Cela dépend de l'avion. Sur un petit avion monomoteur de tourisme comme un DR400, la vitesse d'atterrissage en finale (sans vent) est d'environ 120km/h et le toucher des roues se fait à 100–110 km/h. En revanche, sur un avion de ligne comme un A320 par exemple, l'approche se fait autour de 250km/h.
Décollage et Atterrissage : Pendant le décollage et l'atterrissage, les avions volent à des vitesses plus basses. Les avions de ligne commerciaux peuvent généralement décoller à des vitesses d'environ 240 à 320 kilomètres par heure (150 à 200 miles par heure).
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Suivant les paramètres pour le décollage (poids, température, altitude de l'aéroport etc.) la distance de décollage est de 700 mètres. Dans ce cas la piste étant non limitative, l'équipage pourra prendre V1 = VR et toute panne avant VR se terminera par une accélération-arrêt.
En moyenne, ils volent à une altitude de 17 000 à 40 000 pieds (5 200 à 12 200 m ) et à une vitesse de croisière comprise entre 810 et 920 km/h . Les deux plus grands constructeurs d'avions de ligne au monde sont Airbus et Boeing.
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
Lockheed Martin F-22 Raptor
Vitesse max > Mach 2,25, plafond > 20,000 m, équipé de missiles AIM-120 AMRAAM et AIM-9 Sidewinder. Le Lockheed Martin F-22 Raptor se distingue comme l'un des avions de chasse les plus puissants grâce à sa combinaison exceptionnelle de vitesse, d'altitude et d'armement.
Il y a trois phases de vitesse majeures quand un avion décolle : V1, Vr et V2.
En moyenne entre 30.000 et 40.000 pieds, soit entre 9.200 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer pour les premiers et entre 17.000 et 25.000 pieds, soit entre 5.100 et 7.100 mètres pour les seconds. Les jets privés peuvent voler plus haut, jusqu'à 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
Si on prend en compte les avions capables de décoller et atterrir de manière autonome, c'est le Lockheed SR-71 Blackbird qui est l'avion le plus rapide de l'histoire, avec une vitesse maximale de plus de 4.000 km/h, soit l'équivalent de Mach 3,32.
Cette lenteur est due au coût du kérosène. Conformément aux lois de la physique, une augmentation de la traînée équivaut au carré de l'augmentation de la vitesse, si bien qu'un avion qui accélère un peu plus requiert un important supplément de carburant.
Comme vous le savez, certainement, le système ILS permet d'atterrir dans des conditions de très mauvaise visibilité et, de ce fait, demande un ILS par piste. Celui-ci consiste en un localisateur en bout de piste. Cela vous donnera une bonne direction.
Mis en service dans les années 80, le MiG-31 est l'avion de chasse en service le plus rapide du monde, capable d'atteindre la vitesse folle de... 3300 km/h ! Il continue aujourd'hui de jouer un rôle essentiel dans la force aérienne russe, avec des missions de défense et d'interception.
Elle se base sur l'utilisation de balises radioélectriques situées sur le sol dont le signal est transformé en indication de position par des récepteurs installés à bord de l'avion. L'indication de position est donnée ensuite sur un cadran à bord de l'avion.
Les systèmes de freinage simples comprennent un disque d'acier fixé à la roue et un étrier fixé à la jambe de l'atterrisseur. L'étrier comporte deux mâchoires, une fixe et l'autre actionnée par un piston sur lequel agit le fluide hydraulique. Ce piston va comprimer la mâchoire mobile sur le disque solidaire de la roue.
L'avion descend sur une pente finale stabilisée à la vitesse d'atterrissage. Près du sol le pilote « arrondit » c'est-à-dire qu'il cabre l'avion pour réduire la pente de descente afin de venir tangenter le sol. En même temps, il réduit complètement la puissance des moteurs.
La traînée engendrée par la résistance de l'air doit être inférieure à la traction de l'hélice, ainsi l'avion avance dans la masse d'air. Au décollage, la traction doit augmenter plus vite que la traînée et la portance doit être supérieure au poids ainsi l'avion peut décoller.
Les avions privés sont plus rapides et plus efficaces
Voler à des altitudes plus élevées offre des avantages en termes de performances et de carburant. À cette altitude, l'air est raréfié et frais, ce qui augmente les performances du moteur à réaction et réduit la consommation de carburant.
Les avions de chasse optent pour le vol à basse altitude pour éviter de se faire détecter ou de se faire prendre pour cible par l'ennemi. Par mauvais temps, il est aussi préférable, voir important, de rester en vue du sol ou de l'eau.
Le roulage jusqu'au parking, L'arrêt des moteurs après être rentré sur l'aire de stationnement : c'est là que finit officiellement le "vol" de l'avion.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Il en est de même au décollage. les roues roulent à 200km/hre et l'avion s'envole avec une vitesse de 250 par rapport à l'air. Et au lieu de frapper le sol, les pilotes préfèrent dire: entrent en contact avec la piste.
L'Antonov An-225 Mriya (en ukrainien : « Ан-225 Мрія », signifiant « aspiration », « désir ardent vers un objectif » ou « rêve » en français, Code OTAN : Cossack) est un avion de transport très gros porteur, conçu dans les années 1980 en unique exemplaire par l'OKB Antonov en République socialiste soviétique d'Ukraine.
De tous les avions qui sont effectivement entrés en service, et qui sont de fabrication britannique, un chasseur et un jet, le plus rare actuellement est probablement le Supermarine Attacker.
Le A380 est considéré comme l'avion l'un des meilleurs rapports "consommation de carburant par siège" dans le ciel actuel.