Il lui revient alors de veiller à la mise en œuvre des délibérations tant du conseil d'administration que de l'assemblée générale, d'assurer la gestion courante de l'association dans le cadre des orientations arrêtées, ou encore de veiller au bon fonctionnement statutaire, ainsi qu'au respect de la réglementation.
L'association doit posséder une direction qui est le représentant légal de l'organisme. Selon les dispositions prévues par les statuts, la direction peut se composer d'une ou plusieurs personnes. Les membres de la direction sont nommés par l'assemblée des membres, sauf si les statuts comportent une autre disposition.
Un(e) président(e), et potentiellement un ou plusieurs vice-présidents. Un(e) secrétaire, souvent accompagné d'un(e) secrétaire adjoint(e) Un trésorier, et éventuellement un trésorier adjoint.
Comme dans toute autre personne morale, les chèques d'une association sont signés par le président ainsi que par le trésorier ou par toute personne à laquelle le président a donné une procuration qui a été notifiée à la banque.
Le Conseil d'administration a pour responsabilité principale de favoriser la réussite à long terme de la Compagnie et d'optimiser la valeur de ses titres de la Compagnie. Le Conseil d'administration a pleins pouvoirs; il conserve toute autorité non déléguée à l'un de ses comités ou à la direction.
Le rôle du conseiller ou consultant consiste à offrir une aide en lien avec les besoins d'un client (individu, groupe ou organisation). Il effectue la démarche d'intervention en suivant un processus simple qui permet de cerner la complexité des situations.
Recherche ses financements pour réaliser les objectifs de l'association ; Veille à l'application des décisions prises en conseil d'administration ou en assemblée générale ; Veille à la bonne marche de l'association : administration, moyens logistiques, moyens humains, gestion de l'équipe.
En effet, aucune disposition légale n'impose aux associations de se doter d'un président. D'ailleurs, une association n'a pas de représentant légal mais seulement un ou des représentants conventionnels (désignés par les statuts ou par une décision de l'assemblée générale).
Le président
Les pouvoirs du président sont définis par les statuts. D'une façon générale, le président est habilité à représenter l'association dans tous les actes de la vie civile. En cette qualité, le président peut donc signer les contrats au nom de l'association.
Comme cité précédemment, les membres peuvent décider de créer une association sans président. Toutefois, le bureau provisoire doit décrire le mode d'organisation dans les statuts dès l'assemblée constitutive. Il faut énumérer les organes dotés d'un réel pouvoir de décision et définir leur fonctionnement.
Le poste de président
En tant que représentant de l'association mandaté par l'assemblée générale, le président est la personne qui a le plus de responsabilités dans l'association.
Dans le cas d'une élection par le biais d'une assemblée générale, ce sont les membres de l'association qui votent pour élire leur futur président. Les membres votants pourront faire leur choix en amont de l'assemblée générale, grâce à l'établissement d'une liste de candidats.
L'élaboration du règlement intérieur peut être confiée au président, à l'assemblée générale, au conseil d'administration… Il convient de consulter les statuts avant de renseigner le formulaire de création d'une association loi 1901 pour identifier l'organe compétent dans ce cas.
Un organigramme d'association est une représentation schématique de sa structure interne. Souvent établi sous la forme d'un tableau, diagramme ou graphique, cet outil informatif détaille le mode d'organisation d'une association, ainsi que ses postes-clés (président, trésorier, secrétaire, etc.).
La désignation d'un trésorier est obligatoire lorsque la loi ou les statuts de l'association l'imposent. Toutefois, si vous vous trouvez dans l'une des situations suivantes, cette activité peut être soumise à conditions ou vous être interdite (incompatibilité avec d'autres fonctions).
Le rôle du président d'une association est généralement un rôle de coordinateur et mandataire. Il s'occupe de la bonne gestion de l'association et signe les documents nécessaires. Son rôle et son pouvoir dépendent en réalité de la rédaction des statuts de l'association.
Cas général. Toute association peut décider de rémunérer tout ou partie de ses dirigeants. La rémunération de chaque dirigeant ne doit pas dépasser les ¾ du Smic, soit 1 259,21 € brut par mois.
La loi du 1er juillet 1901 laisse l'entière liberté aux membres fondateurs de l'association de déterminer, dans les statuts, le nombre de dirigeants, leurs pouvoirs et mode de désignation. Il n'existe donc aucune obligation pour une association de se doter d'un secrétaire.
2 – Bienvenue à tous chers membres et chers amis pour cette assemblée générale. J'accueille avec le même plaisir nos fidèles partenaires et Elus,… Je voudrais commencer par vous remercier de votre présence encore nombreuse ce soir qui témoigne de votre intérêt pour l'association.
D'après les directives prévues dans les statuts, il faut que les membres du bureau soient élus, soit par l'Assemblée Générale, soit par le Conseil d'Administration de l'association.
Les membres ordinaires, c'est-à-dire les adhérents ; Les membres bienfaiteurs : ceux qui versent des cotisations nettement supérieures à la cotisation annuelle ; Les membres d'honneur ou honoraires : ceux qui ont rendu de nombreux services à l'association et ne versent plus de cotisations.
De manière générale, le Bureau est une émanation exécutive du Conseil d'Administration. Instance réunissant moins de membres, elle est plus facile à réunir et est donc conseillée pour les Associations qui ont fait le choix d'un Conseil d'Administration.
Généralement : le président de l'association préside l'AG, et le secrétaire du bureau assure les fonctions de secrétaire de séance.
Il existe plusieurs dispositifs de médiation que les associations peuvent utiliser en fonction de l'interlocuteur avec qui l'association est en conflit. L'objectif de la médiation est d'amener les parties à un accord grâce à l'intervention d'un tiers neutre et objectif, le médiateur.
Le conseiller clientèle a le sens du service, de la communication et de la discrétion. Il doit être pédagogue, patient et convaincant. Doté d'une aisance informatique et rédactionnelle, il sait aussi manier les chiffres avec efficacité.