La thérapie génique consiste à introduire du matériel génétique dans des cellules pour soigner une maladie.
« La duodopathérapie est le dernier recours thérapeutique.
À l'heure actuelle, il n'existe aucun traitement pour la grande majorité de ces maladies. Mais des techniques sont mises en place pour freiner la progression des symptômes, lorsque la maladie n'est pas trop avancée. Elles visent à soulager la douleur et à prolonger l'autonomie ainsi que la fonctionnalité du patient.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Il n'existe pas de traitement pour les guérir. Une fois les symptômes déclarés, il est trop tard : le processus de destruction des cellules cérébrales, amorcé des années plus tôt, est bien engagé.
Nous savons aujourd'hui que de nombreux aliments permettent de ralentir la dégénérescence : acide gras (oméga 3), antioxydants (vitamines C, zinc…). Ils protègent en effet la macula, la zone de l'œil affectée par la DMLA qui se situe au centre de la rétine.
Notre cerveau est globalement dépourvu de capacités régénératives pour remplacer les neurones endommagés ou perdus. L'objectif de la médecine régénérative est de remplacer les cellules perdues afin de corriger les troubles fonctionnels associés à la perte de ces cellules.
Le syndrome de Hutchinson-Gilford, plus communément appelé progéria, est une maladie génétique rarissime, affectant une naissance sur 4 à 8 millions. Il est caractérisé par un vieillissement prématuré débutant dès la période néonatale.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
Ce traitement, nommé DIVE, consiste à injecter directement dans le cerveau la dopamine manquante chez les patients atteints de Parkinson, ce qui a également pour effet « de limiter les effets indésirables des traitements conventionnels ».
La thérapie génique se propose d'introduire un gène, la glutamate décarboxylase ou GAD, au moyen d'un vecteur adénovirus (AAV-GAD) dans le noyau subthalamique afin de réduire son activité et de ramener l'activité globale du circuit à un niveau de base, améliorant ainsi les symptômes.
La nutrition, un levier central dans la prévention des maladies neurodégénératives. En l'absence de traitement curatif, Santé Publique France recommande une stratégie thérapeutique favorisant les traitements non médicamenteux, intégrant à part entière la nutrition.
La Levodopa ou L-Dopa est le médicament le plus puissant pour l'amélioration des troubles moteurs. Elle n'agit que sur certains symptômes moteurs (lenteur, rigidité, tremblement) et peu sur les autres signes moteurs et non moteurs.
Troubles du rythme cardiaque, hypotension orthostatique, troubles du goût troubles psychiques, agitation, désorientation, dépression, anxiété, cauchemar, somnolence, envie impérieuse de dormir au cours de la journée, éruption cutanée, démangeaisons, anomalie de la numération formule sanguine, augmentation des ...
Une épice anti-Alzheimer que vous avez probablement dans vos placards. Il s'agit de la cannelle. Les personnes malades d'Alzheimer ont des amas caractéristiques de protéines Tau dans le cerveau. Or, la cannelle contient de l'aldéhyde cinnamique (de cinnamon, qui veut dire cannelle en anglais et en latin).
L'incurie : Le syndrome de Diogène se définit aussi par l'absence de soins et la négligence de soit même. En effet, l'individu atteint ne ressentira pas la nécessité de prendre soin de son être, tant en matière d'hygiène que de présentation.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
Le syndrome de Diogène a été décrit en 1975 par Clark pour caractériser, chez la personne âgée, un trouble du comportement associant une négligence extrême de l'hygiène corporelle et domestique ainsi qu'une syllogomanie (accumulation d'objets hétéroclites) qui conduisent à des conditions de vie insalubres.
Par nature, les individus gérascophobes sont anxieux ou très nerveux. Le fait de vieillir signifie aussi la retraite, la mort d'eux-mêmes et de proches, etc. La gérascophobie peut également être attribuée à des expériences négatives liées au vieillissement.
Génétique. Et si le secret de la jeunesse éternelle se trouvait dans les gènes? Une étude parue le 28 avril dans la revue Current Biology révèle que les personnes porteuses d'une certaine variante du gène MCR1 dans leur ADN ont l'air d'avoir deux ans de plus en moyenne que leur âge réel.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.