"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
l'idolâtrie (shirk) ou polythéisme demeure le premier péché : « le péché absolu ». Il s'agit de l'adoration d'autres dieux qu'Allah (sourate 4.48,137 ; sourate 47.34). Ce péché est impardonnable (plus précisément, il ne faut pas mourir dans cet état de péché).
Selon le Coran, les seuls aliments explicitement interdits sont la viande d'animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et toute nourriture dédiée à l'adoration d'un autre que Dieu, c'est-à-dire pour laquelle on a invoqué le nom d'un autre que celui d'Allah.
Car Allâh pardonne tous les. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux ». (Coran 39/53) « Crains Allah où que tu sois! Fais suivre la mauvaise action par une bonne action, celle-ci l'effacera.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
Six siècles plus tard, Thomas d'Aquin arrête la nomenclature définitive des sept péchés capitaux qui représentent aussi bien désormais sept vices fondamentaux : l'orgueil, l'avarice, la luxure, l'envie, la gourmandise, la colère, la paresse.
Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue. À la mort du Prophète en 632, ses proches mettent à l'écrit le texte sacré.
Allah est en particulier évoqué par la formule bismi-llahi r-Rahmani r-Rahimi « Au nom de Dieu clément et miséricordieux », appelée Bismillah. Al Rahman est un terme araméen utilisé dans le judaïsme et probablement importé depuis l'Arabie du Sud où il est le nom propre du dieu du monothéisme yéménite.
Dans le verset 116 de la sourate 4 : « Certes, Allah ne pardonne pas qu'on Lui donne des associés. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne des associés à Allah s'égare loin dans l'égarement. »
Des explications d'ordre taxinomique ont également été développées : le cochon est impur et tabou car il appartient à une catégorie d'animaux « inclassables ». Il ne rumine pas, alors qu'il a le sabot fendu comme tous les ruminants. Cette anomalie en fait un être suspect, dangereux.
Mais selon Ahmed Benani, politologue et anthropologue des religions, célébrer la naissance de Jésus ne poserait pas de problème. Rien, d'après le Coran, ne l'interdirait si les musulmans voulaient le faire.
On sait que parmi ceux-ci, une tradition prophétique en avait cité 7 ensemble : le polythéisme, la sorcellerie, le meurtre, la consommation des biens de l'orphelin, l'usage de l'intérêt, la fuite lors de la confrontation avec les ennemis et la diffamation contre les chastes croyantes.
Jésus a affirmé que tous les péchés seront pardonnés aux hommes, s'ils s'en repentent. Cependant, le seul péché impardonnable est le blasphème contre le Saint-Esprit.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.
La recherche contemporaine insiste plutôt sur le fait que le Coran a été vraisemblablement rédigé par des scribes érudits après la vie de Mahomet. Le Coran, selon eux, serait la combinaison d'éléments venant des discours de Mahomet, mais aussi de traditions chrétiennes ou païennes.
Nom arabe désignant le Dieu unique, adopté par les musulmans et aussi par les chrétiens arabophones. Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque.
C'est Djibril, l'ange Gabriel, qui lui transmet les paroles de Dieu, nommé Allah. Pendant 22 ans, jusqu'à sa mort, Mohammed reçoit la parole d'Allah, dictée par Djibril. À La Mecque, puis à Médine, il prêche les préceptes, c'est-à-dire les règles de l'islam, et il a de plus en plus d'adeptes.
Une révision annuelle du Coran se faisait entre l'archange Gabriel et Mahomet durant le Ramadan. La dernière, en l'occurrence une double révision, est celle qui eut lieu l'année de son décès. D'après les récits traditionnels, il n'existe pas de texte coranique sous forme de livre mushaf à la mort de Mahomet.
L'un des plus anciens, daté du VIIème siècle, est conservé à la Bibliothèque nationale de France (voir p. 32). Mais, en l'absence d'autres manuscrits antérieurs au IXe siècle, la datation de ce recueil d'une soixantaine de feuillets ne peut être estimée que par des critères paléographiques.
Les gens du Livre ou ahl al-kitâb (arabe : اهل الكتاب) sont ceux à qui, selon le Coran, les messages divins ont été révélés à travers un livre révélé à un prophète.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Troisième péché capital : la lâcheté. Parce qu'aucune vertu n'est possible sans courage, ni aucun bien. Parce que la lâcheté est une forme d'égoïsme, face au danger.
L'orgueil est la racine de tous les péchés.