Le système de numération le plus utilisé par la majorité des gens utilise dans la vie de tous les jours, mais aussi en sciences et comme système officiel est le système décimal qui utilise dix chiffres : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9.
C'est le système de numération en base 10 ou système décimal. En informatique, le système de numération binaire (base 2) est couramment utilisé. Il utilise deux chiffres : 0 et 1. Selon le système de numération, un nombre a plusieurs écritures possibles.
Les plus utilisés sont les systèmes : Décimal (base 10), Binaire (base 2), Octal (base 8) et Hexadécimal (base 16). C'est le système de numération usuel dans la vie quotidienne.
Les difficultés potentielles en numération
- L'élève ne prend pas en compte la position des chiffres dans l'écriture des nombres : les nombres 21 ou 12 sont perçus comme étant identiques et l'écriture 21 est parfois confondue avec 2+1. - L'élève ne comprend pas l'importance des groupements dans l'écriture d'un nombre.
Le système décimal sans zéro
Le système bijectif en base 10 est aussi connu sous le nom de système décimal sans zéro ; comme on l'a dit, il utilise un chiffre supplémentaire, "A", pour représenter 10.
En base 10 (la numération décimale), on utilise donc 10 chiffres, soit de 0 à 9, tandis qu'en base 2 (la numération binaire), on n'utilise que 2 chiffres, c'est-à-dire le zéro (0) et le un (1).
le compte sur les dix doigts est très intuitif ainsi que cela a été mentionné ci-dessus ; son ordre de grandeur est satisfaisant, car il permet de réduire considérablement la longueur d'un grand nombre par rapport à la base 2, tout en conservant des tableaux d'additions et de multiplications mémorisables.
Pour de nombreux élèves qui ont des difficultés en mathématiques, c'est simplement parce qu'ils n'ont pas les bases nécessaires pour réussir. Ces élèves peuvent avoir pris du retard dans une unité ou être passés à des matières plus avancées avant d'être prêts, ce qui entraîne une baisse des notes.
Les chiffres de la base 10 sont 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. En base dix, pour décrire l'entier 4758, on peut écrire : 8 unités, 5 dizaines, 7 centaines et 4 milliers.
Si le nombre se termine par un zéro, le dernier zéro est remplacé par un : par ex. 100 (4) + 1 (1) = 101 (5).
Le système décimal, fondé sur les chiffres 0 à 9, est bien né en Inde. Il a été introduit à Bagdad, au début du IXe siècle, par le mathématicien Al-Khwarezmi. Ce savant ouzbek en a fait la promotion dans un ouvrage de vulgarisation intitulé Le Livre du calcul indien.
Le système octal est quelquefois utilisé en calcul à la place de l'hexadécimal. Il possède le double avantage de ne pas requérir de symbole supplémentaire pour ses chiffres et d'être une puissance de deux pour pouvoir grouper les chiffres.
Le système hexadécimal est utilisé notamment en électronique numérique et en informatique car il est particulièrement commode et permet un compromis entre le code binaire des machines et une base de numération pratique à utiliser pour les ingénieurs.
Sur 32 bits (4 octets), l'intervalle de codage est [-2147483648, 2147483647]. D'une manière générale le plus grand entier relatif positif codé sur n bits sera 2n-1-1.
1) Codage d'un entier relatif sur 8 bits.
Le bit de poids le plus fort (à gauche) sert à coder le signe de l'entier. Il reste donc 7 bits pour coder le nombre soit des valeurs entre -128 et 127. Exemple : Codage de 89 sur 8 bits 01011001. On va représenter 89 par 256 (28) -89=167.
bits. Sur 24 bits, on peut donc coder des nombres aussi grands que 16.777.215. Sur 32 bits, on peut aller jusqu'à 4.294.967.295.
En Occident, la plupart des gens ont appris à compter en base 10 avec les chiffres 0, 1, 2..., 9. Cependant, il existe d'autres systèmes de numération, les plus connus étant les systèmes binaire (0, 1) et hexadécimal (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F).
Dans une base « B », les chiffres ont tous une valeur inférieure à « B ». Ex : en base 5, les chiffres utilisés sont 0, 1, 2, 3, 4. La suite des nombres de la base 5 sera donc : 1, 2, 3, 4, 10, 11, 12, 13, 14, 20, etc.
Sueurs froides pendant la session de calcul mental, impasse sur un problème de robinet ou feuille blanche devant la résolution d'algorithmes: qui n'a pas connu dans son entourage ou sa scolarité la terrible "peur" des maths? Bonne nouvelle, le problème est peut-être neurologique et a même un nom: la dyscalculie.
Il s'utilise encore dans le commerce (douzaine, grosse pour douze douzaines ou 122). Certaines populations (Moyen-Orient, Roumanie, Égypte, etc.) connaissent ce système de longue date en comptant les phalanges de la main en omettant celles du pouce (qui est utilisé pour pointer les phalanges des autres doigts).
En base douze, on écrit tous les entiers à l'aide de douze 'chiffres': 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B et la position de chaque chiffre dans l'écriture donne le nombre d'unités, le nombre de douzaines, de douzaines de douzaines etc.