Être nommé Chevalier ou Dame de la Jarretière est un immense honneur, et l'on porte fièrement sa boucle de velours bleu avec la devise royale inscrite en lettres d'or, à la jambe gauche pour les hommes et au bras gauche pour les femmes.
Sur quelle jambe se met la jarretière de mariée ? Celle que vous voulez ! Pour une fois, il n'y a pas de règle, portez votre jarretière de mariage à la jambe qui vous sied ! Si le cœur vous en dit, vous pouvez même porter votre jarretière sous un pantalon si vous souhaitez vous marier en tailleur.
C'est normalement le gagnant du jeu qui doit venir vous l'enlever car si c'est une gagnante, vous conservez votre jarretière. Si vous préférez, vous pouvez, au préalable, spécifier à vos convives que c'est le futur marié qui la remettra à l'heureux élu.
Dans la tradition de la jarretière, le but est de mettre à la vente cet accessoire le jour des noces et de faire augmenter la mise au cours des animations de mariage.
Les hommes paient pour que la mariée remonte sa robe (ou sa jarretière). Les femmes paient pour que celle-ci redescende. Au bout d'un temps donné (pas trop long, 10 minutes par exemple), l'homme qui aura le plus participé au panier remporte le droit de retirer la jarretière de la jambe de la mariée !
La jarretière est un ruban décoratif traditionnellement porté sur la cuisse de la mariée le jour du mariage, puis mis aux enchères.
Porte-jarretelles en place
Enfilez votre porte-jarretelles en le plaçant autour du creux de votre taille. Mettez vos bas et attachez-les au porte-jarretelles, en vous asseyant au besoin. Vos bas doivent être maintenus mais vous devez vous sentir bien et relativement libre de vos mouvements.
Les origines de la jarretière
Avant l'invention des porte-jarretelles et des bas auto-fixants, les femmes nouaient ce ruban autour de leur cuisse, ce qui leur permettait de faire tenir leur bas en place. Il y avait donc deux jarretières, et non une seule comme on peut le voir aujourd'hui.
L'ordre inclut aussi des membres supplémentaires (de la famille royale ou des souverains étrangers) depuis 1813, appelés « chevaliers et dames surnuméraires ». La devise de l'ordre est : « Honi soit qui mal y pense », avec un seul « n », selon l'orthographe de l'époque.
C'était un moyen ludique de récolter un peu d'argent pour les mariés mais avec l'avancée en âge des mariés, cette tradition se modifie de plus en plus pour ne devenir qu'un simple jeu parmi les autres de la soirée. Il est souvent d'usage que le gagnant des enchères vienne retirer la jarretière avec ses dents.
Selon la tradition, il appartient à la famille de la mariée d'acheter la robe. Tout comme la tenue des demoiselles d'honneur et la décoration.
L'approche la plus traditionnelle en France serait que le fiancé, ou la famille du futur époux, prenne en charge le coût des deux alliances du mariage. Les règles restent évidemment relativement très souples. Aujourd'hui, le choix et le coût des bagues reposent rarement sur une seule et même personne.
La tradition de la jarretière de la mariée est une coutume ancienne qui perdure encore aujourd'hui. Au-delà de son histoire et de sa symbolique, elle reste un accessoire emblématique du mariage, ajoutant une touche d'élégance et de tradition à la tenue de la mariée.
En effet, cette animation met de l'ambiance en fin de repas, en général au moment du fromage ou juste avant l'arrivée du dessert. La jarretière est une tradition. C'est pourquoi elle se doit d'être animée par un bon DJ qui saura faire participer les hommes et les femmes sur un fond de musique.
La jarretelle est une modernisation de la jarretière. Une jarretelle est un ruban élastique muni d'une pince à l'une de ses extrémités et servant à fixer les bas à la gaine ou au porte-jarretelles.
La coutume de mariage veut que la famille et les invités arrivent les premiers, comme pour la cérémonie civile. Le marié arrive au bras de sa mère, et la mariée au bras de son père, au son d'une marche nuptial. A la fin de la messe, les époux et leurs témoins signent le registre.
Tout comme la légendaire Table ronde du roi Arthur, l'ordre de la Jarretière était, dès le départ, destiné à être un club très fermé. Ses deux premiers membres furent Édouard III lui-même et son fils, Édouard le Prince Noir et Prince de Galles.
Le principe: les hommes donnent de l'argent pour faire monter la robe de la mariée, alors que les femmes en donnent pour la faire baisser. L'un des invités, souvent le témoin du marié, joue « l'arbitre » : il monte et descend la robe de la mariée.
Origine de l'expression « Honni soit qui mal y pense »
L'expression « Honni soit qui mal y pense » est à l'origine la devise de l'Ordre de la Jarretière, en Angleterre, le plus élevé des ordres de la chevalerie britannique, fondé par le roi Edouard III d'Angleterre, le jour de la saint Georges, en 1348.
Il faut simplement veiller à ce qu'elles ne soient pas trop courtes, sinon les attaches apparaissent le long de la jambe ! Sinon, vous pouvez tout oser : robe moulante, robe courte, robe longue, jupe midi, jupe en jean, jupe en cuir, jupe patineuse, etc.
Le porte-jarretelles est apparu dans les années 1870 à des fins médicales afin que certaines femmes ayant des problèmes de circulation sanguine à cause de bas ne soient plus embêtées.
Le principe est simple : la jarretière de la mariée est mise aux enchères. Les hommes paient pour la voir : à chaque nouvelle enchère masculine, vous devez donc soulever vos jupes un peu plus haut, jusqu'à dévoiler votre jarretière (et donc votre cuisse). Les femmes enchérissent pour faire redescendre les jupes.
Mais de quoi s'agit-il exactement ? Pendant le jeu, les invités masculins devaient miser de l'argent pour faire remonter la robe de la mariée en direction de sa jarretière, et les femmes, elles, donnaient de l'argent pour que la robe redescende.