Le poumon et le gros intestin : la tristesse Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l'affliction.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Les émotions dans la médecine traditionnelle chinoise révèlent les mouvements des souffles de nos organes. Elles sont soit riches (excès, insatiabilité) soit pauvres (manque insatisfaction) et entrainent des problèmes psychologiques (le souffle déraille) et somatiques (la conséquence).
Du point de vue de la médecine chinoise, les reins sont surtout attaqués par la peur et / ou le stress.
Le foie et la vésicule biliaire sont liés à la gentillesse, la générosité, la colère, la frustration. Le cœur et l'intestin grêle sont liés à la joie, l'amour, la haine, l'impatience, l'agressivité. L'estomac et la rate/pancréas sont liés à la confiance, l'ouverture, la rumination, l'anxiété.
Mangez une alimentation saine et équilibrée : une alimentation riche en fruits, légumes, grains entiers et protéines maigres peut aider à maintenir la santé du pancréas. Évitez les aliments transformés et les sucres ajoutés, qui peuvent surcharger le pancréas et contribuer à des problèmes de santé tels que le diabète.
Il faut savoir que le Foie n'est pas seulement sensible à la colère, mais également à toutes les émotions qui font stagner son énergie. Avec le Coeur et la Rate, c'est l'organe le plus touché par les émotions excessives.
Le poumon et sa relation avec nos émotions
La tristesse et le chagrin dispersent le Qi du poumon, et retiennent la respiration.
Rein-vessie : la peur
Les méridiens stockent les mémoires de ces peurs et ont une capacité à les filtrer pour mieux les évacuer. Une personne qui a la peur de perdre sera plus exposée aux constipations par exemple.
Pour comprendre de quoi il est question, un petit détour par l'énergétique chinoise est éclairant : la culpabilité est rattachée à « poumon – gros intestin », c'est à dire à la tristesse, à l'élément métal, à la peau et aux voies respiratoires.
tout comme les poumons gèrent la tristesse, le cœur gère l'amour, la joie. Selon moi, le nombre de pulsions varie en fonction de l'intensité des sentiments et de la nature des émotions. Par exemple ,le rythme cardiaque s'accèlère lorsqu'on est furieux ou mort de peur.
Des systèmes neuronaux dysfonctionnels
Dans les troubles anxieux, le dysfonctionnement des systèmes émotionnels du cerveau se traduit par des réactions émotionnelles beaucoup plus intenses que celles qui se produisent habituellement, ainsi que par une perception accrue de la menace et une vision négative du monde.
La personne triste a tendance à adopter certaines réactions comportementales typiques suite à la perte de l'être cher, telles qu'un ralentissement psychomoteur, des cris, des pleurs, ainsi qu'un certain repli sur soi et une recherche de soutien (Freed et Mann, 2007 ; Izard, 2000).
Les liens entre le cerveau et la digestion sont particulièrement complexes. Quand l'émotion est trop forte, c'est votre ventre qui trinque, en particulier chez les personnes hypersensibles. Mais quand votre microbiote intestinal est déréglé, c'est votre état émotionnel qui s'anime un peu trop bruyamment.
L'Unité de recherche sur la neurobiologie de l'anxiété et de la peur s'est récemment intéressée aux mécanismes de défense générés par notre cerveau. Une nouvelle étude publiée dans Cell souligne le rôle de l'amygdale face à une situation menaçante.
La colère quant à elle induit une sensation forte localisée au niveau des bras et la peur plutôt dans la poitrine. Les chercheurs espèrent que leurs résultats pourront aider les médecins à mieux diagnostiquer et traiter certains troubles du comportement qui touchent aux émotions.
Le trouble explosif intermittent, ou TEI, est un problème de santé mentale caractérisé par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité.
La personne ne peut pas exprimer sa colère. Elle est réprimée et se retourne contre soi à l'intérieur du corps. Elle bloque la circulation de l'énergie par le foie. L'énergie du foie bloqué attaque l'énergie de la Rate donne de la fatigue des troubles digestives, des selles molles.
En cas de pancréatite aiguë, il est normalement nécessaire d'être hospitalisé pour quelques jours. Le traitement inclut le jeûne afin de mettre le pancréas au repos, la prise d'anti-inflammatoires et d'antibiotiques en cas d'infection. Dans certains cas, il faut également envisager une chirurgie.
Les symptômes et les antécédents de poussées de pancréatite aiguë ou de forte consommation d'alcool permettent au médecin de suspecter une pancréatite chronique. Les médecins utilisent les résultats des examens d'imagerie et des tests de la fonction pancréatique pour poser le diagnostic.
Plusieurs études ont montré que quand les gens s'alimentent avec du miel, leur taux de glycémie est beaucoup plus stable, voire baisse. Le miel a aussi une action sur les lipides, le cholestérol et sur certaines enzymes hépatiques, sur le pancréas… Le miel peut donc avoir certains effets sur le diabète.