pour satisfaire les besoins de l'humanité, réduire les inégalités et maintenir la cohésion sociale. L'efficacité économique en diminuant l'extrême pauvreté et en garantissant l'emploi du plus grand nombre dans une activité économique dignement rémunérée.
L'objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui réunissent les aspects économiques, sociaux et environnementaux des activités humaines. Ces trois domaines sont donc à prendre en compte par les collectivités, comme par les entreprises et les individus.
Socialement, les impacts du développement durable sont flagrants. Sachez que le développement durable répartit d'une manière équitable les richesses ; de plus, il améliore les conditions de travail. Ce nouveau concept facilite le transfert des connaissances et compétences à l'ensemble des parties prenantes…
Les objectifs obligent les états, et pas seulement les pays en développement, à mettre un terme à la pauvreté, d'atteindre la parité homme-femme, d'améliorer la santé et l'éducation, de rendre les villes durables, de combattre le changement climatique, de protéger les forêts et bien plus.
La réduction des déchets et des gaspillages : réduire les déchets et les gaspillages pour limiter l'impact environnemental et préserver les ressources. Les modèles économiques alternatifs : développer des modèles économiques alternatifs basés sur la durabilité et la responsabilité sociale.
À propos du développement durable
C'est de ce rapport qu'est extraite la définition reconnue aujourd'hui : « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. »
Il faut donc concilier ces trois domaines en même temps pour éviter leur épuisement : l'environnement, la société et l'économie.
Ce sont d'abord les ONG (Organisations Non Gouvernementales) telles que Greenpeace, les Amis de la Terre, le WWF, Amnesty International… Elles jouent un rôle vital pour faire avancer les prises de conscience et les débats vers des choix écologiquement rationnels et socialement responsables.
Le développement économique agit globalement comme une source de « mieux vivre » en améliorant les conditions de vie et l'accès aux soins des populations et permet ainsi d'allonger progressivement l'espérance de vie.
Les impacts positifs d'une GRH durable
Au sein de l'organisation, une GRH durable augmente l'engagement des employés, accroit l'efficacité du travail, favorise le développement des employés, augmente leur satisfaction et par conséquent la loyauté envers l'organisation.
Les 4 piliers scientifiques du développement industriel et économique. Au cours du siècle dernier, la France, comme tous les autres pays ayant connu un fort développement industriel et économique, s'est appuyé sur quatre piliers scientifiques : les mathématiques, la physique, la chimie et la biologie.
Le concept de développement désigne l'ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l'aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l'idée de progrès économique et social.
La précarité des ressources en eau douce, la gestion des déchets, les changements climatiques, l'élévation du niveau des mers constituent autant de défis à relever qui nécessitent des ressources financières et humaines dont ne disposent pas ces pays.
Les études le prouvent par des chiffres : au niveau mondial, les entreprises qui mettent le développement durable au sein de leur stratégie augmentent leur chiffre d'affaires de plus de 4% contre moins de 1% pour les autres organisations. Il existe de plus en plus de normes et de lois sur le développement durable.
En tant qu'idée politique et sociale, l'écologie a pour objectif de protéger les écosystèmes, la biodiversité, et l'environnement en général, notamment afin de permettre aux sociétés d'y vivre avec résilience et de façon pérenne.
Réduction de la consommation de ressources. Augmentation de la réutilisation et du recyclage des ressources naturelles (et donc réduction de la production et de l'élimination de déchets).
C'est le philosophe allemand Hans Jonas qui a le premier théorisé la notion de développement durable dans Le Principe responsabilité (1979). Selon lui, il y a une obligation d'existence des générations futures, qui pourrait être remise en cause par la forme qu'a prise le progrès technique à l'époque contemporaine.