Kibera, situé au Kenya au sud de la capitale Nairobi, est l'un des plus grands bidonvilles d'Afrique. Les estimations font état d'une population comprise entre 170 000 selon le gouvernement et 1 000 000 selon les ONG.
selon les recommandations des projets correspondants. Dharavi est un bidonville situé au cœur de l'agglomération de Bombay en Inde. Dharavi constitue le 2e plus grand bidonville d'Asie (après Orangi Town au Pakistan), et compte entre 500 000 et un million d'habitants sur 223 hectares d'anciens marécages.
Orangi Town (Karachi, Pakistan)
Orangi Town, composé de 13 quartiers officiels et situé au nord-ouest de Karachi (Pakistan), est le bidonville le plus peuplé du monde avec, selon les estimations, plus de 2 400 000 personnes en 2017.
Boribana, le bidonville d'Abidjan sacrifié sur l'autel du développement.
REPORTAGE - RTL s'est rendu à Kawéni, surnommé le plus grand bidonville de France, où des milliers d'immigrés vivent sans eau ni électricité.
En 2020, les dix plus gros bidonvilles sont : Orangi Town à Karachi, avec 2,4 millions d'habitants ; Kibera (en kinubi, « forêt », « jungle ») à Nairobi, 1,5 million ; Pikine à Dakar, 1,3 million ; Neza-Chalco-Itza à Mexico, 1,2 million ; Sadr City à Bagdad, 1,15 million ; Cazenga à Luanda, Agua Blanca à Cali, Dharavi ...
Un township désigne, en Afrique du Sud, un quartier pauvre et sous-équipé réservé aux non-Blancs. Ces zones urbaines sont principalement occupées par des populations noires ou coloured, mais aussi par des travailleurs indiens déplacés de force au nom des lois d'apartheid.
Kibera est aujourd'hui considéré comme le plus grand bidonville d'Afrique.
L'origine du mot. Le terme « bidonville » fut d'abord utilisé à Casablanca à partir de la fin des années 1930, pour nommer les quartiers de baraques construites par des ruraux dans la périphérie de la ville à l'aide de matériaux de récupération, notamment de vieux bidons découpés.
Les bidonville-ghettos se retrouvent essentiellement dans les grandes villes d'Asie du Sud et du Sud-Est. Ils sont symptomatiques de ces mégapoles en devenir qui ont pensé l'urbanisation pour leur hypercentre mais n'ont pas pu anticiper ce qui se passerait dans leurs faubourgs.
À Rio de Janeiro, ces quartiers, généralement situés en pleine ville, surprennent par leur vertigineuse verticalité. Aujourd'hui, ces communautés populaires sont de véritables quartiers qui fonctionnent souvent en pleine autonomie grâce à une importante économie locale et à une organisation propre.
D'autre part, un bidonville est défini comme « une zone urbaine très densément peuplée, caractérisée par un habitat inférieur aux normes et misérable », par les Nations Unies, mais il n'existe pas une coupure nette dans les formes d'habitat dignes et indignes, mais des logements plus ou moins insalubres.
Casablanca regorge de quartiers luxueux qui se trouvent surtout en plein cœur de la capitale économique. Racine par exemple, est un secteur qui fait partie des endroits les plus huppés de la ville, à l'instar de Gauthier et de Maârif. Ce trio porte le nom de Triangle d'or, vu les biens luxueux qu'il propose.
Le quartier de Westlands
Ce quartier se situe au nord-ouest du centre-ville. Il est connu pour être le « quartier des expatriés » car c'est ici que la plupart des expatriés à Nairobi vivent. Il est réputé plus calme et plus sécurisé.
Il y a une définition de l'ONU Habitat qui cible une zone dotée d'un accès insuffisant à l'eau, à l'assainissement, où la structure du logement est très faible avec des matériaux de construction peu solides et qui est en surpopulation.
Quel est le pays le plus pauvre d'Afrique ? Pays le plus pauvre du monde si l'on prend comme indicateur le produit intérieur brut par habitant, le Burundi s'impose également comme le pays le plus pauvre du continent africain, avec un PIB par tête de 269 dollars en 2022.
Trente ans après la fin de l'apartheid, "la race reste un facteur clé des fortes inégalités en Afrique du Sud, en raison de son impact sur l'éducation et le marché du travail", estime la Banque mondiale. L'origine ethnique contribue à hauteur de 41% aux inégalités de revenus, et 30% dans l'éducation.
Petare est l'un des plus vastes bidonvilles d'Amérique latine.
Des baraques en tôle ondulée ou en dur, entourées d'un mur d'enceinte qui les soustrait au regard des passants. Juste à côté, des blocs de villas cossues.
Ces constructions sont appelées couramment Slum, « constructions non autorisées », « empiétements » ou « squats » (occupations illégales). A la fin des années 60, les autorités locales détruisent certains habitats de ce type mais promulguent dans le même temps des règlements protecteurs pour leurs habitants.