Avec un rendement moyen d'environ 57 quintaux par hectare, la production de riz français s'élève à 73 300 tonnes. En fin d'hiver, le sol est préparé et aplani.
La formule de calcul du rendement est la suivante : Rendement effectif = Production totale (tonnes) / surface primée (ha). ► C alcul de l'aide liée au rendement : Définitions : - la production totale : il s'agit de la quantité de riz récoltée, exprimée en tonnes-équivalent-riz paddy à 14,5 % de taux d'humidité.
Il correspond à un rapport entre ce qui est produit dans un agrosystème et ce qui est apporté. Il est souvent exprimé en quintaux métriques (1 q = 100 kg ) par hectare pour les grains, ou en tonnes par hectare pour les produits riches en eau (racines et tubercules, fruits...).
Un apport modéré de 20 à 30 K2O/ha permet d'améliorer les rendements du riz pluvial dans ces sols. · Le chlorure de potassium (KCl) est l'engrais potassique le plus courant. · La réponse du riz pluvial au potassium est en général faible, excepté dans les sols à forte carence.
Le rendement moyen du riz (semis) par hectare est de 3 à 6 tonnes. Dans certains pays, comme l'Australie et l'Égypte, le rendement peut atteindre 10 à 12 tonnes ou plus par hectare (1 tonne = 1000 kg = 2200 lbs. et 1 hectare = 2,47 acres = 10 000 mètres carrés).
Halte aux engrais !
Elle résoudrait en effet leur principal problème : l'enfermement du phosphore par le sol, qui n'en relâche qu'une infime partie dans les racines des plants de riz. Actuellement, les riziculteurs se servent d'engrais enrichis en phosphore afin de contourner la difficulté.
Semis direct : En quelques mots, il faut en moyenne 100 à 160 kg (220 à 350 lb) de graines par hectare. Dans le cas de certaines variétés, 220-250 kg (485 à 550 lb.) de graines par hectare seraient nécessaires.
Ils comprennent les diptères mineurs, les mineuses de feuilles, les scarabées des feuilles, l'hispide du riz, les chenilles légionnaires, les thrips du riz, les pucerons des tiges, les foreurs des tiges, les sautériaux et les criquets.
Le repiquage a lieu dans une faible lame d'eau. Les jeunes plants arrachés de la pépinière sont transplantés dans la rizière. L'âge optimum des plants à repiquer se situe entre 15 et 21 jours.
De nombreux riziculteurs appliquent 0,5 tonne de N-P-K 30-10-10-10 par hectare le jour du semis/plantation (ou 20 jours plus tard). Environ 45-60 jours après la première application, ils appliquent 0,2-0,3 tonnes de N-P-K 40-0-0 ou 33-0-0 par hectare (1 tonne = 1000 kg = 2.200 lbs.
La moisson a lieu 30 jours après la floraison et 130 jours après le semis. L'eau a été évacuée de la rizière une à deux semaines auparavant afin de faciliter la récolte. Le riz est récolté en le fauchant avec sa paille ou en coupant seulement les panicules.
Pour apprécier un rendement on peut procéder de deux sortes : peser la production totale de la parcelle, et diviser par la surface parcellaire , procéder à un sondage en mesurant sur des stations le rendement et extrapoler à la parcelle entière le résultat calculé à partir de l'échantillon.
· Il faut labourer profondément (environ 25 cm). · Il faut labourer tout de suite après la récolte. · Il faut labourer de temps à autre jusqu'au semis afin d'éviter les adventices. · Un labour effectué en temps voulu et de façon convenable signifie une meilleure préparation du sol.
Le rendement est le rapport entre ce que produit quelque chose et ce qu'elle consomme ou représente. C'est aussi le rapport entre le résultat obtenu par une tâche et le temps qui lui est attribué. En physique, le rendement d'un système est le rapport entre son efficacité réelle et son efficacité théorique maximale.
Vous pouvez également tenter un traitement à base de pyrèthre, un insecticide naturel qui fonctionne sur certaines espèces. Vous pouvez aussi avoir recours aux iris qui, grâce à l'odeur qu'ils dégagent, sont dits faire fuir les charançons.
Traitement. Il consiste à administrer d'abord par injections puis par voie orale, de la vitamine B1 au malade. La guérison, rapide, est, dans la plupart des cas, totale.
Les principales méthodes de lutte contre la pyriculariose est la sélection et l'utilisation de variétés résistantes. Cependant les échecs des variétés résistantes, du fait du contournement des résistances complètes par les populations de l'agent pathogène, sont très nombreux.
Les rendements sont plus élevés lorsque le riz est repiqué. Les rendements issus du semis à la volée représentent le tiers de ceux du riz repiqué.
Dans ce système de culture, les graines sont semées dans un terrain humide et la plante peut se développer grâce à l'eau qui remonte du sol par capillarité. Le paysan pratique souvent le repiquage et comme il s'agit de champs d'où l'eau vient de se retirer, il n'y a pas ou peu de mauvaises herbes.
La culture du riz (ou riziculture) est apparue au Néolithique. La culture du riz en terrain non-inondé est la plus ancienne ; elle est encore pratiquée par des populations pratiquant une agriculture traditionnelle, comme certains indigènes des Philippines.
Pour faire face à ses forts besoins en eau et en chaleur, le riz pousse les pieds dans l'eau dans les régions chaudes et humides dont principalement l'Asie. Il est le fruit de la plantation des graines récoltées l'année précédente dans des champs couverts d'eau appelés “rizières”.
Culture et entretien du riz
En culture aquatique, maintenez le niveau d'eau à 5-10 cm. En culture sèche, n'hésitez pas à passer le rouleau en début de culture lorsque la température atteint 16-18 °C pour favoriser le tallage. Une fertilisation est apportée au moment du tallage et en début de montaison.