, pois, fèves…). Leur index et charge glycémiques** sont plus faibles que ceux des aliments raffinés.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Prévenir le diabète par l'activité
Tous montrent que l'exercice physique, pratiqué de manière régulière, diminue le risque d'apparition du diabète sucré chez des sujets prédisposés. Il est intéressant de noter que la régularité plus que l'intensité de l'effort est le facteur important en matière de prévention.
Mesurez votre glycémie avant et après l'activité physique. Prévoyez une mesure au milieu de l'activité également si celle-ci est d'une durée de plus de 60 minutes. Continuez à surveiller vos glycémies de plus près jusqu'à 48 heures après l'activité, surtout si elle était prolongée.
L'activité physique augmente l'efficacité de l'insuline en améliorant la sensibilité des tissus du corps à son action. Cet effet persiste pendant plusieurs heures suivant l'activité. De plus, les muscles sollicités par l'exercice consomment du glucose (sucre) faisant ainsi baisser le taux dans le sang.
Voici quelques causes de l'hypoglycémie nocturne: Une dose d'insuline trop élevée au coucher. Un problème relié à votre technique d'injection de l'insuline. Une consommation de glucides plus faible qu'à l'habitude au souper ou durant la soirée.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Les carottes sont donc loin d'être interdites dans un régime de diabète de type 2. De fait, elles ne contiennent que 5% de glucides et ont leur place dans l'alimentation adaptée au diabète de type 2.