Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent. Il est employé pour les évènements considérés comme principaux, qui constituent la trame de l'histoire et y apparaissent dans l'ordre selon lequel ils se sont réellement produits.
En français, il existe deux systèmes de temps verbaux : celui du présent, qui est le système du discours, et celui du passé, qui est le système du récit. A l'écrit, on ne doit pas mélanger ces deux systèmes, sinon le lecteur ne comprend plus rien. On utilise le système du présent pour : Les dialogues dans un récit.
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Le temps dominant dans la plupart des textes explicatifs est le présent de l'indicatif, appelé présent de vérité générale. Il permet au locuteur d'insister sur la permanence des faits énoncés ou des notions abordées.
Temps de la narration, l'imparfait permet de décrire le cadre général de l'histoire, par exemple le décor, les habitudes de personnages, les situations préexistantes au récit. L'imparfait ne fait pas progresser l'histoire, puisque ce n'est pas le temps qui permet de décrire des incidents ou des événements soudains.
Le temps dominant dans un dialogue est le passé simple. Une proposition incise contient un verbe de parole. Elle est insérée au milieu d'une réplique. Un dialogue est toujours encadré de guillemets.
Le récit est le plus souvent rédigé au passé, sauf lorsque le narrateur a choisi de le rendre dynamique en utilisant un présent de narration. Les temps les plus courants sont alors l'imparfait et le passé simple qui alternent, ayant des valeurs et emplois bien spécifiques.
Le texte à dominante narrative sert à : • raconter une histoire ou des événements imaginaires, réels ou documentaires. La séquence narrative est la séquence dominante dans un texte narratif. Elle comprend, dans un récit à 3 temps : • un début; • un milieu; • une fin.
L'imparfait permet de mettre une ambiance, de créer une atmosphère ou encore de planter un décor. En général, c'est le temps utilisé à l'écrit pour une description. Par exemple : la montagne surplombait la rivière, et donnait une couleur verdâtre à l'eau.
Un argument est une preuve avancée par l'auteur pour montrer la validité de sa thèse. Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
J. -C., cet orateur hors pair bien plus intéressé par le verbe que par l'épée a formulé les cinq préceptes indispensables dans l'élaboration du discours rhétorique : l'inventio, la dispositio, l'elocutio, l'actio et la memoria.
Passer du discours direct au discours indirect
On passe du présent à l'imparfait, et de la première à la troisième personne.
L'imparfait de l'indicatif est un temps du passé. Il est utilisé pour exprimer une habitude, faire une description, pour expliquer une situation, une action en cours dans le passé. Il est aussi utilisé pour faire une hypothèse (irréelle au présent), ainsi que dans certaines formules de politesse.
L'imparfait est utilisé pour une description, parler d'une habitude, d'une action en progression dans le passé : Quand il faisait froid il n'oubliait pas de mettre ses gants sur la cheminée. Ici, c'est une habitude. Pour le passé composé, l'action est précise et achevée.
Quatre formes de discours La forme du discours (= tout texte écrit ou dit à l'oral) dépend de l'intention de l'auteur : raconter, décrire, expliquer ou convaincre. On distingue quatre principales formes de discours : narrative, descriptive, explicative et argumentative.
L'idée principale d'un paragraphe ou d'un texte peut être explicite ou implicite: idée principale explicite: clairement exprimée dans le texte; idée principale implicite: peut ne pas être formulée dans le texte et il faut la formuler.
Le temps est un parti pris avec lequel tu travailles le texte dans sa globalité. Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix quand tu décides d'écrire ton roman au présent ou au passé, si ce n'est de le faire en toute connaissance de ce qu'apporte chaque temps en termes de sens et de dynamique.
Valeur temporelle : le présent d'énonciation On emploie le présent de l'indicatif pour une action qui a lieu au moment où l'on parle. Cette action peut être courte ou s'inscrire dans la durée. C'est le présent d'énonciation. Exemple : Le marathon s'élance.