Ayant rejoint Londres en juin 1940, le général de Gaulle y crée la France libre, une organisation politique et militaire ayant pour but de reconquérir la France. Il obtient l'appui de Winston Churchill et s'affirme face aux rivalités de plusieurs généraux français.
Nom donné au petit groupe de volontaires qui, répondant à l'appel du général de Gaulle lancé de Londres le 18 juin 1940, décidèrent de continuer la lutte contre l'Allemagne malgré l'armistice.
Officiers généraux ayant rejoint la France libre
Georges Catroux, général d'armée en juin 1940. Paul Legentilhomme, général de brigade en 1938, de division en 1941 et de corps d'armée en mars 1943. Émile Muselier, vice-amiral en octobre 1939.
La France libre est issue du ralliement au général de Gaulle des Français qui veulent poursuivre la lutte contre l'Allemagne aux côtés des alliés britanniques. Dès le 18 juin , et dans la foulée de son appel à poursuivre la lutte, les ralliements sont d'abord individuels.
Soutenu par Winston Churchill, le général de Gaulle crée la France libre en juillet 1940 en Angleterre. Son but est de poursuivre la guerre, libérer la France et lui rendre son rang.
Ayant rejoint Londres en juin 1940, le général de Gaulle y crée la France libre, une organisation politique et militaire ayant pour but de reconquérir la France. Il obtient l'appui de Winston Churchill et s'affirme face aux rivalités de plusieurs généraux français.
Mais qui est cette "Marianne" ? Marianne est le visage choisi pendant la Révolution française pour représenter la Liberté et la République. Son bonnet est appelé "bonnet phrygien". C'est le bonnet que portaient dans l'Antiquité les esclaves que leur maître avait décidé d'affranchir, c'est-à-dire de libérer.
Contextualisation. Brazzaville devient la capitale de la France libre le 28 août 1940, après les « Trois Glorieuses », journées où les forces de la France libre mettent la main sur les gouvernements de l'Afrique Équatoriale française (AEF).
La zone libre est, pendant la Seconde Guerre mondiale, après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, la partie du territoire français située au sud de la ligne de démarcation, la zone occupée par l'Armée allemande étant située au nord de cette ligne.
Pendant la guerre, de Gaulle veut décider au nom de la France libre, diriger seul et coordonner l'action des diverses résistances intérieures, être le seul chef du Comité français de libération nationale (écartant le général Giraud préféré par les Américains) et s'imposer comme chef politique incontesté après la ...
La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943 , puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944 , marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Forces françaises libres (FFL) : formées par de Gaulle au cours de l'été 1940, les FFL regroupent d'abord des unités rapatriées de Dunkerque, de Narvik et de l'armée du Levant, rejointes par quelques soldats et civils (tels les pêcheurs de l'île de Sein) de métropole qui ont réussi à parvenir jusqu'en Angleterre.
Le régime de Vichy était antirépublicain dans la mesure où le maréchal Pétain cumulait plusieurs pouvoirs (législatif et exécutif) et qu'il a fait supprimer le Parlement. Il s'agissait donc d'un régime autoritaire, où les décisions étaient prises par un seul homme, sans vote préalable.
Le 17 juin 1940, la France s'avoue vaincue par l'Allemagne et signe l'armistice. Le pays est alors coupé en deux, une partie étant occupée et l'autre placée sous l'autorité d'un gouvernement qui décide de s'installer à Vichy pour des raisons logistiques et stratégiques.
Il s'agit du plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes, semblable à ceux de Marzabotto en Italie, ou de Distomo en Grèce (ce dernier perpétré lui aussi le 10 juin 1944 ), qui transposent sur le front de l'Ouest des pratiques très courantes sur le front de l'Est.
Comment Addis-Abeba est devenue la capitale de l'Afrique.
La première occurrence du nom de Paris remonte en fait à la fin du 5e siècle, lorsque Clovis en fait le siège de son royaume. Le nom est alors une déformation du latin apud Parisios, littéralement "chez les Parisii".
Les valeurs de la République sont « Liberté, Égalité, Fraternité ». C'est également la devise de la France. Cet article est le tout premier qui exprime que tout citoyen français, homme ou femme, est libre selon la loi.
La Marseillaise, le drapeau tricolore, Marianne, le coq ou encore la devise « Liberté, égalité, fraternité », découvrez en images les emblèmes de la République française.
L'appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle peut être considéré comme l'acte fondateur de la résistance française. Depuis Londres, de Gaulle forme les Forces Françaises Libres (FFL) grâce aux volontaires qui le rejoignent.
« La République française est indivisible, laïque, démocratique et sociale ». Telle est l'affirmation solennelle du premier article de la Constitution française, en une formule qui résume les quatre piliers de l'esprit républicain.
L'article 1er de la Constitution, en qualifiant la République, énonce ses principes : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale».
À la même époque, l'aviation et la marine se développèrent et les F.F.L. eurent des escadrilles au combat en Afrique et même en Russie (escadrille Normandie-Niemen). La 2 e division blindée, qui devait libérer Paris, et la 1 re division française libre se constituèrent à la fin de la campagne de Tunisie (juin 1942).