Le Niger est le principal pays producteur d'uranium en Afrique. Il occupe le troisième rang mondial des producteurs d'uranium, derrière le Canada et l'Australie.
L'uranium est produit par de nombreux pays en particulier en Amérique du Nord et en Asie. Les principaux producteurs sont le Kazakhstan, le Canada, l'Australie et la Namibie qui représentent près de 80 % de la production mondiale.
En Namibie, pays situé au nord de l'Afrique du Sud, existent plusieurs mines d'uranium à ciel ouvert. La plus grande, et une des plus anciennes, est celle de Rössing, exploitée depuis 1976 par le groupe anglo-australien Rio Tinto, mais cédée en juillet 2019 à la CNUC (China National Uranium Corporation).
La première filiale est la Somaïr, dans laquelle l'Etat nigérien détient une participation de 36,4% par le biais de la société nationale Sopamin. La Somaïr opère au Niger depuis 1971 sur la mine d'Arlit, la plus grande du pays.
Grâce à des techniques d'extraction à la pointe de l'innovation, Orano exploite le minerai en fonction des différents types de gisements : au Canada, où la teneur en uranium est la plus élevée au monde ; au Kazakhstan avec la plus grande mine d'uranium ISR du monde et, au Niger, dans la région désertique de l'Aïr.
Orano Mining détient 59% du capital de COMINAK depuis fin février 2021, après la reprise de la part détenue par l'un des actionnaires historique, la société japonaise OURD (25%). La COMINAK a produit plus de 75 000 t d'uranium pendant les 47 ans d'exploitation des gisements d'Akouta, Akola et Ebba.
La France n'exploite plus de mines d'uranium sur le territoire national depuis 2001 et importe l'intégralité de son uranium — quelque 10 656 tonnes par an, provenant principalement du Kazakhstan, du Niger, du Canada, de l'Australie et de l'Ouzbékistan.
L'extraction franco-française d'uranium s'arrête
Depuis le début des années 2000, l'uranium utilisé pour les centrales nucléaires françaises est entièrement importé, même s'il est souvent ensuite enrichi en France, un détail qui a son importance.
Kazakhstan : 27 748 tonnes (soit 20,1 %) ; Australie : 25 804 (18,7 %) ; Niger : 24 787 (17,9 %) ; Ouzbékistan : 22 197 (16,1 %).
Cette statistique montre la répartition de la production mondiale d'uranium en 2016 en tonnes, par pays. Cette année-là, le Kazakhstan était le pays ayant produit le plus d'uranium, soit 24.700 tonnes, alors que le Canada arrivait en deuxième place du classement avec une différence de 10.000 tonnes.
Le Niger est le principal pays producteur d'uranium en Afrique. Il occupe le troisième rang mondial des producteurs d'uranium, derrière le Canada et l'Australie.
Les producteurs autorisés comprennent notamment les entreprises Hummingbird Resources, Randgold Resources et Cora Gold (britanniques), AngloGold Ashanti (sud-africaine), B2Gold (en), IamGold (canadiennes), Resolute Mining (australienne) et Endeavour Mining.
Cette statistique représente un classement par pays de la production minière d'argent dans le monde entre 2010 et 2021, en tonnes. En 2021, le Mexique dominait ce classement avec plus de 5.600 tonnes d'argent issues de ses mines.
Depuis quelques années, c'est le Ghana et l'Afrique du Sud qui se disputent cependant la place de leader continental. L'Afrique du Sud est de nouveau le premier producteur africain d'or.
Le Ghana en produit 500 000 tonnes et la Côte d'Ivoire 417 000 tonnes. Le Cameroun et la RD Congo ont une production plus ou moins équivalente, environ 500 000 tonnes. Pour ce qui est du caoutchouc naturel, la Côte d'Ivoire en est le 1er producteur africain et le 7e mondial (317 000 tonnes lors de la dernière saison).
Le taux d'indépendance énergétique du pays atteint 53,1 %, selon les chiffres du Commissariat général au développement durable . Cela signifie que la production d'énergie tricolore couvre un peu plus de la moitié de la consommation seulement.
Importations de gaz naturel par pays d'origine
La Norvège demeure le principal fournisseur de la France (36 % du total des entrées brutes), devant la Russie (17 %), l'Algérie (8 %), les Pays-Bas (8 %), le Nigeria (7 %) et le Qatar (2 %).
L'ensemble des importations françaises d'électricité ne sont pas intégralement à destination de la consommation française : une partie transite vers la France pour aller vers d'autres pays. Cela est dû aux interconnexions entre les pays prévues par le réseau électrique européen.
Ces mines se trouvent principalement dans le Massif central (Auvergne, Limousin, Languedoc) et le Massif armoricain (Vendée et Bretagne). Aujourd'hui totalement fermés, ces sites miniers ont connu des destins différents, entre renaturation et réhabilitation.
Les plus grosses mines conventionnelles sont celles de la rivière McArthur (Canada), de Ranger et Olympic Dam (Australie), de Krasnokamensk (Russie) et Rossing (Namibie). Les plus grands producteurs d'uranium sont Cameco, Rio Tinto, Areva, Kazatomprom, ARMZ-TVEL et Rosatom.
La sortie du nucléaire s'impose pour de multiples raisons : le risque inacceptable d'un accident majeur comme à Tchernobyl ou à Fukushima, des déchets radioactifs extrêmement dangereux pour des milliers d'années, une production d'électricité extrêmement centralisée, sécuritaire et non démocratique, l'utilisation et la ...
La fission des atomes d'uranium produit de la chaleur, chaleur qui transforme alors de l'eau en vapeur et met en mouvement une turbine reliée à un alternateur qui produit de l'électricité.
L'uranium est radioactif. Cela signifie que les noyaux de ses atomes sont trop lourds pour être stables dans le temps. Ils se transforment spontanément en d'autres éléments radioactifs plus légers (par exemple, l'uranium 238 en thorium 234) qui à leur tour disparaîtront par décroissance radioactive.
L'uranium, une énergie décarbonée mais non renouvelable
L'énergie nucléaire est produite dans des centrales nucléaires qui utilisent l'uranium, un combustible considéré comme une énergie fissile.