Synon. holocauste, immolation, oblation, offrande.
abandon, abnégation, dévouement, renoncement. – Littéraire : renonciation.
Effort volontairement produit, peine volontairement acceptée dans un dessein religieux d'expiation ou d'intercession. 3. Renoncement volontaire à quelque chose, perte qu'on accepte, privation, en particulier sur le plan financier : Faire de grands sacrifices pour ses enfants.
Définition de sacrifié
Qui est voué au sacrifice. Tué pour sauver d'autres vies. Qui se sacrifie.
L'esprit de sacrifice c'est avant tout la disposition à renoncer à ses propres intérêts au bénéfice d'autrui. C'est en quelque sorte le contraire de l'égoïsme. Cet état d'esprit pousse à faire passer ses propres sentiments et préférences après ceux des autres et de l'institution.
Sacrifice agréable (à Dieu, aux dieux); sacrifice privé, public, rituel, solennel; sacrifices païens; sacrifice d'animaux; sacrifice d'action de grâces, d'adoration, de communion, de louange; sacrifice expiatoire, propitiatoire; appareil, apprêts, rites du sacrifice; autel, couteau, parfum, sang, viande, victime du ...
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d'un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l'altérité de Dieu et sa similarité.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
Pour Maïmonide ( XII e siècle), la volonté d'Abraham de sacrifier son fils démontre la limite de la capacité humaine à aimer son prochain et craindre Dieu tout à la fois.
Renoncement volontaire à quelque chose ou quelqu'un.
Synonyme : accommodement, accord, arrangement, concession, conciliation, consensus, modus vivendi, transaction.
Le sacrifice de bonne odeur est un message, une demande, un apaisement. Il ouvre le dialogue avec la divinité. 7Cette conception de l'odeur comme un médium de communication est d'autant plus importante en Israël, qui postule une absolue transcendance de Dieu.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.
sacrificateur n. Prêtre ou prêtresse qui offrait les sacrifices dans l'Antiquité.
Dans la Bible, l'offrande est un acte de reconnaissance à Dieu. À l'époque de Moïse, Dieu a donné certaines prescriptions au peuple d'Israël. Il devait notamment lui apporter une part de sa richesse en guise de reconnaissance pour le pays que Dieu lui a donné pour héritage.
Nous devons donner de bon cœur
Il est important de donner de bon cœur. « Quand quelqu'un paye la dîme sans plaisir, il est privé d'une partie de la bénédiction. Il doit apprendre à donner de plein gré, de bon cœur et avec joie. Alors son don sera béni » (Stephen L.
Les familles sacrificielles sont celles qui éduquent dans le “devoir de se sacrifier” pour leurs autres membres, celles qui cultivent chez leurs membres la nécessité de mettre de côté leurs propres désirs et leurs besoins au profit du bien-être familial, que ce soit de manière collective ou individuelle.
D'une part, le sacrifiant est le yajnapati, le « maître du sacrifice » : c'est pour lui, autour de lui, à ses frais et pour son bénéfice que le dispositif sacrificiel se met en place, et il faut savoir aussi que si les officiants sont habilités, et seuls habilités, à tenir leur partie dans ce dispositif, ils n'exercent ...
En souvenir de cette dévotion d'Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes sacrifient un animal (le mouton qui a six mois ou la chèvre qui a deux ans ou le bovin qui a deux ans et qui est entré dans la troisième année lunaire ou le chameau qui a complété cinq ans) selon les règles en vigueur.
HOLOCAUSTE, subst. masc. 1. Sacrifice religieux, pratiqué notamment par les Hébreux aux temps bibliques, et au cours duquel la victime (uniquement animale chez les Hébreux) était entièrement consumée par le feu.