Conquête et colonisation La défaite d'Abd-el-Kader, le 14 août 1843, marque la bascule en faveur de la France et l'Algérie devient constitutionnellement territoire français en 1848.
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Après un siège de vingt jours, il réussit une sortie, mais il fut rattrapé et tué près du Rio Salado. Ce fut avec son frère, Khayr ad-Din Barbaros, que débuta véritablement la colonisation turque de l'actuelle Algérie.
1830. Le 14 juin 1830, l'armée du roi de France, Charles X, débarque en Algérie. L'Algérie, alors dominée par l'Empire ottoman, voit ses dignitaires turcs s'effondrer. La résistance à l'invasion est le fait de représentants des groupes dominants algériens comme Abd el-Kader, vaincu en 1847.
Certes pas une « nation », au sens moderne du terme, mais pas non plus une terra nullius. Arabes, Berbères, juifs, janissaires, esclaves chrétiens et Corsaires y cohabitent sous le régime de la Régence, mis en place par l'Empire ottoman, qui connaît au XVIIIe siècle un véritable âge d'or commercial et maritime.
L'Algérien est un ressortissant de l'Algérie, pays indépendant depuis 1962, et cela quel que soit le groupe ethnolinguistique auquel il appartient. Un Kabyle est originaire de la Kabylie, région montagneuse située à l'est d'Alger. Être algérien ne signifie pas forcément être arabe, puisque les Kabyles sont berbères.
Il nomma alors le comte Louis de Bourmont, ministre de la Guerre dans le gouvernement Polignac, comme commandant en chef de l'expédition en Afrique». C'est ce dernier qui lance l'attaque, dès le 14 juin 1830, pour parvenir à prendre Alger, dès le 5 juillet suite à la capitulation du Dey Hussein.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », entre autres.
Khaled Nezzar — 1937-28 décembre 2023 L'homme qui a sauvé trois fois l'Algérie.
Donc, dans l'esprit du général, la colonisation de l'Algérie était la solution au problème. Colonisation non pas au sens que le mot a pris aujourd'hui, c'est-à-dire une colonisation d'exploitation, mais une colonisation de peuplement visant à implanter en Algérie une population française la plus nombreuse possible.
La République algérienne démocratique et populaire ne reconnait pas Israël et interdit toute entrée sur son territoire aux voyageurs munis d'un passeport israélien ou à tous citoyens possédant un tampon de visa israélien.
La partie occidentale a pris le nom de Maurétanie césarienne et la partie orientale celui de Maurétanie tingitane. Le nord du territoire algérien actuel était divisé entre l'Afrique proconsulaire et la Maurétanie césarienne, suite au partage de la Numidie, après la guerre de Jugurtha.
Avec l'Empire chérifien
Sous le règne de la dynastie saadienne, la Moulouya sert de frontière entre le Maroc et la régence d'Alger, arrêtant « l'hégémonie des Turcs ottomans » vers l'ouest.
Ce surnom viendrait du fait que les chauffeurs des bateaux à vapeur avaient l'habitude de marcher pieds nus dans la soute à charbon du navire. Ces chauffeurs étant souvent algériens, « pied-noir » a ensuite désigné, par extension, un Algérien.
L'islam a été introduit en Algérie pour la première fois en 670 par les armées du général Arabe Oqba Ibn Nafaa, dans le contexte de la conquête musulmane de l'Afrique du Nord sous les ordres des Omeyyades. La première mosquée fondée en Algérie est la mosquée Sidi Ghanem de la ville de Mila en 678.
Les échantillons Algériens présentent un mélange de lignages maternels Eurasiens, Nord Africains et sub-Sahariens. Les haplogroupes sub-Sahariens (L) sont très fréquents chez les Zénètes (65%) par rapport aux autres groupes.
Le général Thomas Robert Bugeaud, figure de la conquête française de l'Algérie. Il signe le traité de la Tafna avec l'émir Abdelkader en 1837. Il est nommé duc d'Isly après la bataille d'Isly en 1844.
Le 18 mars 1962, à Évian-les-Bains, le gouvernement français et ses homologues algériens signent un accord qui, ouvrant la voie à l'indépendance de l'Algérie, annonce la fin de 132 années de colonisation et d'une guerre débutée en 1954. Il ne fait pour autant pas cesser immédiatement la violence ni les affrontements.
Quelles sont les causes de la guerre d'Algérie (1954–1962) ? La guerre d'Algérie, ou guerre d'indépendance algérienne, est causée par deux évènements : la conquête de l'Algérie par les forces françaises ; la montée des idéologies nationalistes défendant le droit d'autodétermination.
Par conséquent l'Algérie, sur le plan ethnique, n'est pas une juxtaposition d'Arabes et de Berbères (comme on l'entend dire si souvent), mais un mélange arabo-berbère qui, embrassant la même foi et adhérant au même système de valeurs, est animé par l'amour de la même terre11 ».
La Constitution algérienne définit «l'islam, l'arabité et l'amazighité » comme « composantes fondamentales » de l'identité du peuple algérien et le pays comme « terre d'Islam, partie intégrante du Grand Maghreb, méditerranéen et africain ». Superficie : 2 381 741 km².
Le 17 septembre 1860, Napoléon III met le pied sur le sol algérien. Il a un grand projet en tête : un royaume arabe, qui s'étendrait d'Alger à Bagdad, sous la protection de la France. Un royaume où régnerait l'égalité entre indigènes et Européens.
Si l'Algérie est considérée comme partie intégrante du territoire national, la Tunisie en 1881 puis le Maroc en 1912 ont rejoint l'empire français avec le statut de protectorat, conçu à l'origine comme un régime d'administration indirecte. Ainsi, la Tunisie conserve son bey et le Maroc son sultan.
Le traité de Fès du 30 mars 1912 instaure le protectorat français sur le Maroc. Mais, un accord est conclu avec l'Espagne, le 27 novembre 1912, qui définit les trois zones d'influence espagnole, au Nord, au Sud, et autour d'Ifni, conformément à un accord secret conclu le 3 novembre 1904 (RGDIP, 1912, documents, p.