embarras, équivoque, flottement, flou, hésitation, incertitude, indécision, indétermination, irrésolution, perplexité. Contraire : affirmation, assurance, certitude, conviction, croyance, décision, résolution.
sceptique
2. Qui a tendance à mettre en doute les croyances et les vérités couramment admises : C'est un esprit sceptique et destructeur. 3. Qui doute de quelque chose, qui refuse de se prononcer et réserve son jugement sur une question particulière : Être sceptique sur un programme économique.
1. Ne pas être sûr de l'authenticité de quelque chose, de sa réalité, de sa vérité : Douter de l'existence de Dieu. 2. Ne pas être sûr de quelqu'un, avoir des réserves sur la confiance qu'on peut lui accorder : Ne doutez jamais de mon amitié.
1. État de quelqu'un qui ne sait que croire, qui hésite à prendre parti : Laisser quelqu'un dans le doute. 2. Manque de certitude, soupçon, méfiance quant à la sincérité de quelqu'un, la véracité d'un fait, la réalisation de quelque chose (surtout pluriel) : Elle a des doutes sur la conduite de son mari.
Croire sur quelque apparence, conjecturer, soupçonner. Je m'en suis toujours douté.
Se douter de : considérer comme tout à fait probable (ce dont on n'a pas connaissance). ➙ croire, deviner, imaginer, pressentir, soupçonner. Je ne me doutais de rien. Je ne m'en serais jamais douté.
Synonymes. Probablement (1) : probablement. sans aucun doute (Familier)
État d'incertitude qui fait qu'on ne peut prendre une décision soit par manque de connaissance, soit par faiblesse psychologique (on parle alors d'aboulie, voire de « folie du doute »), soit volontairement.
Historiquement, en philosophie, cette résolution de dou- ter a revêtu deux figures, d'abord celle du doute sceptique, ensuite celle du doute méthodique. Le doute sceptique remonte à Pyrrhon (365—275), un philosophe antique resté célèbre pour avoir rejeté comme douteuses toutes les connaissances de son temps.
embarras, équivoque, flottement, flou, hésitation, incertitude, indécision, indétermination, irrésolution, perplexité. Contraire : affirmation, assurance, certitude, conviction, croyance, décision, résolution.
Le doute est un état de l'esprit qui est incertain, interrogatif et peut être le pressentiment, l'impression d'une réalité différente de celle qui est communément admise par consensus moral. Il s'oppose à la certitude, notion de ce qui est sûr et qui n'est pas discutable.
Si l'on doit commencer par soumettre absolument tout au doute, c'est parce que ce procédé permet d'asseoir nos connaissances sur un fondement solide. Le doute apparaît donc comme une étape nécessaire de la pensée et non comme un renoncement stérile.
Lui part d'une observation différente : le doute est pour lui nécessaire, principalement parce que les opinions se confrontent sans jamais s'accorder. Descartes propose dès lors une méthode permettant d'arriver à coup sûr à la vérité. Or le premier outil de cette méthode est précisément le doute lui-même.
État de l'esprit qui est incertain de la réalité d'un fait, de la vérité de paroles, de la conduite à adopter dans une circonstance. ➙ hésitation, incertitude, perplexité. Laisser qqn dans le doute.
Un élément essentiel de la science
La recherche implique donc finalement de remettre toujours en question les anciennes découvertes, voire même des vérités que l'on pensait immuables. Le doute est donc bénéfique. Jusqu'à un certain point ! Certes, il faut douter pour avancer, découvrir et apprendre de nouvelles choses.
a) Le sens de cette métaphore : le sel a ici une vertu conservatrice ; le doute permet, comme le sel pour la viande, aux connaissances de ne pas pourrir. Si on ne doute pas, si on reste sur ses positions sans les interroger, on prend le risque de se tromper : on croit savoir, mais, en fait, on ne sait pas.
Doute philosophique, doute méthodique de Descartes.
1. Doute cartésien et doute sceptique. En philosophie, on oppose le doute cartésien au doute sceptique. Descartes rejette « toutes les connaissances qui ne sont que probables et [déclare] qu'il faut se fier seulement à ce qui est parfaitement connu et dont on ne peut douter » ([1628], Règle II).
Le doute est, comme tel, le produit de l'ignorance et de l'oubli. Il est le révélateur d'un défaut et d'une imperfection. La connaissance et l'affirmation de la vérité nous libèrent au contraire du doute: en effet, le doute témoigne d'une faiblesse intellectuelle ou culturelle, voire d'une faiblesse constitutive.
Pour vaincre le doute, il faut accepter la possibilité d'échouer. Ne pas avoir peur d'échouer permet d'oser. Là encore, la peur de l'échec peut vous paralyser et vous bloquer dans vos aspirations. Vous souhaitez faire quelque chose mais avez peur d'échouer, du coup vous ne faites rien.
Le doute, est-il un sentiment ou une émotion ? - Quora. Le doute est un sentiment d'incertitude engendré par une situation, un fait, ou bien une instabilité émotionnelle qui fait douter de tout, surtout de soi-même, que l'on projette parfois sur autrui.
Les méditations de Coelia. Quelle que soit la manière dont vos doutes se manifestent, qu'on se le dise, c'est quand même très probable qu'ils vous inquiètent, voire provoquent en vous un sentiment de peur à cause de l'effet de récurrence.
Définition de catégorique adjectif
Qui ne permet aucun doute, ne souffre pas de discussion.
ambigu adj. Dont l'interprétation, le sens sont incertains ; équivoque.
Le doute n'est pas un renoncement à la vérité, c'est au contraire une façon de le chercher. Platon affirmait que l'origine de la philosophie est l'étonnement, c'est-à-dire cette attitude qui consiste à s'interroger, à ne pas se satisfaire des réponses toutes faites et des opinions.