Le quiproquo tient au fait qu'Harpagon ignore que Valère est l'amant de sa fille et que Valère ignore le vol de la cassette.
L'Avare, de Molière (extrait) : un quiproquo théâtral
Valère est amoureux d'Élise, la fille d'Harpagon. Mais celui-ci est obsédé par la cassette qui renferme son argent.
Cléante est le fils d'Harpagon et le frère d'Elise.
Les enfants d'Harpagon tentent pendant toute la pièce de trouver des solutions pour épouser les personnes qu'ils aiment. Ainsi, Cléante emprunte une grosse somme d'argent par l'intermédiaire de son valet La Flèche. Il a en fait emprunté à son propre père. Les deux hommes se disputent violemment.
Harpagon ne pense qu'à protéger sa cassette, sans songer qu'à travers les deux mariages qu'il souhaite arranger pour ses enfants, il cause leur malheur. Égoïste, colérique, violent (il ne lésine jamais sur les coups de bâton), bourru et borné, il est également naïf, dès qu'il est question d'argent.
"Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger", telle est la devise d'Harpagon.
Lors de l'acte IV, scène 7, Harpagon dit à son argent : « il m'est impossible de vivre sans toi ». Il croit qu'il y a des voleurs partout et il a prévu un plan pour économiser de l'argent en mariant ses enfants à des personnes riches et en organisant son mariage et celui de ses enfants à la même date.
harpagon n.m. Homme d'une grande avarice.
Son fils Cléante partage le même dessein et rêve de convoler avec elle. Il se confie à sa sœur qui elle est amoureuse en secret de Valère. Chacun jouera sa partition allant, grâce à de nombreuses complicités, jusqu'à voler le trésor d'Harpagon.
préface) Cléante est l'homme de bien que Molière a voulu opposer à Tartuffe, mais il est vrai aussi que dans la pièce, il est le raisonneur, qui veut raisonner Orgon aussi bien que Tartuffe.
L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise, amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante, qui souhaite épouser Mariane, une jeune orpheline sans fortune.
le comique de mœurs / de caractère : L'Avare, dans son ensemble est une comédie de mœurs : il s'agit pour Molière de critiquer et de dénoncer, de façon légère, la caste des bourgeois, attirés par leur fortune.
Le quiproquo est un procédé théâtral bien connu, qui nécessite cependant beaucoup d'habileté de la part de l'écrivain, car chaque phrase doit avoir un double sens pour que locuteur et interlocuteur puissent comprendre les répliques de façon différente et prolonger le malentendu.
C'est un malentendu : j'ai dit que vous étiez insouciant de nature, je n'ai pas dit que vous étiez négligent.
Harpagon représente l'avarice. C'est un homme riche et veuf, père de deux adultes en âge de se marier : Cléante et Elise. Il n'est pas économe ou frugal, mais plutôt chiche, égoïste et s'obstine à faire quelque dépense que ce soit : « Quand il y'a à manger pour huit, il y'en a bien pour dix. »Acte III, scène I.
Dans cette scène, Harpagon est sous le choc. Il vient de se rendre compte que sa chère cassette de dix mille écus d'or a été volée. Juste avant, nous avons appris que La Flèche, le valent de Cléante, a volé le précieux trésor d'Harpagon.
Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu'on la découvre et qu'on la lui vole.
Réponse : Bonjour, Pendant sa rencontre avec son amoureuse Marianne, Cléante, offre à cette dernière un diamant de la par d' Harpagon, mais celui-ci ne veut pas car il est avare mais et bien obliger de lui offrir pour bonne figure. Cela marque plus son égoisme.
Homme de soixante ans avoués, Harpagon est classé au xvii e siècle dans la lignée des barbons.
Cléante : c'est l'amoureux d'Angélique. Il fait semblant d'être le maître de musique. Il est marrant parce qu'il fait le Ninja. Thomas : c'est le prétendant d'Angélique.
L'Avare s'achève d'une façon spectaculaire et invraisemblable : une histoire de naufrage, de changement de nom, convention théâtrale dont Molière tire le meilleur parti, pour donner une fin heureuse à sa comédie : Élise retrouve son amoureux, Valère est devenu le fils du Seigneur Anselme, Marianne cesse d'être la jeune ...
Réponse. 1) Cléante à besoin d'argent car vu qu'il est amoureux de Marianne, et qu'elle et sa mère sont pauvres il veut les aider, faire le bien autour de lui et pour cela il va demander à son père (l'avare) de l'argent, car il veut sortir Marianne de cette situation.
Le sujet du premier Tartuffe avait un dénouement qui ne pouvait pas être celui du Tartuffe de 1669. Au départ, un gros homme dévot profite de l'ascendant qu'il exerce sur un homme pour s'opposer au mariage de son fils et pour séduire sa femme. Mais grâce à l'habileté de cette femme, il est démasqué.
Dorine. Servante de Mariane, Dorine se définit par son caractère franc. Elle a très vite percé l'hypocrisie de Tartuffe et ne se gène absolument pas pour dire ce qu'elle en pense.