Kawaii. Peut-être et sûrement le mot qui rentrera le plus facilement dans le dictionnaire. On pourrait le traduire simplement par « mignon » mais il s'applique à des choses mignonnes nippones.
好き (suki) : amour, affection. 大好き (daisuki) : je t'aime beaucoup/aimer beaucoup. 愛してる (aishiteru) : je t'aime.
👎 Dire "Non" et refuser en japonais
Dire non en japonais se dira いいえ iié de manière formelle, ou encore いや iya si l'on est plus proche. Parfois, on pourra également utiliser うーん uun', en laissant bien traîner le premier son. Cependant, les coutumes de politesse japonaise n'aiment pas le refus trop franc.
Zen, manga, mikado, sushi, miso, matcha, bento, yuzu, geisha, tsunami… Autant de mots japonais quenous employons - presque - tous les jours.
- La lettre v n'existe pas en Japonais. - Les lettres c et q sont toujours remplacées par un k.
Les français sont donc vus au Japon avec bienveillance. La renommée de notre pays donne une bonne image du français, même si celle-ci se nourrit de nombreux clichés. En fait, la culture française et la culture nippone sont si différentes, qu'il y a forcément un décalage, dans la manière de percevoir l'autre.
わかりました (wakarimashita) – ça marche, c'est entendu
La traduction littérale de わかりました (wakarimashita) est « j'ai compris ». En fonction des contextes, on va le traduire par « ça marche », « c'est entendu », « c'est d'accord », « OK »… わかった (wakatta) entre amis.
«Émerillonné», «thaumaturge», «calembredaines»... Nombreux sont les mots rares de la langue française à dormir dans les pages de nos dictionnaires, sans jamais s'aventurer hors de leurs colonnes et jusque dans nos bouches.
Typologiquement, la syntaxe sujet-objet-verbe, la morphologie agglutinante et le système de politesse rapprochent le japonais des langues altaïques, en particulier du coréen.
L'heureux vainqueur de cette élection de vocables en chef est le mot turc « yakamoz » qui désigne, comme chacun sait, le reflet de la lune dans l'eau. Sur la deuxième marche du podium, on retrouve le mot chinois « hulu » qui signifie ronflement harmonieux.
Pour faire simple, les japonais choisissent de dormir séparément pour bénéficier d'un sommeil réparateur et pour prendre soin de leur santé en général.
Comment dire père ? Imaginons que vous êtes Japonais et que vous vous adressez à votre père : vous pourrez l'appeler otô-san (お父さん、おとうさん), qui est une forme respectueuse. Il est tout à fait possible d'omettre le “o”. Certains natifs utilisent aussi le mot occidental papa (パパ), mais cela reste plutôt rare.
La vie nocturne est certainement le moyen le plus rapide pour séduire les femmes japonaises. Beaucoup de femmes japonaises aiment aller dans des clubs de luxe pour boire et danser toute la nuit. Tokyo est la reine incontestée de la vie nocturne asiatique depuis de nombreuses années.
MOSHIMOSHI est une expression utilisée au téléphone. Il y a plusieurs théories sur son origine, mais on pense généralement qu'elle vient du mot MÔSU, une forme polie du verbe « dire ». Quand le téléphone est arrivé au Japon, il y avait des opérateurs pour relier les interlocuteurs.
-San est le suffixe personnel le plus basique en japonais, et c'est aussi le moins risqué à utiliser pour ceux qui apprennent le japonais. On l'emploie habituellement avec le nom de famille plutôt que le prénom, par exemple : Yamada-san.
Bien différentes des grandes agglomérations japonaises, fortement urbanisées comme Osaka ou Tokyo, nos métropoles sont ainsi de véritables vestiges de l'Histoire européenne et font de la France un pays très apprécié au Japon pour son rayonnement culturel. Ce rayonnement connaît néanmoins ses limites : Paris !
Les Japonaises préfèrent les rencontres hasardeuses, romantiques, qui vont marquer durablement leur esprit. La trop grande assurance dont peuvent faire preuve certains étrangers a tendance à créer de la méfiance. Pour une relation durable : prendre son temps et faire preuve de patience fera toute la différence.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone.
Retenez les symboles et les chiffres de 1 à 5.
Un (1) se dit 一 (« ichi », prononcé « i-tchi »). Deux (2) se dit 二 (« ni », prononcé « ni »). Trois (3) se dit 三 (« san », prononcé « sane »). Quatre (4) se dit 四 (« shi », prononcé « chi »).