Évitez les phrases négatives telles que « Si tu ne fais pas tes devoirs, tu ne réussiras pas ! » ou bien « Qu'est-ce que tu vas devenir ? ». Au contraire, valorisez-le, montrez- lui que vous croyez en ses capacités scolaires et que même s'il a des difficultés, il pourra les surmonter.
Encouragez-le à expliquer sa pensée. Petit à petit, invitez l'enfant à estimer lui-même le temps qu'il pense nécessaire pour faire tel exercice ou apprendre telle leçon et à se challenger lui-même pour y parvenir. Il pourra être alors maître du Time Timer. À lui de remporter le défi qu'il se sera lancé.
Essayez de cibler avec lui ses pensées négatives et aidez-le à les remplacer par des pensées positives. Par exemple, vous pouvez prendre une feuille sur laquelle vous écrirez ce que votre enfant peut faire de plaisant à l'école (p. ex. : apprendre de nouvelles choses, se faire des amis, jouer à de nouveaux jeux…).
En effet, prendre des pauses est également très bénéfique pour la concentration. Les pauses permettent de se détendre et de prendre du recul sur certains devoirs qui paraissaient très compliqués avant la pause. La musique est aussi un système efficace quand il s'agit de se concentrer.
Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ». Pour un enfant opposant, le « non » sert souvent de déclencheur de crise.
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
La première chose à faire est de surmonter son agacement et de ne pas céder à la tentation d'élever la voix ou d'employer des mots vulgaires, pour ne pas mener à une escalade verbale. Il n'est pas question non plus de faire comme si rien ne s'était passé.
Afin de garder l'élève concentré, il faut se montrer bienveillant en lui faisant des feedbacks positifs pour qu'il ait l'envie de continuer et de réussir. Cette forme de motivation extrinsèque passe également par la dédramatisation des erreurs afin d'éviter la démotivation de l'apprenant.
« Le matin est le moment où on est le plus disponible sur le plan cognitif », souligne la spécialiste. Pour les exercices du quotidien, « l'idéal est de s'y mettre entre 17 heures et 19 heures, après un vrai goûter, qui est une respiration importante, et avant le dîner, poursuit-elle.
Ne pas attendre la dernière minute pour s'y mettre : encouragez votre enfant à noter les devoirs à faire dans un agenda ou sur un calendrier. Cela l'aidera à visualiser ce qu'il a à faire et quand mais aussi à répartir efficacement son temps.
Montrez précisément à votre enfant comment faire ce que vous attendez de lui, comme le préconise Maria Montessori : "apprends-moi à faire seul". Au début vous lui montrez tranquillement en détaillant chaque étape, puis vous lui faites faire avec vous, puis il est capable de le faire seul.
Un enfant peut argumenter, entre autres, pour exprimer une frustration, pour sentir qu'il a un peu de pouvoir ou pour éviter de faire ce qu'on lui demande. Il est bon d'essayer de comprendre pourquoi votre enfant argumente, car se sentir compris et écouté peut l'amener à collaborer davantage et à moins argumenter.
Mieux expliquer pour limiter la colère
Il est nécessaire de se mettre au niveau de l'enfant et de lui expliquer ses limites. Il doit pouvoir intégrer l'idée que la frustration est un ressenti qui fait partie de la vie. Pour son bon développement, le petit doit vivre dans un environnement structuré par des règles.
Cela peut être la peur qu'il soit trop fatigué ou qu'il ait du mal à se concentrer une fois rentrée à la maison. Cela ferait de l'aide aux devoirs un moment moins agréable et moins efficace.
L'échec scolaire d' élèves de primaire est souvent dû à un trouble de l'apprentissage: dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, dyscalculie, TDAH ou précocité. Pour le savoir, il faut consulter un neuropsychologue . Il vous aidera à y voir plus clair et vous conseillera des aménagements à mettre en place en classe.
La phobie scolaire est un trouble affectant les enfants en âge d'aller à l'école qui, en raison d'une anxiété, d'une dépression ou de facteurs sociaux, refusent d'aller à l'école car cela engendre un stress. qui se caractérise par la simulation de maladies et l'invention d'excuses pour ne pas aller à l'école.
Adoptez une posture bienveillante et ouverte pour aider votre jeune à verbaliser ce qu'il ressent, sans jugement ni reproche. Proposez-lui de prendre des cours de soutien dans les matières de son choix. Essayez de comprendre ce qu'il a vraiment envie de faire pour l'aider à regagner de l'intérêt pour l'école.
Si un étudiant a la flemme de réviser c'est donc par manque de motivation. Et ce manque de motivation pourrait venir d'un manque de confiance en soi. En effet, certaines idées défaitistes peuvent vous envahir. Vous pensez que même si vous travaillez, vous n'allez pas réussir.