Le seul vaccin contre le choléra disponible en France (Dukoral®) confère une protection spécifique contre le Vibrio cholerae sérogroupe O1.
Le choléra est causé par une bactérie appelée Vibrio cholerae.
Les deux antibiotiques de cette classe utilisés pour traiter le choléra sont la tétracycline et la doxycycline. Les tétracyclines sont largement utilisées pour d'autres indications en raison de leur large spectre d'activité, de leur faible toxicité et de leur facilité d'accès.
L'intérêt du vaccin existerait en préventif, mais aussi pour limiter la gravité de la maladie après exposition au virus. Certaines mutations des «monkeypox» peuvent toutefois les rendre moins sensibles à cette immunité croisée.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Une petite cicatrice peut demeurer après la guérison, qui peut prendre de 2 à 5 mois. Le vaccin BCG provoque souvent une enflure du ganglion lymphatique qui se trouve sous l'aisselle ou au-dessus de la clavicule – il s'agit d'une réponse immunitaire tout à fait normale.
D'abord sur les chiffres, puisque chacune des épidémies de choléra a tué 1 à 3% de la population en Europe, soit 30 fois moins que la peste.
Le choléra est une maladie facile à traiter. On peut guérir la majorité des sujets atteints en leur administrant rapidement des sels de réhydratation orale (SRO). Le sachet standard de SRO OMS/UNICEF est à dissoudre dans 1 litre (l) d'eau potable.
Le choléra se transmet par ingestion d'eau ou d'aliments contaminés par les selles d'une personne infectée (transmission fécale-orale). La personne infectée est habituellement contagieuse de 1 à 10 jours ou tant que la bactérie est excrétée dans ses selles (même si elle est asymptomatique).
Le choléra s'attrape par : les mains sales, l'eau et les aliments souillés, un contact direct avec un malade.
La bactérie qui cause le choléra est généralement présente dans l'eau ou dans les aliments contaminés par les matières fécales d'une personne infectée. Comme la bactérie peut également être présente dans les eaux côtières, la consommation de mollusques crus ou insuffisamment cuits constitue un risque d'infection.
Maladie bactérienne diarrhéique causée par les bactéries Vibrio cholerae, le choléra évolue dans le monde entier sous forme d'épidémies. La contamination se fait par l'intermédiaire de l'eau de boisson, des aliments souillés et des contacts interhumains. Cette maladie infectieuse est connue depuis l'Antiquité.
En 1879, Louis Pasteur alors à la pointe du progrès développa le premier vaccin vivant atténué artificiel. Il s'agit du vaccin contre le choléra des poules. Il était constitué de la même souche provoquant la maladie mais avec moins de virulence.
Parmi les 150 cas, 6 personnes sont décédées pendant cette même période. A la fin de l'épidémie, il y aura eu un total de 1 600 cas de choléra, et 46 décès. La population à risque est restée identique tout au long de la période épidémique : 300 000 personnes.
La peste bubonique est la forme la plus courante, due à la piqûre d'une puce infectée. Le bacille, Y. pestis, pénètre dans l'organisme lors de la piqûre, passe dans le système lymphatique et atteint le ganglion le plus proche où il se réplique.
(Typhus européen; typhus classique; typhus des poux; fièvre carcérale) Le typhus épidémique est dû à Rickettsia prowazekii. Les symptômes sont une fièvre élevée prolongée, des céphalées rebelles et une éruption maculopapuleuse. Le typhus épidémique est une rickettsiose.
Début 2021, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estimait qu'il y a avait chaque année de 1,3 à 4 millions de cas de choléra et 21.000 à 143.000 décès dus à cette maladie dans le monde.
La forme majeure classique peut causer la mort dans plus de la moitié des cas, en l'absence de thérapie par réhydratation orale (en quelques heures à trois jours). La contamination est orale, d'origine fécale, par la consommation de boissons ou d'aliments souillés.
Les fluoroquinolones, les tétracyclines, et également la streptomycine, sont les antibiotiques de référence pour le traitement de la peste. Ce sont des antibiotiques parfaitement efficaces s'ils sont administrés à temps.
Expression qui exprime le dilemme que représente le fait de devoir choisir entre deux choses totalement différentes mais qui finalement sont aussi mauvaises l'une que l'autre.
Il s'agit d'une immunité à médiation cellulaire. Cela explique que le vaccin peut « ne pas prendre ». Dans ce cas, les tests restent négatifs, et une nouvelle vaccination s'impose. Cela explique aussi que les tests peuvent devenir négatifs (disparition du BCG vivant dans l'organisme).
On recommande de vacciner à la face externe du deltoïde gauche car c'est le lieu le plus souvent utilisé dans le monde et cela permet de savoir où chercher la cicatrice quand on veut savoir si un enfant a été vacciné par le BCG.